Dans le cadre des élections législatives anticipées prévues le 17 novembre, la région de Matam est le théâtre de manœuvres politiques intenses. Plusieurs alliances sont en cours de formation, ce qui rend la situation politique actuelle incertaine. Dans les départements de Matam, Kanel et Ranérou, trois groupes principaux s’affrontent pour les cinq sièges disponibles. Ces élections voient s’opposer à l’échelle régionale et nationale le parti de Sonko, Macky Sall et Amadou Ba.
À moins de quarante jours du scrutin, les partis politiques s’activent pour former des alliances. La coalition Jamm ak Njarin, dirigée par Amadou Ba, se présente comme un rival sérieux face à Takku Wallu Sénégal (TWS) de Macky Sall. Le parti Pastef cherche à s’imposer en misant sur la jeunesse pour attirer les électeurs.
À Matam, qui dispose de deux sièges, Jamm ak Njarin a choisi Abou Diallo et Ndoumbé Diop. En face, Takku Wallu Sénégal mise sur des figures comme Mamadou Diaw et Aissata Ousmane Diallo. Pastef, quant à lui, présente Cheikh Oumar Basse et Fatimata Diallo.
À Kanel, la coalition d’Amadou Ba a investi Amadou Samba Kane et Néné Mariame Kane, tandis que Macky Sall mise sur Daouda Dia et Raky Diallo. Abdou Karim Sall, ancien ministre, se présente sous une nouvelle bannière. Pastef a choisi l’enseignant Mallé Sylla et Sokhna Sow, une commerçante.
Dans le département de Ranérou, Jamm ak Njarin présente Samba Camara et Fatou Faye Dianka. Du côté de TWS, Amadou Dawa Diallo cherche à conserver son siège, s’appuyant sur une alliance solide au sein de la circonscription pour défendre les intérêts locaux. La lutte pour l’unique siège de Ranérou s’annonce féroce, avec des enjeux sociaux et économiques importants en jeu.
Matam aux enchères politiques avant les législatives… (source Sud Quotidien)
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