Trop de morts sur les routes : Les syndicats exigent des mesures fortes de l’État
Lors de la rencontre des transporteurs du Sénégal visant à mettre en place une fédération unique de la profession, Pierre Mbakhane Gomis, porte-parole du Cadre unitaire des syndicats des transports routiers du Sénégal, s’est exprimé lundi au sujet de la problématique persistante des accidents de la route.
Abordant cette question préoccupante, le syndicaliste a souligné qu’elle a occupé une place importante dans les échanges :
« Les accidents de la route deviennent de plus en plus fréquents, malgré les efforts consentis. Nous avons analysé les causes profondes et proposé des solutions durables. Il est désormais impératif de responsabiliser l’ensemble des acteurs du secteur, tout en appelant l’État à renforcer les contrôles et à investir davantage dans la formation. »
Lire « Où les gens suent et transpirent sans aération en lieu et place de Quentin «
Cher frère Gomis, les nombreuses expériences des acteurs dans le domaine des transports terrestres, sont suffisamment importantes pour permettre de trouver et d’appliquer les solutions idoines aux problèmes rencontrés.
1- formation des chauffeurs sur le code de la route et sur les comportements y relatifs;
2- renouveler le parc automobile en excluant les Ndiaga Ndiaye, les 7 places sont certains totalisent plus de 50 ans, les minibus dits gueuleu- gueuleu et les bus âges de plus de 39 ans;
3- respecter les règles du Code de la route et sélectionner les chauffeurs capables de les conduire ;
4- limiter le poids autorisé et interdire aux bus de transporter des marchandises et autres bagages lourds et les réserver aux camionneurs;
5- supprimer les places dites versailles afin de permettre aux voyageurs de pouvoir se délecter les jambes.
6- faire arrêter par les services de l’État, l’effet de corruption très marquante dans l’obtention et la délivrance des permis, licence et attestation.
Le secteur des transports terrestres souffrent d’émotion tant il est vrai que l’on accepté que l’etat des véhicules dépend de la capacité de son propriétaire de surcroît père de famille. Il faut rappeler simplement que nourrir sa famille ne saurait s’accommoder d’une anarchie. C’est douloureux de se déplacer avec les 7 places à cause de la vieillesse et de l’inconfort en plus de l’insécurité.: 3 places derrière ou les gens Quentin et transpirent.
L’État doit agir et fortement.
Vous avez oublié de mentionner les tracasseries administratives que les transporteurs subissent sur leurs trajets.
La police et la gendarmerie sont devenues des organisations mafieuses d’extorsion routière.
Avec trop de deux roues, les accidents ne font que augmenter
Bref, il faut réduire l’effectif de la police sénégalaise de la pensée pour pouvoir augmenter l’effectif de la police sénégalaise de la route sans augmenter les prélèvements obligatoires auxquels les con-tribu-ables sénégalais sont assujettis.