Le Président Diomaye Faye lance les États Généraux des Transports : Séminaire à Diamniadio
Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a donné une mission capitale au ministère des Infrastructures et des Transports Terrestres et Aériens (MITTA) : organiser les États Généraux des Transports Publics. Cette initiative vise à impulser une transformation rapide et complète du secteur des transports au Sénégal. En amont de cet événement majeur, le MITTA a prévu un séminaire crucial qui se tiendra du 19 au 22 août 2024 au stade Me Abdoulaye Wade à Diamniadio.
Ce séminaire regroupera divers acteurs du transport routier pour travailler à l’harmonisation de leurs positions et définir les orientations futures du secteur. La cérémonie d’ouverture, qui se déroulera le 19 août à 08h30, sera présidée par Monsieur Malick Ndiaye, Ministre des Infrastructures et des Transports Terrestres et Aériens. L’objectif est de poser les bases d’une réforme ambitieuse et de promouvoir une mobilité durable et des infrastructures modernes au Sénégal.
Le ministère des Infrastructures et des Transports Terrestres et Aériens se positionne comme un acteur clé dans la modernisation du secteur des transports, en mettant l’accent sur l’amélioration des infrastructures et la promotion de la mobilité durable. Ce séminaire marque le début d’une série d’initiatives destinées à transformer en profondeur le paysage des transports au Sénégal.
Comment faire pour être speaker ?
J’ai la solution définitive.
J’ai la solution definitive pour le problème du transport et de sécurité routière et mobilité urbaine.
Cependant des imposteurs influenceurs qui ont des bras longs vont encore animer les débats avec des solutions nulles à leur intérêt pu se faire voir.
S’il vous plais, c’est trop urgent Mr Le ministre. Il y a trop de décès liés aux chocs frontaux. SVP Avant les état généraux faire la cartographie des accidents mortels de la circulation et lancer en masse les opérations de séparation des Routes nationales et interurbaines en 2X2 voies priorité sur les zones les plus touchées . Et plus de chocs frontaux . Après ca vous pourrez organiser les états généraux . Salam
Pour transporter des vies humaines il faut être une personne polie qualifié et responsable, donc la solution est suivante. D’abord tous les chauffeurs devront avoir minimum 21 ans et après avoir un qualification pour conduire des véhicules destinée à la transport publique, pareil pour les poid lourd des marchandises, ces permis devront avoir un durée maximum de cinq ans renouvelable après des cours le test des yeux. Pour les conditions des véhicules mom je pense que 90% d’eux ne devraient même circuler, mais les solutions aussi sont là. En attendant les gens meurent comme des mouches dans les routes. Et nous? Inna lillahi wa inna ilayhi raajihoon ndogalu yalla la. Ah wa bakhna
La loi sur les voitures de 8 ans au plus, doit revenir a 12 ans pour changer le parc automobil au Senegal.
Je sensibilise souvent sur un fait on ne relève pas et qui pourtant est la cause de plus d’accident.
Il s’agit de boire de l’alcool et de conduire en plus pour un pays musulman il n’y a qu’au senegal ça existe. Dans tous les pays c’est boire ou conduire.
Ici l’alcool est même vendu dans les station d’essence des autoroutes et routes . Qui ne les a pas vu acheter et reprendre le volent. Avant d attaquer les permis à point et autre réglons d’abord cette affaire.
Vite pour une loi qui puni très sévèrement les buveurs ou au volant qui ne sont rien d’autre que des tueurs au volant.
En Europe c’est retrait immédiat du permis plus garde à vue et prison.
dgd 100%
Nous les Modou Modou,ouvrez nous la porte d’entrée des voitures de plus de huit années
À mon humble avis, il faut de plus en plus développer le chemin de fer. Il faut mailler tout le Sénégal; d’Est à’Ouest, du Nord au Sud. Les accidents vont drastiquement diminuer et les camions céderont leurs places aux wagons. Le développement d’un pays se mesure par la qualité de ses voies ferroviaires. Il essayer cette option vous y trouverez la sécurité.
Alioune 100%
Tout a fait!
C’est cela meme dont nous avons besoin.
Tous les véhicules dépourvus de système de sécurité doivent être interdits, comme les ceintures de sécurité, les airbags, les systèmes de stabilité ASR, etc.
Thiey l’éternel recommencent tout a été déjà dit sur le secteur des transports de wade à macky sall… vous allez encore vous réunir à coup de dizaines de millions pondre un mémorandum et le ranger aux archives. Commencer par appliquer les dernières recommandations du conseil interministérielle sur les transports sous l’ancien régime té bayi thiakhane
sène kignane ak sène sokhor gnoo lène kay téré deff. gni mom dougnou ay nite you yiw
Contre les accidents, il faut des panneaux visibles de limitation de vitesse, de stationnement(autorisés ou interdits), de dépassement (autorisés ou pas) de croisement voies secondaires, dangers animaux et de virage. Il faut des postes de contrôle aux entrées et sorties des villes .Enfin il faut mettre des policiers et gendarmes un peu plus en nombre pour dissuasion anticipative (la peur du gendarme et des pénalités/amendes).Il faut des mesures pratiques et concrètes
A ce rythme il faudrait un visa d’entrée et de sortie pour aller d’un village à l’autre.
Moins il y a de barrages mieux c’est pour éviter le rançonnement des automobilistes.
Cette situation n’est pas simple car elle n’est pas seulement structurelle.
Le facteur humain est le maillon faible du transport au Sénégal.
On peut y mettre le conducteur, le passager, ceux qui utilisent la route, les propriétaires d’animaux en divagations, etc…
Mais les cars rapides n’ont pas été invités (rires).
Espérons que les invités seront assis sur des Versailles et que les tables seront des pneus usés (rires).