Liberté 6 : Une Nigériane « talibé niassène » menace d’incendier une mosquée à cause…
D’origine nigériane, Edula Obanla adore le Sénégal. Selon le journal Vox Populi, cette femme est même une fervente « talibé niassène ». Le seul hic, c’est qu’elle est sans domicile fixe.
Déjà en 2010 et en 2011, elle avait été jugée pour les mêmes faits. Ce qui lui avait valu son expulsion du territoire sénégalais.
Malgré tout, elle est revenue. Et cette fois-ci, elle a voulu élire domicile dans une mosquée se trouvant à Liberté 6 Extension. Un lieu de culte construit dans la maison de Cheikh Nourou Dia. Interdite d’accès dans cette mosquée, la quinquagénaire a menacé d’incendier les lieux.
Attraite, hier jeudi à la barre du tribunal de Dakar statuant en matière de flagrants délits, pour répondre aux délits, pour répondre aux délits de menace de mort et séjour irrégulier, Ebudela Obanla a écopé de la peine de trois mois ferme.
Pitié pour cette dame
Mawlana Cheikh Ibrahima niass Lépam Dafa Léér digualoul Béne Talibém Di Togn Liguéyeul Diiné Mo ko Nior mé pas di fitnal ay niit wa salam
On ne peut pas parler de « séjour irrégulier » alors que son pays fait partie de la CEDEAO ! Et ON NE DOIT PAS EMPRISONNER UNE PERSONNE POUR UN DELIT AUSSI MINEUR. SON SEUL CRIME EST D ETRE PAUVRE. Il ne fait pas bon vivre actuellement au Sénégal quand on est sans les sous ! Et où est la « téranga » sénégalaise yi fi mamm yi baayiwon ??? Néégou YAllah, di dakhaaté diamou Yallah ! Kaana djakou ngiistaal ! Du temps du Prophète Mouhamed (psl) CETTE MOSQUEE DEVAIT ETRE EFFECTIVEMENT BRULEE. On devait trouver une autre solution que de la mettre en prison ! Je connais 2 dignes fils de Ndakaarou Dial Diop, habitant dans le plateau, leur maison familiale tient une tradition héritée de leurs parents et arrière-parent: chez l’un près de sandaga, l’étranger trouvera toujours de quoi manger convenablement, boire du thé ou du café, et pourtant il n’est pas riche; chez l’autre, du côté de la gare, lui il est très riche, et l’étranger trouvera toujours où passer la nuit chez lui. Ce sont ces formes de générosité gratuites qui sont en voie de disparition au Sénégal.