Pourtant le dialogue ne fut nullement instauré en des moments cruciaux : Lorsqu’en 2017, jusqu’à la veille des élections législatives, près de 2 millions d’électeurs n’avaient pas encore reçu leur carte d’identité/électeur biométrique CEDEAO mise en place lors de la refonte du fichier électoral, au point que le Président de la République décida, au dernier moment (à une semaine du scrutin), de saisir le Conseil constitutionnel pour avis…
Le Conseil constitutionnel avait invalidé 22/27 candidatures à l’élection présidentielle de février 2019 dont 20 l’avaient été pour défaut de parrainage.
La liste proportionnelle de la principale coalition de l’opposition, lors des élections législatives de juillet 2022, a été annulée par le Conseil constitutionnel, écartant ainsi de la course des ténors de l’Opposition…
Or, l’approche dans le cycle électoral favorise la réforme électorale entre l’évaluation des élections précédentes et le démarrage de la période pré-électorale. Dès lors, le dialogue avait bel et bien eu lieu conformément à la tradition sénégalaise. En outre, le fichier électoral avait été audité une énième fois par des experts internationaux.
Il s’y ajoute que l’administration avait quasiment fini de remplir tous les actes préparatoires et avait mis en place le dispositif matériel pour un bon déroulement du scrutin. Ainsi, même les bulletins de vote avaient été édités. C’est dire que le Sénégal est actuellement prêt à organiser l’élection présidentielle !
Par conséquent, le crime que l’on tente de commettre en présence de plusieurs témoins, notamment la communauté internationale à travers ses Observateurs, ne saurait prospérer !
Il est de la responsabilité des 7 Sages du Conseil de rendre leur verdict en application de la Constitution et des lois, afin que la République ne soit assassinée par des calculateurs et comploteurs au moyen fallacieux d’un dialogue qui ne vise qu’à redistribuer les cartes.
La Cour constitutionnelle tant réclamée et actée dans la Charte des Assises Nationales sera instituée par le futur régime issu de l’élection présidentielle du 10 mars 2024 probablement : une nouvelle date à fixer par le Conseil constitutionnel en respectant la période de campagne électorale(20 jours).
L’unique dialogue qui se justifie, dans le contexte actuel, consiste à respecter le droit du Peuple sénégalais à choisir, de manière libre et démocratique, son Président de la République.
Ndiaga SYLLA, Expert électoral*
Diagnostic sylla, tu es ennemie du peuple sénégalais, tu proposes rien sauf peuplisme
Parce que c’est le moment,idiot !!!
Ce gars-là est prétentieux dé. Il se prend réellement pour un expert.
QUEL EXPERT ELECTORAL , LA OU LES GENS COMBATTENT LES SALAFISTES ET REBELLES EX PASTEF TU LES RENFORCES POUR L INTERET DE TON CABINET . KHALIS KHALIS REK
Je vous promet que nous sommes malheureux de la situation que vous vivez et pour ma part le vous adresse toute mon amitié dans cette situation malheureuse que vous vivez Renaud GRIHANGNE
Le senegal peut se passe de tout ceux qui refusent d aller au dialogue vous pouvez rester chez vous on s en fou
Ce workate ne connaît que le rapport de force il faut le trouver au palais ou le tendre un embuscade
Dialoguer avec les islamistes, les salafistes, les rebelles et les forces spéciales ?
Si tu restes au pouvoir après le 3 Avril, tu ne seras plus notre président, mais le Chef de la junte comme Assimi Goita
DIALOGUE SUR DIALOGUE À CHAQUE FOIS QU IL EST DOS AU MUR ( WEUR NDOMB) IL APPELLE AU DIALOGUE MAIS AVEC QUI IL VA DIALOGUER .DES DIALOGUES QUI N ABOUTISSENT À RIEN. CE GUIGNOL DE MBAM KHOUH FIRHOUNA SALLES CE CROIT QU IL EST INTELLIGENT SACHE QU À PARTIRE DU 02/ AVRIL TU REPONDRA À LA CPI INCHALAH
IL ya de quoi faire un test psychiatrique à un candidat avant de l’élire président la prochaine fois?
Dialoguer autour de quoi.macky doit comprendre que les sénégalais n’ont plus ce temps.
Allons aux élections c’est la seule voie salutaire pour que règne la cohésion sociale.
macky veut endormir les sénégalais mais qu’il sache que on a tout vu tout entendu.
Dialogue ne s’impose pas voter le 25.02.24 cage de la stabilité nationale.