La campagne pour les législatives du 17 novembre 2024 bat son plein. Malgré l’appel du président Bassirou Diomaye Faye à une campagne pacifique, des tensions sont palpables avec des invectives et des incidents comme la dispersion d’une caravane et l’incendie d’un QG.
Ousmane Sonko, Premier ministre, crée la polémique en affirmant qu’un dignitaire de l’ancien régime de Macky Sall posséderait un compte bancaire avec mille milliards de francs CFA. Ni le nom du titulaire ni celui de la banque impliquée n’ont été révélés.
Le FMI a décidé de suspendre un versement de plus de trois cents milliards de francs CFA en raison de chiffres gouvernementaux controversés et de l’incertitude sur l’avenir politique.
Macky Sall, depuis son exil au Maroc, mène campagne via WhatsApp. Il dément tout accord avec le gouvernement actuel, malgré les rumeurs de « Protocole du Cap Manuel ». Il soutient que s’il y avait conspiration, son emprisonnement par le gouvernement actuel serait improbable.
La question se pose sur ce que le Sénégal a évité au cours des douze dernières années. Le processus électoral en cours rappelle des pratiques anciennes de trahison et de changement d’allégeance politique.
Des réflexions historiques soulignent que la soumission à l’autorité coloniale, la collaboration et la trahison ont marqué l’histoire sénégalaise. Les débats actuels sur la souveraineté économique et les liens avec l’ancienne métropole font écho aux actions passées de figures influentes du pays.
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Insensé.Bla bla rek.