Le régime de Macky Sall est une fois de plus au centre des critiques. Le reproche majeur ? L’entrave aux tournées des adversaires du candidat Amadou Bâ. Une situation qui a récemment touché Khalifa Sall lors de son passage à Matam, comme l’indique le site Walf-groupe.com.
Alors que le Premier ministre et candidat de la majorité présidentielle poursuit sans entrave ses tournées économiques et inaugurations, les candidats de l’opposition semblent rencontrer des obstacles. Ils dénoncent un harcèlement systématique lorsqu’ils cherchent à rencontrer leurs militants. Khalifa Sall, dont la tournée Mottali Yéené à Matam a été interdite par la police, a exprimé son indignation sur sa page Facebook : «La liesse populaire qui accompagne notre tournée dans le Fouta en perturbe plus d’un. C’est l’émergence d’une force collective, unie dans la quête d’un avenir radieux et porteur d’espoir».
D’autres candidats de l’opposition ont également subi ces entraves, notamment Bougane Guèye Dany et Malick Gakou du Grand Parti. Ce dernier a même été sommé d’arrêter sa tournée pour «troubles à l’ordre public». Une situation qui suscite de nombreuses interrogations, notamment sur l’équité de la campagne électorale en cours.
Parceque de soit-disants opposants croient que nous sommes dans un no man’s land où l’on entre dans une localité sans prévenir l’autorité charger de veiller à votre propre sécurité mais aussi veiller à ce que l’ordre public ne soit pas troublé. Nous ne sommes pas en période de campagne électorale. Il faut que certains déplacements et manifestations politiques fasse l’objet de demande d’autorisation. Nous sommes dans un pays de droit et il faut que les gens se conforment à la loi que nul n’est sensé ignorer.
Qu ils attendent la campagne electorale maintenent qui se deplace fait comme Bougane allez y le plus naturellement possible pas besoin de 40 voitures ou de millier de partisants securite oblige n oubliez pas qui se prennent pour les sauveurs du pays founiou douguou moussibe am