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Présidentielle : "Aller enfin répondre à l’appel au dialogue", Alioune TINE*

Maintenant que le Conseil Constitutionnel comme le deus ex machina des grecs vient de délivrer de façon spectaculaire le Sénégal du lourd fardeau d’un processus électoral présidentiel inédit et dont les rebondissements et coups de théâtres ont tenu en haleine toute l’opinion nationale, africaine et mondiale, les voies d’un dialogue positif et libérateur sont désormais largement ouvertes.

Aujourd’hui, j’ai eu des appels enthousiastes et joyeux, un peu partout dans le monde: du genre le Sénégal est un pays immense, trop grand pour appartenir aux seuls Sénégalais, oh les gorgui vont nous tuer. Pour dire que ce n’est pas les Sénégalais qui se sentent libérés, mais c’est l’Afrique de l’Ouest, le Continent et tous les amis du Sénégal dans le monde.

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Quand je parle du pays roseau qui plie et ne rompt pas, je pense aux métaphores de Cynthia Fleury sur la démocratie et comment les démocraties produisent leur propre immunité démocratique face aux maladies de la démocratie: la santé c’est tomber malade et s’en relever, notre démocratie est tombée malade, a traversé des épreuves dures, des vulnérabilités et s’en relève peu à peu. Il faut guérir ensemble,

il nous faut inventer ensemble des nouvelles normes de vie, pour reprendre Cynthia Fleury.
Il est tant qu’on prenne en charge collectivement la volonté politique d’apaisement du champ politique, de réconciliation et de concorde nationale du Président Macky_Sall.

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Aller enfin répondre à l’appel au dialogue pour s’entendre de façon consensuelle sur la date de la présidentielle. Une présidentielle libre, honnête, transparente et apaisée. Libérer Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye serait la cerise sur le gâteau de l’apaisement et de la réconciliation nationale, qu’ils aillent parler au PR, doit être considérer comme la chose politique normale, une forme de sublimation de notre démocratie et un symbole fort de réconciliation nationale. après toutes ces épreuves que nous avons traversées.

Il faut ouvrir les fenêtres d’opportunité de cette crise, examiner ses sources profondes, tirer toutes les bonnes leçons de la façon la plus positive, c’est à dire refaire du lien, refaire de la solidarité, refaire nation.
*Président du think tank AfrikaJom Center
sur X Vendredi 16 février

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14 commentaires

  1. Aziz

    Doyen Alioune, vous n’avez jamais expliqué aux sénégalais les termes de référence de ce soit-disant « Dialogue national » ! Un Dialogue suppose deux groupes qui échangent sur quelque chose ! C’est ce quoi là que l’on veut savoir !


  2. TruthHurts

    Arrêtez nous cette foutaise de consultation ou de dialogue! Juste pour choisir une date, pourquoi Macky Sall a besoin de dialogue ou consultation?

    Est ce que quand il choisissait la date du 25 février, il y’avait dialogue ou consultation?

    S’il ne peut pas prendre ses responsabilités, il n’a qu’à laisser le conseil constitutionnel choisir une date. On en a marre de toute cette stresse. On ne lui demande pas ces intestins quand même!!!


  3. Amet

    Il n’y plus rien à dialoguer libéré les personnes arrêtées injustement et organiser une élections libres transparentes et démocratique et les choses redevient normal point


  4. Sagna

    Tine c’est bon de faire le dialogue pour le bien de l’état. Mais ne dialogue pas pour endormir encore les sénégalais.macky a l’habitude de prendre les sénégalais en haleine pendant des jours voir des semaines pour enfin sortir de la petite porte. Les exemples sont nombreux. A l’heure actuelle tout ce que kes sénégalais c’est la date des élections qui doit être fixée selon les spécialistes la première semaine du mois de mars autrement le Président fixe la date après le dialogue s’ensuit. Mais s’il faut d’abord aller au dialogue et enduite on fixe la date du scrutin ce sera compliquer.

    Et pour le cas de Ousmane Sonko et Diomaye écoute tiré on ne dialogue avec quelqu’un le couteau à la gorge. Certains politiciens parlent d’intégration de Sonko sur la liste électorale pour devenir candidat et ainsi que karim wade qui ol faut six mois pour prétendre à la nationalité sénégalaise.

    Les sénégalais n’ont pas ce temps de tant plus le candidat de Sonko c’est bien Diomaye.

    Ne créer pas d’autres situations qui peuvent créer une autre nouvelle situation compliquée.

    Allons directement au but abandonner ce cirque.


  5. Seye

    Merci infiniment pour votre engagement et votre amour pour ce beau pays qui est le Sénégal ! Toute la population éprise de paix et de la stabilité de notre cher Sénégal vous dit Albarka.


    • Aladji

      D’abord PAS DE MERCI! Mr Tine pousse au dialogue, les mots ont leur sens, il est juste demandé de fixer les activités électorales (dates & durée de la campagne, jours de vote) dans l’intérim au 2 avril, date butoir. Le CC n’a aucunement envisagé au-delà du 2 avril, et des complotistes pensent avoir coudées franches pour plaider le rabat des candidatures ! Donc Mr Tine est plus intelligent que beaucoup de nous, si tant est qu’il est dans l’intermédiation, les bons offices, alors il se devait de LEVER LES VOILES ET LES ÉQUIVOQUES !


  6. Lamine Diop

    Merci monsieur Tine !


    Merci est devenu incapable d’un raisonnement cohérent.

    Il allait droit au mur et nous avec.


    Je voudrais savoir où se trouve notre médiateur s’il y en a un bien-sûr ?


  7. Démocratie

    Toute la coalition Gueum Sa Bopp derrière le leader Bougane . Plaident pour des Élections libres , transparentes et inclusives . Cependant le mot d’ordre reste le même battre campagne avec une opposition unie , solide et stratège . Pour ensemble éradiquer ce régime marionnette et déloyale et ce système politique pourri qu’il prône .


    • TruthHurts

      Merdes avec cet hypocrite de Bougane. Il n’a qu’à aller continuer à cirer le bottes de Macky. He is so fake!

      De lui de ne jamais venir joindre Diomaye. Please!


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