Vente secrète de 10 immeubles publics : le montage qui fait vaciller l’ère Macky Sall

La gestion des finances publiques entre 2019 et 2024 est désormais au cœur d’un scandale d’État aux ramifications profondes. Dans un référé explosif relayé par L’Observateur, la Cour des comptes dévoile un montage financier opaque mêlant emprunts obligataires, ventes discrètes de biens publics et circuits parallèles de redistribution. Transmis au ministre de la Justice, ce dossier sensible pourrait ouvrir une nouvelle ère judiciaire dans l’après-Macky Sall.
114,4 milliards FCFA hors du Trésor public
La Cour des comptes dénonce le détournement de 114,4 milliards FCFA issus de l’emprunt obligataire Sukuk Sogepa 2022. Ces fonds ont été exécutés en dehors des circuits officiels du Trésor public, sans dossier d’ouverture de compte ni signature du ministre des Finances. Le compte utilisé, intitulé « Relance de l’économie », a été ouvert sans traçabilité claire, soulevant de graves soupçons de détournement ou de mauvaise gestion.
Vente de 10 immeubles emblématiques de l’État
Dix bâtiments publics stratégiquement situés à Dakar ont été vendus à la Sogepa pour 198 milliards FCFA, sur la base de la loi n°2021-36. Ces biens immobiliers ont été utilisés comme garanties dans le cadre du montage financier de l’emprunt Sukuk. Paradoxalement, ces immeubles ont ensuite été reloués à l’État, ce qui a permis aux investisseurs de percevoir des loyers, dans une opération financière jugée opaque.
Répartition douteuse du produit de l’emprunt Sukuk
La Cour relève une distribution des fonds du Sukuk manquant de transparence. Sur les 247 milliards collectés, une grande part a été versée à des acteurs privés comme Envol Immobilier (près de 9,6 milliards FCFA) et Spherex (plus de 38 milliards FCFA), sous forme d’acquisitions ou de libérations de garanties. La Sogepa a également perçu 30 milliards pour ses propres besoins, sans justification claire. La complexité du circuit financier suscite des interrogations sur un éventuel système d’enrichissement illicite organisé.
Absence d’ordres de virement signés par le ministre
Les virements bancaires impliqués dans la gestion de cet emprunt ne portent pas la signature du ministre des Finances, comme l’exige la procédure légale. C’est le Directeur général du Budget qui aurait signé à sa place, ce qui viole les règles de gestion des finances publiques et soulève des soupçons de fraude administrative.
Opérations non justifiées et bénéficiaires flous
Une partie des 114 milliards aurait été utilisée pour des « opérations courantes », selon d’anciens responsables du ministère, incluant le paiement à des sociétés comme Sofico (32 milliards FCFA). Mais aucun document ne justifie clairement ces dépenses. Cette affaire, l’une des plus explosives, est désormais entre les mains de la justice, avec l’ouverture imminente d’enquêtes pénales par la Division des investigations criminelles.
😂😂😂😂😂 Thiéye wa.pastef yi AK com .
Maky sall molén titeule khamena sén bilan Maky Sall lay done.
Travailler les Sénégalais sont fatigué.
Riz 25.000
Huile 5 litres 6500
Sucre k 600
Sucre béque 800
Yi Moy priorité Sénégalais au lieu de nos temporisés avec cour des comptes voleur par ici voleur par la. Travailler
Quand on a fini de lire ce texte, on ne peut que se prendre la tête entre les mains et s’interroger: Comment des élus, les gardiens de la constitution en sont arrivés a un tel point de prédation, de cupidité, d’avidité et d voracité? C est grave et laisse pantois et bouche bée. Espérons que toute la lumière sera faite de façon exhaustive. Récupérons nos bâtiments bien du peuple en totalité et mettons en prison tous les intervenants fraudeurs vendeurs, intermédiaires et bénéficiaires. Ils sont allés loin, trop loin et on n a pas fini de découvrir de fil à aiguille la totalité de leurs basses oeuvres
Lire gal gui au lieu de Gauguin
Où était le ministre quand ses subordonnés signaient à sa place. Quand l’etat vend des immeubles à Sogepa, où est le problème. Deureum bi guenoul Gauguin. Cependant si des soupçons de malversation existent, autant diligenter des enquêtes nécessaires par les structures dédiées et que travail de développement se poursuive.
Que la justice arrête de faire ces communications comparables à celles supposés lanceurs d’alerte et autres chroniqueurs et s’inscrive dans la discrétion qu’on lui reconnaissait.
Au travail, les compatriotes, les priorités sont ailleurs.
Le. Chien a été dégager mais il nous a laissé un trou trop profond
Cette histoire est loin d’être terminer. Il faut continuer à creuser les gas !
Mais vous êtes con ou vous êtes express. Un état a le droit de vendre des biens publics. Le gouvernement du duo incomptent ont vendu combien de terrain à une entreprise italienne vers kédougou ? On en parles ?
Ya ngui khass seu bopp
Écoute…être éduquer c’est pas donné pour tout le monde…alors ton ignorance qui soulève ton manque d’éducation
Le con , c’est toi. Tu n’arrives pas à comprendre que ce qui pose problème ici , c’est moins la vente de biens publics par l’Etat que les conditions qui entourent cette vente