Le président du parti Ensemble pour le Travail, l’Intégrité et la Citoyenneté (ETIC), Ibrahima Hamidou Dème, a vivement critiqué le Premier ministre Ousmane Sonko, l’accusant de menaces répétées contre les libertés fondamentales et de dérives autoritaires. M. Dème s’appuie sur des déclarations récentes de M. Sonko, notamment en Chine où il a affirmé que, s’il était président, « certaines personnes ne parleraient plus ». L’ancien magistrat souligne également une déclaration précédente de M. Sonko devant les députés, où il envisageait de s’« impliquer personnellement » pour faire taire certains chroniqueurs.
Pour M. Dème, ces propos ne sont pas anodins. Il y voit une volonté délibérée de museler les voix critiques et un signe inquiétant d’un projet politique fondé sur l’intimidation et l’exclusion des opposants. Il qualifie M. Sonko de « dictateur en puissance » et l’interpelle, dans une formulation inspirée de Cicéron s’adressant à Catilina : « Jusqu’à quand abuseras-tu de notre patience ? »
M. Dème accuse le Premier ministre d’agir comme un chef de clan, au-dessus des lois et des critiques, et rappelle que la République sénégalaise repose sur la pluralité des opinions, la liberté d’expression et l’équilibre des pouvoirs. Il considère toute tentative de faire taire les voix dissidentes comme une menace pour ces fondements, prévenant que le silence imposé par la force ou la peur est le point de départ de toutes les tyrannies. Il conclut en réaffirmant son attachement à un Sénégal démocratique, pluraliste et respectueux des droits fondamentaux, soulignant que « Le Sénégal n’est pas une propriété privée. Le pouvoir ne confère pas le droit d’effacer qui l’on veut. Et la démocratie ne saurait se plier aux caprices d’un homme incapable de supporter la contradiction ».
Ces accusations interviennent dans un contexte de tensions politiques au Sénégal, où la gestion de Ousmane Sonko et ses relations avec les autres acteurs politiques et les institutions sont de plus en plus critiquées, comme le montrent plusieurs articles récents. Une récente vidéo montre Ousmane Sonko, lors d’un déplacement en Chine, adresser des reproches à l’opposition, soulignant que « Ce sont ceux qui devraient garder le silence et se faire discrets qui continuent à faire le plus de bruit. » De plus, des déclarations antérieures de M. Sonko ont déjà suscité des critiques quant à sa manière de gérer les oppositions.
Kouko djegue mou yakhe la
Macky Sall s bopam virus 🦠 bou grawla moraw Covid
Bayil diambour
Dem bayil sonko limou diarigne Sénégal
mr Dème ,vous avez abandonné la magistrature au profit de la politique,il faudra accepter les coups ,mais ce m étonne,vous n arrivez pas à avoir 1 base politique comme votre mentor TAS
vous risquez de mourir politiquement
Fo fékkeu tapéte dafaye bari wakh comme sonko
Ousmane poind le fuyard de gada ga,lui et sa bande de moins que rien vous oindront. Avez vous entendu quelque part le nom de son parti fantôme ?.
Votre courage devant Macky titille leur ego
Soyez droit dans vos bottes. Ne vous laissez pas distraire par des fanfarons.
Juge Dème tu as passé à côté de l’histoire. Retourne à la magistrature , la politique tu ne gagnera toux
Il ne vous reste pas grand chose monsieur Dème pour friser le ridicule
Allons Allons !!!
CE N,EST PAS UNE MENACE MAIS UNE SUPPOSITION PARTAGÈE PAR TOUS LES OPPOSANTS RESPONSABLES REPUBLICAINS ELEGANTS ET RESPECTUEUX DE NOS INSTITUTIONS CONTRAIREMENT A CES FRUSTRÈS QUI NOUS CASSENT LES COUILLES.