Sonko recalé, « aujourd’hui, le combat c’est de réclamer la libération de Bassirou Diomaye Faye », (M. Sarré)
Les partisans du leader de l’ex-Pastef ne comptent pas baisser les bras, malgré la decision du Conseil constitutionnel. Ils comptent saisir les juridictions internationales. Et c’est Moustapha Sarré, Directeur de l’école dudit parti qui en a fait l’annonce sur I-Radio, ce dimanche. Et pas que… Ils comptent faire libérer Bassirou Diomaye Faye.
« Il faut bien que cela change au lendemain du 25 février…
« La première réaction, c’est de constater que ce que nous craignions depuis très longtemps s’est produit. C’est-à-dire la consolidation de la disparition de l’état de droit. Ousmane Sonko était bien éligible. Il était électeur et bien éligible« , a soutenu M. Sarré.
Qui poursuit : « Ce qu’on lui reproche aujourd’hui, c’est sa condamnation dans l’affaire Mame Mbaye Niang. Ce qui est encore une très grosse aberration. Nul par ailleurs vous ne verrez un citoyen interdit d’élection présidentielle parce que il a été condamné à 6 mois avec sursis dans une affaire de diffamation, c’est une aberration, personne ne peut l’expliquer, personne ne peut comprendre. Et il faut bien que cela change au lendemain du 25 février« .
Libération du Candidat Doomaye…
Il a, aussi été question de la candidature de Bassirou Diomaye Faye qui est finalement passée. Le numéro 2 de Sonko toujours en prison, le Directeur de l’école de l’ex-Pastef évoque le principe de l’égalité des candidats…
« Maintenant pour Bassirou Diomaye Faye, nous tous nous savons qu’il n’avait pas d’arguments pour le recaler. Les arguments qu’ils avaient déclaré c’était qu’il appartient à un parti dissout, donc il n’avait pas le droit d’être candidat et ce n’est pas ce que dit la loi. Nous tous nous savons ce que la loi a été dite. Aujourd’hui, le combat c’est de réclamer sa libération, il n’est pas question qu’il reste en prison. Quand même le principe d’égalité des candidats doit pousser le pouvoir à le libérer… A Pastef, la résistance est le maitre mot. Nous allons utiliser tous les moyens pour montrer à la face du monde que ce pouvoir a violé les droits d’Ousmane Sonko…« , prévient-il.
Allez au diable merde a la fin tournez cette page vous perdez votre temp c est vraiment devenu de l enfantillage on se croit au jardin d enfants
Et si la grève des greffiers avait un relant politique pour empêcher une condamnation définitive, à Diomaye ?
Vas te faire foutre yolom guenio bokoul