Ignorance ou mauvaise foi… Par Amadou Niang

Suite à l’article sur la CCR, on comprend bien que les trompettes de la renommée sont bien mal embouchés.

La réflexion sans l’action est inefficace, mais l’action sans la réflexion est aveugle.

Dans un souci d’organisation du parti et d’optimisation de ces actions, le Président de l’Alliance Pour la République (APR) a mis en place la cellule des cadres. Son ambition et sa mission consistent à se situer sur le terrain de la réflexion et de la proposition. Nous sommes dans le contexte d’un monde marqué par la crise des idéologies au moins depuis la chute du mur de Berlin et l’avènement de la Pérestroïka sous Gorbatchev dans les années 89.

Marshall McLuhan et Francis Fukuyama avaient théorisé l’idée d’un brouillage dans les repères doctrinaux qui gouvernent le fonctionnement des sociétés. Les communautés sont alors appelées à inventer un patrimoine de principes et d’idéaux qui président à leurs destinées de manière intelligente et cohérente.

Les anecdotes, les quolibets, les querelles de borne fontaine et les procès d’intention ont pris le dessus, portés par les médiocres. La CCR s’inscrit dans une dynamique de configuration comme un grand cadre où se rencontrent de vrais cadres pour discuter des problèmes de la cité. Une telle organisation dirigée par Abdoulaye Diouf Sarr a donné dès son début entière satisfaction pour tous les observateurs objectifs et tous les militants réellement engagés.

En effet, Diouf Sarr a convoqué 3 grandes réunions pour mettre en synergie les contributions de tous les membres dans le sens d’un renforcement du parti, d’une réalisation plus conséquente, des dispositions pertinentes contenues dans le PSE. Après un temps de léthargie, la CCR, vient de reprendre un nouveau souffle mais surtout de l’espoir avec la nomination d’un nouveau coordonnateur en la personne du Ministre, Maire, Monsieur Abdoulaye Diouf Sarr.

Dans un souci d’amélioration des process de la CCR, Diouf Sarr à la suite de la cérémonie de lancement de la vente des cartes a pensé opportun avec ses pairs de créer des pôles autour d’axes qui engagent les attentes du parti et de la nation toute entière.

Pour quelqu’un qui comprend les principes de la démocratie, c’est cela que l’on appelle la logique de la délégation. Seul, ceux qui ne veulent pas s’accaparer de tous les pouvoirs délèguent. Toute délégation suppose la désignation de personnes à la foi compétentes et vertueuses. Il s’agit de choisir. Tout choix est à la foi sélection, admission et attente. Le combat à mener aujourd’hui consiste à se mobiliser autour des personnes sélectionnées pour faire triompher l’offre politique du Président à l’occasion des prochaines consultations électorales.

Diouf Sarr reste une icône et une référence à travers son action et son discours. Les témoignages élogieux qui ont accompagné son passage au COUD, au ministère du Tourisme et des Transports Aériens, au ministère de la Gouvernance Locale et présentement au ministère de la Santé et de l’Action Sociale, ainsi que son œuvre magistrale au sein de la mairie de Yoff sont des preuves évidentes de son expertise et de son dévouement. Les jeunes responsables doivent sagement apprendre à son école.

Nous ne sommes pas à l’heure des critiques, le Président l’a bien rappelé il y a une semaine lors de sa rencontre avec les maires de la mouvance présidentielle.

* Militant APR