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Situation tendue au Sénégal après le report de la Présidentielle : L'AES déverse sa bile sur Macky Sall

Depuis l’annonce par le chef de l’État sénégalais Macky Sall du report de l’élection présidentielle prévue pour le 25 février, l’atmosphère politique au Sénégal est électrique. Cette décision inattendue, survenue quelques heures seulement avant le début officiel de la campagne électorale, a suscité une vague de réactions tant au niveau national qu’international.

L’annonce du report a également entraîné une réaction vive de la part de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), une coalition regroupant le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Cette dernière a vivement critiqué la décision du gouvernement sénégalais, l’accusant de mensonge et de parjure.

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En effet, selon l’Alliance des Etats du Sahel, le décret annonçant le report de l’élection présidentielle aurait été émis sans la cosignature du Premier ministre sénégalais Amadou Bâ, rendant ainsi le document « nul et non avenu ». Cette accusation de « décret fantôme » a jeté de l’huile sur le feu dans un contexte politique déjà tendu.

Les Etats de l’AES ne sont pas à leur coup d’essai, le samedi dernier, ils avaient accusé le président Macky Sall de vouloir rester au pouvoir en annonçant ce report. Ils ont dit attendre « la réaction de la CEDEAO et les éventuelles sanctions qu’elle pourrait envisager dans cette situation ».

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29 commentaires

  1. Lapa

    Le Conseil constitutionnel a été accusé d’avoir à son sein des corrompus par l’opposition. Si on allait aux élections dans ce contexte tout résultat défavorable à l’opposition serait considéré comme frauduleux. En outre des opposants ont écrit aux PR pour dénoncer le fait qu’ils soient écartés des élections lors du contrôle des parrainages. Par ailleurs l’on constate que des candidats ont la double nationalité. La candidature d’un des candidats détenu en prison passe alors que des charges lourdes pèsent sur lui. Tout ceci montre des manquements graves quant à l’issue des élections. Sous ce rapport le PR ne pouvait que repousser les élections. Wa Salam


  2. Damel

    Maky dé limiy def gni nio koo tané dax niom lakhatou wouniou ci guinaw kenn di def you niaw you soufé andak niak diom cipiri,yag yag dina niou koo yew.


  3. Aboubacar

    Fermez vos sales gueule le président Macky sall n’est pas arrivé au pouvoir par les armes et vous les faux caporaux qui n’ont aucune connaissance


  4. BARRY BOUBAKAR

    Ah bon ? Quelles leçons de démocratie ou de gouvernance politique peuvent donner au Sénégal les putschistes burkinabè, maliens et nigériens ? Que peut assurer, sinon l’hérésie de l’orgueil mal placé, leur illégitime et fantomatique « Alliance des Etats du Sahel », telle que hâtivement brocardée sur l’autel d’un nationalisme frileux, débridé et mystificateur ? Décidément,  » le ridicule ne tue pas ».


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