Défense du Sénégal sur les droits humains à l’ONU fait face à critiques internationales
La dernière session d’Évaluation Périodique Universelle (EPU) consacrée au Sénégal à l’Organisation des Nations Unies a été le théâtre d’un échange tendu relatif aux droits de l’homme. Plusieurs États ont émis des réserves quant à la gestion des libertés civiles et d’expression par le gouvernement sénégalais, soulignant des aspects jugés préoccupants.
En réponse à ces critiques, Aïssata Tall Sall, ministre de la Justice, a délivré une contre-argumentation affirmant l’engagement du Sénégal dans la protection des droits humains. Selon elle, la liberté d’expression serait pleinement pratiquée, reconnue et acceptée dans le pays. Elle réfute les accusations portées contre le Sénégal, en assurant qu’aucune poursuite judiciaire n’est engagée contre les journalistes pour l’expression de leur opinion, mais uniquement pour des infractions de droit commun.
La ministre a également défendu le droit de manifestation, rappelant que les libertés politiques sont respectées et exercées sur le territoire sénégalais. Aïssata Tall Sall décrit un Sénégal valorisant le dialogue interreligieux et s’attaquant à l’injustice et aux inégalités, une position qui semble en contradiction avec les observations des États critiques.
Qu ‘ils aillent rêgler la Palestine,l’ukraine le Soudan!
Quelle grande menteuse elle est devenu celle là . C’est dommage
Avec sa façon de faire son moussor di melni kouniou khagne 🤣🤣🤣🤣
tu es le diable lui-même
Sokhna si loutakh mou gnémé yalla beu dou wakh deugue moukou, la réalité est tout le contraire de ce que vous dites et les médias du monde le savent
Ko khamni wakh deugue meunou tji dara
Elle ment éhontément et le pire dans cette histoire, c’est qu’elle sait elle-même qu’elle ment, son auditoire aussi sait qu’elle ment. Cela n’étonne guère chez cette espèce politicarde indigne, cette pourriture cultivée dans notre bled, prête à toute forme de compromission, pour participer au festin des ogres. Ce régime cleptomane, immonde est à l’image de son chef, il est maudit. Il est clair que les sénégalais ne se feront aucune scrupule pour les bouter hors du pouvoir au soir du 25 février 2024. Game is over! La fin risque d’être rude pour Djimbori et son régime de criminels qui ne sauront échapper à la sanction populaire, mais aussi surtout aux châtiments d’Allah(SWT) réservés aux menteurs invétérés.