Candidats à la candidature et attaques malsaines… (Par Soukeyna Fall)*

Une nouvelle ère s’annonce dans l’air de l’arène politique, avec le retour probable de deux grands lutteurs du côté de l’opposition. Une nouvelle ère s’annonce aussi dans l’air du champ politique avec surtout la non candidature du Président de la République, SEM le Président Macky Sall. Une arène en quête de décomposition et recomposition qui ne saurait manquer d’ébullition et d’effervescence pour maintenir la tradition de cette magnificence appelée Démocratie.

Une occasion que malheureusement, certains en quête de meilleures positions, veulent saisir pour salir de manières viles et vilaines avec comme partenaire l’indécence.

De vaines stratégies ! Comme si de faux polis, qui ne chercheraient qu’à polir leurs CV politiques, rôdent dans les parages et font tout pour éviter tout repérage.

Il ne fait aucun doute, que certains, cherchent à travers la famille présidentielle, des travers à même de leur permettre un meilleur repositionnement.

Dans cette entreprise, émissaires et bouc émissaires sont déjà activés. Des attaques malsaines, bien ciblées, sur la scène publique politique, pour croire trouver, la clé qui ouvre les portes de l’ascension politique. Chercher à fragiliser par fragmentation et à détruire l’image d’une famille dans sa dimension présidentielle, en la mettant, de façon pernicieuse et tendancieuse, en mal avec l’opinion publique.

Jeter l’opprobre, pour se frayer le chemin de la victimisation, se créer son propre chemin avec tous les parchemins obtenus de la République à travers les différentes stations occupées.

Voltaire disait : « oh mon Dieu protégez- moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge »
Dans le grand et beau jardin du cœur et de la raison, l’insecte le plus redoutable s’appelle « Doute » et malheureusement le premier à en pâlir et en pâtir, c’est toujours le porteur du cœur !

Un insecte destructeur de bonnes récoltes qui est toujours source de grandes révoltes.

A tort ou à raison son impact imprévisible, reste toujours visible avec ses fusibles.

Que le Seigneur continue toujours sa bonne guidance dans nos choix.

LE MAÎTRE DES HORLOGES

Dans la grande horloge du temps, chaque chose à son temps. Libre à chacun, de chercher à dérégler ou de croire pouvoir faire dérégler son horloge mais l’hymne du temps, lui, reste toujours fidèle à son rythme, à sa démarche et à sa marche. Les pendules seront toujours mises avec bonheur, à la bonne heure, par le grand Maître des horloges ! Son agenda régente tous les calendriers.

L’œuvre du Président Macky Sall ne sera jamais dépassée par le passé car étant pour toujours dans le présent.

Il sera toujours convoqué dans chaque temps présent !

LA NON CANDIDATURE DU PRÉSIDENT MACKY SALL ET SES CONSÉQUENCES

Surprise pour les uns, choc pour les autres et normalité pour certains. Entre pourfendeurs, défenseurs et observateurs, l’épisode du 3ême mandat a déjà baissé ses rideaux.

Plus que des ciseaux, le tintamarre de la déclaration de non candidature du Président de la République Macky Sall, a fortement secoué et troué si brutalement et bruyamment le précieux ballon de football politique de l’opposition. Le fameux ballon de jeu et des enjeux, de propagande pour les sondages.

Un ballon unique, précieux et indispensable comme source d’attraction et d’animation que la mauvaise nouvelle a bousillé en plein match au point de créer un véritable choc. L’on ne sait plus quoi dire ou quoi faire. Plus qu’une douche froide ! Une humiliation qui vous force l’humilité, du K0 debout de mauvais goût pour eux.

C’est connu, ceux qui vivent de la guerre la bénisse d’abord avant de faire semblant d’être des prêcheurs de paix !

Tout a été préparé pour brûler et piller et malheureusement pour eux et heureusement pour la stabilité nationale, les fouteurs et fauteurs de trouble ont été déstabilisés. Point de trouble ! Si ce n’est des malfaiteurs troublés d’avoir raté le sujet ?

L’on est obligé de chercher un autre tube d’été, le single n’a pas marché et le disque est rayé !

Le tintamarre de la déclaration de non candidature est une catastrophe pour eux. Tintamarre que « Y en a marre » n’a pas vu venir. La mare aux problèmes est loin de faire marrer ! Avec tous les préparatifs et leurs cortèges de superlatifs, « ndeyssane », plus de ballon. L’on erre dans les poubelles politiques pour essayer de confectionner un nouveau ballon aux morceaux, sur les ruines des lambeaux retrouvés, comme les poupées d’enfance de certains. Un ballon torpeur et torpilleur des pieds qui n’a rien à voir avec l’air du temps, tant il manque d’air tout en nous pompant le nôtre !

La majorité présidentielle, qui ne souffre pas de manque de ballons, à elle un autre problème. Celui qui était à la fois capitaine et coach, leur efficace meneur de jeu, qui quel que soit les enjeux, savait pousser l’équipe jusqu’à la belle victoire, ce grand meneur et apporteur de compétences et de performances, s’est déclaré forfait en refusant de prolonger son contrat malgré les nombreuses supplications en paroles, en paraboles et en émotions. Difficile de trouver doublure à un acteur politique de cette dimension.

Une nouvelle phase s’ouvre, pour chercher à la majorité, un meneur à la fois capitaine et coach.

SUR LA NON CANDIDATURE DU PRÉSIDENT MACKY SALL

Avoir le droit c’est aussi avoir le choix.

Cela certains hommes musulmans, le savent trop bien malgré leur droit d’être polygame jusqu’à quatre femmes, ils choisissent de se limiter, qui à une seule épouse, qui à deux épouses et d’autres trois épouses.

Avoir le droit c’est aussi avoir le choix comme pour étayer la pensée historique qui dit « qu’un oui n’a de sens que quand celui qui le prononce a la capacité de dire non librement ».

Librement, le Président Macky Sall a choisi, malgré son droit, de ne pas être candidat aux élections présidentielles.

Ainsi une nouvelle page s’ouvre, préalable de tous les préalables, pour choisir le candidat de l’Apr et de Benno BOKK YAKAAR.

Une nouvelle phase, où certains trouvent le franc jeu pas à leur avantage au point de vouloir torpiller les bonnes notes politiques de certains. La fameuse stratégie sournoise de l’élimination en faisant tout pour vouloir handicaper certains dans la course. Faire le vide à tout prix !!
Comme si la licence des basses manœuvres, faite de manipulation, de mensonge et de populisme a été octroyée à un membre de notre parti dont la position peut permettre de toujours casser le caractère confidentiel de certaines rencontres !! Dans la maison de l’Apr ou de Benno Bokk Yakaar qui signifie avant tout, unité pour un même objectif, des pratiques qui n’ont rien à voir avec nos valeurs et idéaux commencent à vouloir y élire domicile. Entre cabales et cabane d’officine, il est clair que ces œufs et armes non conventionnelles ne seront pas laisser jusqu’à à leur terme d’éclosion ou d’explosion !

DANS LA MAISON DE L’APR

Dans l’écurie des poulains qui ont obtenu le grade de Cheval, le meilleur cheval de bataille est recherché. Une grande écurie, qui a toujours su, malgré les vicissitudes ou problèmes de la vie, éviter les écueils. Une écurie dont l’emblème du cheval, surtout de sa tête, symbolise aussi qu’elle est toujours tête de course. Malheureusement la bataille des guéguerres ou guerres internes en mode externe, est déjà actée pour écarter deux grandes tailles dans le quarté ou le quinté gagnant. Loin d’être un cheveu dans la soupe, quoi de plus normal que le gérant, des courses pour amateurs, de la LONASE s’en mêle ! Difficile pour lui de résister aux bruits de chevaux en galop !

DES ATTAQUES MALSAINES CONTRE LE PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE

Comment peut-on taxer quelqu’un de « célèbre inconnu » et se donner autant de peines à lui réserver ampleur et hauteur dans le traitement médiatique avec la prestigieuse et précieuse place de la Une de beaucoup de journaux ?

Comment peut-on pousser l’impropre, jusqu’à aller revisiter les poubelles d’une désespérée, pour sortir un argument pareil, « candidat de la belle famille », dans le but unique et inique de salir l’image d’un méritant, qui n’est ni pollueur ni spolieur politique. Il ne fait pas de bruit, il ne fait pas faire du bruit pour attaquer ou salir, directement ou indirectement ses propres camarades de parti. Il est totalement fair play.

Ce n’est pas en faisant dans le forcing de l’imposture que le contreseing du Président Macky Sall va se vivifier sur le décret divin.

Avoir la présomption d’une base politique c’est bien, mais le mieux pour un bon et grand responsable qui se veut leader, c’est de gagner ou de faire gagner son camp d’appartenance politique.

C’est de la légèreté que de revendiquer les victoires en étant réserviste et de dire en cas de défaite que je n’étais pas sur le terrain comme joueur aligné.

Docteur Amadou Mame Diop est un militant méritant, Maire et deux fois Député dans les précédentes législatures, avant d’être actuellement Président de l’Assemblée nationale. Si le débat de la légitimité historique avait sa place en politique, l’on pourrait aisément dire que Docteur Amadou Mame Diop est un supra légitime !

L’on pourrait dire la même chose sur la traversée historique et stoïque de certains.

Mais je suis de ceux qui pensent, que chaque militant à sa trajectoire et son histoire qui lui est propre avec le Parti, avec la coalition ou avec le Président Macky Sall. A chacun son mérite.

Les groupes de désespérés qui parlent de proximité ou d’amitié, doivent savoir que parmi les millions de sénégalais militants ou non militants, il n’y a pas plus proche, pour un Président de la République, qu’un Ministre, qu’un Ministre de souveraineté, qu’un Premier ministre, qu’un Président du Cese ou un envoyé spécial.

Que dire d’un Premier ministre à qui SEM le Président Macky Sall octroie cumulativement, deux autres portefeuilles ministérielles très importants à savoir le Sport et l’Elevage ?

Que dire d’un Premier ministre à qui SEM le Président Macky Sall témoigne de son estime au point de le laisser, plusieurs fois, le représenter, auprès de ses collègues Chefs d’État, avec tout le respect dû à ce rang ?

Comment peut-on confier une chose aussi importante qu’un poste ministériel, la Primature ou la Présidence d’une Institution sans base de confiance ou de proximité ?

Même un sac sans valeur ne se confie pas sans confiance confirmée ! A plus fort raison des stations de pouvoir ! Sans confiance, compétence et loyauté aucun pouvoir n’est en sécurité !
D’ailleurs le discours de gratitude à toute nomination a contenance de remerciement pour « la confiance placée en … »

IL faut arrêter ce lugubre cirque !!

Sans confiance qui peut naître de la proximité directe ou indirecte, un Président de la République doit-il nommer à l’aveuglette son Premier ministre sans ne rien connaître de lui ? Pourquoi pour les postes stratégiques, l’Administration effectue des enquêtes de moralité ? C’est justement parce que la compétence seule ne suffit pas ! De grands bandits peuvent être aussi très compétents.

De grands prêcheurs peuvent être aussi de grands pécheurs !

Il faut arrêter ce lugubre cirque !

Le Président de l’Assemblée nationale, le Docteur Amadou Mame Diop, est un militant méritant qui n’empiète dans le champ des prérogatives de personne.

Mais malheureusement comme la jalousie a le sommeil léger certains oublient les différentes pointures de leurs propres chaussures, dans leur propre parcours, pour croire que c’est trop pour lui d’avoir occupé ce poste, en lui cherchant un plafonnement de station avec la présidence de l’Assemblée nationale.

Des fadaises dans les falaises de proches.

La sphère politique n’a pas besoin d’atmosphère pareille !!

Dans un langage imagé, petit à petit l’oiseau fait son nid et petit à petit l’homme se construit et devient moins petit !

SUR LA CEINTURE DES ATTAQUES MALSAINES

Sans surprise, comme pour attester de l’adage qui dit, que les pierres ne sont jetées qu’aux arbres qui portent des fruits, un assaut médiatique ou plus clairement un lynchage médiatique a été dernièrement orchestré et servi par une certaine presse comme pour vouloir jeter en pâture la candidature de certains candidats à la candidature de l’Apr et de Benno Bokk Yakaar.
Dans ce sillage, deux candidatures sont devenues maintenant des cibles après les affrontements au siège même de notre parti entre joueurs portant le même maillot politique, partageant la même équipe et appartenant au même camp.

Il est clair que la déclaration de candidat à la candidature, du très méritant Président de l’Assemblée nationale, le Docteur Amadou Mame Diop, par ses partisans, dérange au plus haut point un autre courtisan, au point que certains lui ont accordé un traitement médiatique très spécial. L’expression « Faire sa fête » est un langage propre aux malfaiteurs.

Au très compétent et très loyal Premier ministre Mahammad Bounn Abdallah Dionne, qui avait donné à la grande coalition une grande majorité confortable sans ambages et sans volonté de gambadage par humilité, l’étiquette imaginaire de la maladie a été choisie comme pour vouloir donner une suite à l’épisode des propos impropres d’un certain membre de l’opposition qui avait fini par reconnaître lui-même son erreur.

Heureusement l’intéressé lui-même a bien ponctué sa réplique pour démentir cette rumeur malsaine.

Le permis d’être et d’avoir est divin. Personne n’a le monopole de la bonne santé et de la longévité. C’est un domaine exclusivement divin. L’appétit politique, avec ses schémas multiples et multiformes, doit d’abord s’arrimer à l’éthique.

Au très méritant Président de l’Assemblée nationale Docteur Amadou Mame Diop, l’arme du désespoir a été sorti pour le qualifier de « célèbre inconnu » et de candidat de la belle-famille Faye. En mode synchronisé une main s’évertue à le diaboliser.

Il faut être un nain politique pour ne pas reconnaître la main ou la signature d’un concurrent ou prétendant qui dans le dernier virage se sent menacé ou devancé.

Pratique impropre d’un sous-marin qui n’agit pas en surface pour oser signer l’œuvre de ses basses manœuvres. Face à la frénésie des ambitions, les masques et les mascarades savent faire légion dans le champ politique. Même si les derbys des « navetanes », avec leurs cortèges de ruses et de pratiques non conventionnelles, s’avèrent toujours plus rudes que les championnats nationaux et internationaux, il va falloir convoquer la raison pour faire régner la retenue.

Certaines attaques malsaines ne font que confirmer une compatibilité flagrante avec les gènes d’un certain groupe ou parti politique récemment dissout. La victimisation ou la manipulation à outrance n’a pas vieux jours dans la grande famille Benno.

Nous sommes tous membres d’un même corps politique et d’une même coalition politique.

Je ne suis pas de ceux qui critiquent la main gauche pour s’aligner avec la main droite. Chaque membre est d’une utilité importante pour la vitalité et la capacité de mobilité de tout notre corps politique.

C’est être malhonnête que de vouloir torpiller la crédibilité de l’éligibilité politique de certains candidats à la candidature, des ayants droits très légitimes. Tous ces candidats à la candidature pour le candidat de l’Apr et de Benno Bokk Yakaar ont leur propre légitimité.

Vouloir présenter Docteur Amadou Mame Diop comme « le candidat de la belle famille ou de la première Dame » ce n’est pas manquer d’honnêteté intellectuelle mais c’est manquer d’honnêteté tout court pour verser dans le délictuel du mensonge car n’ayant rien politiquement à lui reprocher même si nous sommes au Sénégal où les plus méritants ou premiers sont toujours ignorés ou critiqués, l’on préfère toujours dire que le dernier est très fort ou même féliciter l’élève qui rate les examens.

DE FAUX PRÉTEXTES !

Les relations d’amitié ou de proximité peuvent exister avant, pendant ou après l’exercice du pouvoir. Il n’y a aucune dichotomie à ce niveau pour un citoyen qui remplit tous les critères de performances pour être choisi.

Va-t-on reprocher au Président de l’Assemblée nationale, le Docteur Amadou Mame Diop, ses amitiés qui existent bien avant, l’avènement à la magistrature suprême du Président Macky Sall ? Oh que nenni !

Va-t-on reprocher au Premier ministre Amadou Ba son amitié ou proximité, avec la belle famille d’un dangereux leader de l’opposition dont le parti dont le parti vient d’être récemment dissout pour récidivisme permanents d’appels à l’insurrection et d’actes d’incivisme et de terrorisme ? Un énarque, arnaqueur de la Démocratie et du patriotisme véritable qui, en tant qu’opposant dans le champs politique, n’a rien embarqué des véritables valeurs d’un énarque.
A-t-on effaceur à cette relation avec la belle famille de ce leader politique et marqueur pour celle d’avec la belle-famille présidentielle ? Oh que nenni !

Dans un contexte ou Ousmane SONKO ne peut plus être candidat, qu’adviendrait-il si une sale rumeur disait que le Premier ministre Amadou BA est le candidat de la belle famille de Ousmane SONKO ? Quelle ressentie cela pourrait faire à l’échelle individuelle et collective ? Bien sûr, que mal…

Il faut arrêter ce lugubre cirque.

Une relation qui existe bien avant les stations de pouvoir doit être respectée et traitée de façon saine.

Va-t-on reprocher au Premier ministre Amadou Ba, son appartenance au même groupe ethnique que le Président Macky Sall en voulant ensevelir son mérite personnel et ainsi convoquer le fameux ndedoko badoum ? Oh que nenni ! Le favoritisme basé sur l’ethnicisme ou tout autre subjectivisme, n’anime pas le Président Macky Sall et cela n’a rien à voir avec la promesse de faire de quelqu’un son Ministre des Finances bien avant l’accession à la magistrature suprême.
Le mérite personnel arrimé à la générosité de cœur du Président Macky Sall que je n’arrive plus à voir ou avoir, n’a rien à voir avec ces genres de considérations.

Si pareil critère ou considération animait le Président Macky SALL, des pionniers compétents et méritants sont là dans le parti ; de grands responsables de même appartenance ethnique sont là depuis longtemps et ont subi par endurance et loyauté pour le Président Macky Sall, beaucoup d’injustices. Leur occupation permanente du terrain a beaucoup servi, pour ne pas dire sauver, la coalition BENNO lors des dernières législatives.

Sur le Premier ministre Amadou Ba, après le privilège de plusieurs clichés de campagne avec la première Dame, dernièrement, son amitié ou sa proximité avec la famille du Président Macky Sall (de la Première Dame et ses enfants) était exploitée par une certaine presse comme un avantage dans le choix du futur candidat de l’Apr et de Benno Bokk Yakaar.

Aujourd’hui, paradoxalement, ce même argument est sorti de façon lâche, pour vouloir ternir l’image du Président de l’Assemblée nationale. Les lâches sont toujours fidèles à leur modus operandi. Leur véritable face n’est jamais en surface.

Chercher au Président de l’Assemblée nationale, le Docteur Amadou Mame Diop, un handicap face à la course, n’est que signe de désespoir pour un pressé ambitieux qui fait tout, pour feindre le contraire.

Bon sang de bon sang ! Qu’elle est donc cette nouvelle bassesse qui va jusqu’au caniveau pour chercher à salir l’image de son prochain, ou de son voisin ou camarade en politique ?

De pareilles pratiques, doivent cesser, pour des camarades et frères de parti qui partagent le même appareil politique. Des pratiques qui n’ont rien à envier aux stratégies et stratagèmes d’un leader politique en prison pour le moment, comme pour vouloir éliminer de potentiels candidats postulants et concurrents et faire le vide. Cette main qui se croit invisible doit cesser ses pratiques qui n’augurent pas de bonnes présomptions. Il faut savoir raison garder.

Deux candidatures crédibles sont déjà lâchement criblées d’attaques par un ordonnateur qui fait gratuitement leur promotion.

Je n’ai pas toute la liste des postulants sur fond d’attendu et d’entendu.

Certains qui font dans la fanfaronnade ou qui dans leur candidature cherchent levure comme levain de leur ascension au mépris de leur dimension politique ne se respectent pas et ne sauraient respecter les autres. D’ailleurs ce serait trop leur demander ! Si leur débrouille est de brouiller les cartes pour prolonger le suspense alors qu’ils déversent de la compassion dans les cœurs sensibles.

Si le soutien à la 3ême candidature du Président Macky Sall était sincère cela signifie que tout ce beau monde était prêt à ne pas être candidat. Dans un contexte pareil le choisi désigné par le Président Macky Sall ne doit poser de problème à personne pour des problèmes de personne !

Donner carte blanche de façon sincère c’est aussi savoir montrer pattes blanches dans l’attente du désigné même si l’autorité fait dans la démarche inclusive avant de décider.

LE CHOIX

La constante clairvoyance du Président Macky Sall s’est toujours vivifiée en toutes circonstances dans ses choix au point de parfois surprendre son monde ou de dérouter certains.

Le Président Macky Sall connaît tous les candidats en plusieurs versions, les artisans de la diversion et leurs partisans doivent arrêter leurs lugubres cirques.

La sagesse du Président Moustapha Niasse n’est plus à démontrer tant elle brille d’évidence et d’élégance !

Ce n’est pas en faisant dans le dénigrement, le sabotage ou le sabordage, ou en faisant dans une campagne d’affichage prématurée qu’un candidat sera choisi.
Tout au contraire cela montre les prémices d’une personnalité égoïste et surtout égocentrique qui croit que sans lui, devant, rien ne va.

Avoir la capacité et surtout l’humilité de rassembler avec franchise les militants et sympathisants, pour être un grand fédérateur est la bonne démarche pour pouvoir gagner ou faire gagner.

Le héros de toutes les situations et même des conflits s’appelle la communication. La communication est la voie qui mène à la communion, à l’union des cœurs et à l’unité !

Le candidat qui sera choisi devra être le candidat de L’ÉQUILIBRE capable de gérer et le parti et la grande coalition sans que rien ne dégénère dans un sens non souhaité.

Celui qui sera choisi, doit savoir que par la volonté divine, le Président Macky Sall l’a choisi.
Le choisi doit savoir qu’il a été choisi pour continuer à faire vivre l’espoir, pour continuer l’œuvre du Président Macky Sall dans son pertinent programme qu’est le Pse.

Le choisi qui sera désigné officiellement, doit être un homme ouvert et fédérateur, un homme efficace avec une bonne adresse. Un homme qui a l’adresse communicationnelle qui sied à chaque situation, dans ses relations avec ses camarades et avec les populations. L’adresse à la Nation, au Sénégal ou au nom de la Nation à l’international, est toujours un moment important dans la vie de la République.

Le carnet d’adresses seulement ne fait pas le bon leader. C’est un plus, un bon bonus qui peut donner du tonus mais en réalité, c’est un complément, il n’est ni sujet ni verbe dans le choix d’un bon leader.

Que les candidats à la candidature sachent que dans le discours la langue n’est pas toujours porte-parole !

Dans le paradoxe de la vie, où les fonctions les plus importantes (Exemple Maire, Ministre, Président, le rôle de parent, Député, Conseiller etc.) n’ont pas de profession encore moins d’écoles de formation, les valeurs humaines sont des aptitudes importantes qui ne doivent pas manquer dans les attitudes de management d’un grand responsable.

Avoir ses acquis avec une bonne formation peut permettre de rassurer.

L’humilité, la sincérité et la disponibilité font partie des qualités indispensables.

Dans un pays à fort taux d’analphabétisme ou d’éducation formelle prématurément inachevée, il va de soi que les qualités humaines sont source de grandes performances politiques.

Dans un contexte où mariage et mirage ont déjà fait leur preuve chez l’opposition, la majorité présidentielle a le défi au « Dalinkor » pour maintenir son alliance de longue durée. Le propre du « Dalinkor » c’est aussi d’être un aigle royal qui par sa capacité de hauteur sait asphyxier les corbeaux perturbateurs !

La politique a son génie qui lui est propre où parfois l’impensable souvent qualifié d’impossible se retrouve dans le champ des possibilités.

Surtout pas d’embuscades, que le wifi politique, avec sa grande capacité de connectivité, fonctionne au nom de la Démocratie.

Je serai à l’écoute du choix du Président Macky Sall, seul détenteur à mon avis du cachet officiel ou visa pour le choix de la légalité.

Son choix sera le mien !

Sur un autre registre, nos condoléances aux familles endeuillées suite aux événements malheureux de l’attentat du bus de Yarakh.

Paix éternelle aux disparus dans le meilleur des paradis Firdawsie et prompt rétablissement aux blessés physique et psychologique car même le récit, des rescapés, fait froid dans le dos.

Paix et Émergence en chacun de nous

Sénégal Sunugal

* Alliance pour la République

2 COMMENTAIRES
  • Lamine Diop

    Rassurez-vous !

    Ce vent nouveau qui souffle au Sénégal et partout en Afrique ne laissera pas sur place tout ceux qui ont contribué à la faillite de notre souveraineté.
    Bénno, PS, PDS, 3tcnlexisyerons plus dans quelques mois.

  • Belle

    Très belle plume et très belle analyse, chapeau chère Soukeyna, beaucoup de journalistes devraient s’inspirer de vos textes machalla

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