La Matinale Senego : Amadou Ba et Sonko sur l’Amnistie, Juan Branco s’exprime

Bonjour et bienvenue dans la matinale de Senego de ce jeudi 24 avril 2025, où nous examinons en détail les articles qui ont suscité les débats les plus vifs pendant la nuit. Aujourd’hui, nous nous pencherons sur la décision du Conseil constitutionnel concernant la loi interprétative de l’amnistie et les réactions qu’elle a provoquées parmi les figures politiques sénégalaises.
Le Conseil constitutionnel sénégalais a récemment rejeté la loi interprétative de l’amnistie, provoquant un tourbillon de réactions dans la sphère politique. Amadou Ba, député et initiateur de la loi, s’est félicité sur sa page Facebook de cette décision. Il y voit une « fin de l’impunité pour les crimes de meurtres, assassinats et tortures » et remercie le Conseil pour sa clarté sur la conformité constitutionnelle.
Ousmane Sonko, le président du parti Pastef-Les Patriotes, a vivement réagi à cette décision, accusant l’opposition de vouloir exploiter politiquement la situation. Selon Sonko, la décision du Conseil vient soutenir leur proposition d’exclure les crimes graves du champ de l’amnistie, confirmant ainsi la lecture initiale de leur groupe parlementaire.
Juan Branco, avocat franco-espagnol, a également réagi à la décision du Conseil, indiquant que cela pourrait ouvrir la voie à des poursuites à l’échelle internationale. Pour Branco, cette décision remet en cause la non-rétroactivité des lois et les engagements internationaux du Sénégal, créant ainsi une opportunité pour des actions en justice internationales.
Parmi d’autres réactions notables, Thierno Alassane Sall considère que cette décision renforce le respect de l’État de droit en rejetant toute tentative d’amnésie politique. Lisez la déclaration en entier sur Senego.
Aminata Touré a salué cette clarification importante et appelle à rendre justice aux victimes. En savoir plus sur sa réaction sur Senego.
- Thierno Bocoum dénonce la « faute constitutionnelle » de la loi interprétative et voit une opportunité pour l’Assemblée de se distancer de ces pratiques. Découvrez leur point de vue complet sur Senego.
- Anta Babacar Ngom salue le rejet de la loi comme une victoire pour la démocratie et appelle à la réconciliation nationale. Lire ses remarques sur Senego.
- Waly Diouf Bodiang pense que le peuple attend une justice complète suite à cette décision. Pour en savoir plus, consultez Senego.
- Face à la précarité des enfants de la rue, Ousmane Sonko annonce des mesures fortes. Les détails sont sur Senego.
- Le Groupe parlementaire Takku Wallu Sénégal vante la décision du Conseil qui confirme l’État de droit. Lisez leur déclaration sur Senego.
Merci d’avoir suivi la matinale de Senego de ce jeudi 24 avril 2025. Nous vous souhaitons une journée informée et engageante !
6onj18
Vous de l’apr allez y apprendre .Votre niveau est trop bas par rapport au pastef .Posez vous juste une question .Suite à cette decision du conseil constitutionnel les crimes de sang et de tortures seront ils poursuivis .Oui repond le conseil constitutionel car le senegal a signé le traité de rome contre les crimes et les tortures donc pastef navait pas besoin d’interpeller la loi .Et c’est tout ce que demandait AMADOU BA et le pastef .AISSATA TALL SALL et ABDOU MBOW se terrent car ils savent qu’ils sont cuits
Le conseil constitutionnel.. n a as le droit d interpréter.il doit doré le droit.Une loi ordinaire doit être prise en fonction d une loi constitutionnelle comme en fonction des conventions internationales.Celles ci devraient être la référence pour juger la loi interprétation,laquelle n est rien d autre que de dire que les crimes tortures actes graves et degradants ne devaient pas faire partis de la loi d amnistie de Aissata Tall.
Le conseil constitutionnel en rejetant la loi interprétative se devait aussi de rejeter la loi d amnistie.
Une décision politique pour répondre à Sonko sur sa dernière intervention concernant ce conseil à l occasion de la dernière élection présidentielle. N en déplaise à certains le Sénégal n aura jamais un gouvernement des juges.
Maintenant c est bon de penser que cette décision englobe des pièges pour demain empêcher toute poursuite contre les meurtriers car le convention internationale parle de génocide et torture et non de meutre qui relève de la compétence purement nationale.Quelle est la frontière entre génocide et meutrres en série.
Puisque la loi d amnistie de Aissata tall.subsiste de par la décision du conseil constitutionnel alors le gouvernement doit demander que celle ci soit déclarée anti constitutionnelle non conforme aux conventions internationales.
Qui es Juan Branco ? 🤬
Qui est Juan Branco ?
Branco n’a qu’à se mêler de ses oignons !
Quand l État a honte chacun réagit autrement
Autrement dépassé pas les limites!