Entrepreneuriat des jeunes au Sénégal : Atlantix donne un coup de manivelle

«Entreprenariat des jeunes au Sénégal, enjeux et perspectives», c’était le thème du panel organisé, ce samedi par Atlantix, en partenariat avec l’Apix, l’Adepme, le Fongip, la Der… L’objectif de cette rencontre, aider les jeunes à entreprendre mais aussi et surtout maîtriser l’environnement, c’est à dire ses dérivés.

Ils étaient nombreux, les experts dans le domaine de l’entrepreneuriat à y participer. Parmi eux , des représentants de l’Apix, de  la DER, de  l’Adepme, et du Fongip.  La connaissance de son environnement, le sens de management, avoir des idées adaptées au marché…, sont, entre autres les conseils que ces experts ont prodigué aux jeunes.

« L’APIX a un rôle à jouer en termes d’accompagnement pour tout ce qui relevé des procédures juridiques et administratives. L’APIX joue un grand rôle pour aider les jeunes entrepreneurs à formaliser, donc à conférer une existence légale et à donner une certaine personnalité juridique aux différentes entités ou entreprises  qu’ils créent « , a  rappelé  El Hadji Bassirou Diongue,  greffier de son métier, ==mis à la disposition du bureau de l’Apix.

Pour sa part, Abdoul Aziz Thioye estime que  le processus entrepreneurial est passionnant, en ce sens qu’il nous apprend à comprendre ce qu’est l’entrepreneuriat. Ainsi, toujours  selon  M. Thioye, « pour réussir dans ce domaine, on ne doit pas avoir peur des échecs…« . Pour lui, il faut surtout « être très réseauté pour démarrer une entreprise, et avoir aussi la passion (…) C’est le moteur de la création d’une entreprise… »

« Les organisateurs de ce panel pensent qu’il revient aujourd’hui à la jeunesse de s’approprier de l’enseignement qui leur est donné pour se lancer dans l’entrepreneuriat afin d’impacter dans la vie économique du pays. Tout part d’une volonté de vouloir entreprendre. D’ailleurs, les partenaires financiers qui étaient présents à ce panel disent qu’ils sont prêts à financer les projets qui sont bancables. Il revient maintenant aux différents jeunes d’avoir des idées et de pouvoir les quantifier en faisant des études et aller chercher des financements  auprès  différentes banques  et  des partenaires qui étaient présents…« , a fait savoir Pnaud Ressond, fondateur de Magnifica et spécialisé en relation publique et presse au Sénégal.

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