France : François Bayrou alerte sur une « explosion en chaîne » sociétale

François Bayrou, le Premier ministre français, a exprimé ses préoccupations, dimanche, lors d’une interview exclusive accordée au Journal du dimanche (JDD). Il a évoqué une « explosion en chaîne » au sein de la société française, menaçant la capacité des citoyens à vivre ensemble.
Bayrou a souligné que tel était son principal souci, plutôt que de débattre de la terminologie de l’islamophobie : « Vous ne me prendrez pas à la guerre des mots. Ce qui m’importe, ce n’est pas le mot, c’est ce qui est en train de se passer », a-t-il déclaré. Ces propos visent à attirer l’attention sur une crise sociétale plus large.
Dans cet entretien, Bayrou a reconnu l’existence croissante de discriminations fondées sur la religion, la couleur de peau ou l’origine dans la société française. Il a qualifié ce phénomène de « danger » en insistant : « Je vois monter un danger : celui de ne plus regarder ses concitoyens que par leur origine, leur couleur de peau ou leur religion. »
Le Premier ministre a fermement dénoncé toutes formes de haine, qu’elles visent les musulmans, les juifs ou les chrétiens, précisant que ces attitudes contraires aux principes républicains sont inacceptables pour lui. Il a ajouté que « la détestation d’un concitoyen pour ce qu’il est, pour son origine, pour sa foi, pour sa philosophie, je ne l’accepterai jamais ».
François Bayrou a également abordé la question des « guerres de religion », les considérant comme des « symptômes du pire », remettant en cause l’unité républicaine de la France. Il a conclu sur l’importance de promouvoir la compréhension mutuelle et d’employer le bon langage pour déjouer les tensions.
En abordant les défis économiques, Bayrou a mentionné la possibilité d’un référendum à venir, lié à l’effort budgétaire requis pour réduire la dette publique. « C’est un plan d’ensemble que je veux soumettre », a-t-il ajouté, insistant sur le soutien populaire nécessaire pour atteindre ces objectifs.
Cette information a été communiquée par notre source, Anadolu, soulignant l’importance de la vigilance face aux tensions actuelles en France.
Bayrou est l’un des politiciens qui tirent le ficelle de cette explosion sociétale, de cette discrimination. Le même enculé de Bayrou parlait de SUBMERSION des étrangers en France. Il veut nous faire croire qu’il est inquiet des turpitudes de certains politiciens français y compris lui.
Bande d’hypocrites. Nous africains au sud du Sahara sommes toujours discriminés du fait de notre couleur noir.
« Malgré la téranga, » ( l’hospitalité en wolof ) « le racisme est pire au Chenégal qu’en France. »
Véronique Ahyi-Hoesle, journaliste et écrivain Franco-togolaise, Xalimasn.com, 8 octobre 2010.
Bernard Lugan : « L’islamisme en Afrique est la surinfection d’une plaie » tribale.
« La bande d’expatriés, tous des hommes blancs, venus de France, pilote les activités futures qui doivent inquiéter notre société sénégalaise. »
Enquête sur le grand délinquant Marc Alain Aldasoro ou la liberté d’exploiter les Sénégalais ? Tout ce qu’il faut savoir sur lui, Sanslimites.com, 31 mai 2022.
« Je l’assume. J’assume être le raciste qu’on dit. »
Tahirou Sarr, président du mouvement nationaliste Chenégalais, Walfadjri TV, Chenégal, Dakar, 31 mars 2024.
« Je déteste LES Blancs, je déteste LES Kouffar » ( les non-Musulmans ).
Adja Ly ( l’une des filles d’un chef de quartier ), Parcelles Assainies unité 24, Dakar, Sénégal, 2011.
« Il y a énormément de divorces de couples Peuls. Ils n’aiment personne. »
Monsieur Gning, chef de quartier, Dakar, Sénégal, 2007.
Gniak : mot de la langue wolof ( qui est actuellement la langue principale des Chenégalais ) qui désigne de manière méprisante les Africains originaires d’Afrique Centrale.
« Bagne Toubab doyna diamou yalla » : « Haïr le Blanc suffit comme dévotion ».
Enseignement en langue wolof du fondateur du Mouridisme ( une branche de l’Islam soufi ) : le Chenégalais Ahmad ibn Muhammad ibn Habīb Allāh, plus souvent nommé Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, dont le nom wolof est Mor Bamba, que ses disciplines appellent parfois Khadimou al-Rassoul ( Serviteur privilégié du prophète des Musulmans en arabe ), alias Serigne ( Monseigneur en wolof ) Touba ( Félicité ou Béatitude en arabe ), dit Cheikh de Touba.
« Papa ne voulait pas que j’apprenne le français car c’était un Mouride fanatique. Il disait souvent : « Bagne Toubab doyna diamou yalla » : « Haïr le Blanc suffit comme dévotion ». »
Mor Thiam, père du rappeur Hal Pulaar Chenégalo-étasunien Aliaune Damala Bouga Time Puru Nacka Lu Lu Lu Badara Akon Thiam, plus connu sous le nom d’Akon, Rewmi.com.
« Commissaire Sadio sur le discours de Macron : « Nos autorités devraient précipiter le départ des éléments français de notre pays » », Senego.com, 7 janvier 2025.
« Je suis Sénégalais, j’ai toujours vécu au Sénégal, j’ai 74 ans et je n’ai aucun ami au Sénégal : ils m’ont tous volé ou escroqué ou calomnié ou trompé ou trahit. »
Monsieur Ngom, Djourbel, 2009.
Elle est déjà là monsieur.
Cette explosion sociétale est entretenue et alimentée au plus haut sommet de l’état par vous politiciens.
Vous êtes tous des Netanyahou encagoulés.
Vous brûlez tout sur votre passage et vous venez jouer aux sapeurs pompiers outrés.
Les étrangers longtemps établis en France doivent quitter votre prison
À ciel ouvert.
Votre descente aux enfers est inévitable car l’Afrique francophone s’est bel et bien libérée de vous.