États généraux des Transports : « Insécurité routière et embouteillages chroniques… », Diomaye Faye

États généraux des Transports : « Insécurité routière et embouteillages chroniques… », Diomaye Faye

Le président de la République a présidé ce lundi le lancement des États généraux des transports publics, qui se tiennent du 21 au 25 octobre 2024 au CICAD de Diamniadio.

Bassirou Diomaye Faye a souligné l’importance de cette étape cruciale pour repenser la mobilité au Sénégal, face aux défis de l’insécurité routière, des embouteillages chroniques et du manque d’infrastructures.

« J’ai eu le plaisir de participer, ce matin, au lancement des États généraux des Transports publics, qui marquent une étape clé pour repenser la mobilité au Sénégal.

« Face à l’insécurité routière, aux embouteillages chroniques et au déficit d’infrastructures, nous devons agir avec détermination. Ensemble, bâtissons un système de transport inclusif, moderne et durable ».

Entre autres, le ministre des Transports, El Malick Ndiaye, en annonçant ces assises,   a souligné que cet événement a pour objectif de réinventer la mobilité durable au Sénégal en présentant des solutions innovantes pour des infrastructures modernes adaptées aux besoins du pays.

2 COMMENTAIRES
  • Gorgui

    C’est un secteur très important mais les acteurs sont dans une posture que seul des mesures fortes sous-tendues par une volonté politique et un courage ferme, peuvent faire aboutir. Le diagnostic est très bien fait et appelle dès solutions urgentes. La vieillesse du parc n’offre plus le confort souhaité, ce qui fait la prolifération de taxis clando, War gainde et autres. Les 7 places encore en circulation sont pour la plupart âgés de 60, 50 et 35 ans. Il s’y ajoute les minicars gueul gueul qui envahissent le transport urbain ( banlieue dakaroise) et interurbain sans aucune mesure de sécurité parce datant de plusieurs décennies. L’absence de feux rouges, de passages cloutés, le manque de formation citoyenne et les facilités d’obtention du permis de conduire et des autres documents techniques et administratifs, constituent autant de problèmes.
    Pourtant les interlocuteurs de l’état, en l’occurrence les transporteurs et leurs syndicats sont à la fois propriétaires et exploitants de ces véhicules, ils ne changeront rien si des mesures rigoureuses ne sont pas prises. Un vaste chantier.

  • Dakar

    Il faut mettre des feux rouges partout pour un debut de solution.

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