Dictature au Sénégal ? Un texte virulent dénonce les menaces contre la liberté d’expression

Un texte virulent, publié sur les réseaux sociaux du juge Ibrahima Hamidou Dème, s’en prend violemment à un homme politique non nommé, l’accusant de vouloir instaurer une dictature au Sénégal. L’auteur dénonce des propos tenus par cet homme politique, qualifiés de menaces contre l’opposition, la presse et la société civile. Il est reproché à ce dernier d’avoir exprimé son souhait de faire taire les voix critiques, mettant ainsi en péril la liberté d’expression.

Le texte évoque des déclarations antérieures de l’homme politique, notamment une promesse d’intervention personnelle pour faire cesser les critiques de certains chroniqueurs. L’auteur souligne que ces propos ne sont pas des erreurs ou des dérapages, mais reflètent une volonté de museler toute opposition.

Le juge Dème met en garde contre le danger que représente ce qu’il perçoit comme un projet de gouvernance totalitaire. Il rappelle que la République sénégalaise protège la liberté d’expression et garantit la coexistence des opinions. Il souligne que la sanction des abus relève de la justice, et non d’un pouvoir exécutif.

Plusieurs archives de Senego relatent des tensions politiques au Sénégal, notamment concernant la liberté de la presse et les relations entre le pouvoir et l’opposition. L’affaire Bachir Fofana, par exemple, a soulevé des questions sur les limites de la critique médiatique et l’application de la loi sur les fausses nouvelles. L’affaire a mis en lumière la fragilité de l’équilibre entre liberté d’expression et exigences de vérité publique.

De même, le dialogue national a été marqué par des blocages et des désaccords profonds entre le pouvoir et l’opposition, notamment sur les questions de libertés publiques et de droits humains. L’opposition a exprimé ses préoccupations concernant les arrestations d’opposants et la restriction des libertés démocratiques.

Le texte se termine par une affirmation de résistance face à ce qu’il qualifie de tentative d’instauration d’une dictature, réaffirmant le droit à la liberté d’expression comme un droit constitutionnel.

3 commentaires

  1. Ablay

    Son parti méconnu,ignoré son parti pris ridicule son pari raté,pourquoi le prendre à partie?
    La partie est gagnée depuis mars 2024.
    Une partie incongrue,hors propos en manque d arguments se particularise .
    Dommage (la bave du crapaud n atteindra jamais la blanche colombe).
    AllezDIOSO / .ADIOS LES FRUSTRÉS

  2. Amadou

    JUGE DÈME KOU MOUSS LA LA TÈGUONE WAY THIOUNE BOU MAGG NGA..SUNU NÈKONE SI DICTATURE BO BINDÉ SA BATAKHAL BI BALA SA KHALIMA WOW YANGUI KASSO.TÈ YOW WAKH NGA LOU LA NÉKH KÉN FALLÈ WOULA JAPOULA KEN LIDIENTIWOU LA..KONE DICTATURE AMOU FI..

  3. Amadou

    JUGE DÈME JE VOUS CROYAIS INTELLIGENT MAIS HÉLAS SI VOUS ÉTIEZ DANS UN PAYS DE DICTATURE VOUS NE POURRIEZ PAS DENONCER COMME VOUS L’AVEZ FAIT ET RESTER LIBRE…CONTRADICTION

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