Assemblée nationale – El Malick Ndiaye: « Je n’accepterai jamais de diriger une institution où les députés arrivent en taxi ou en Jakarta »

Le président de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye, a haussé le ton face aux critiques autour de l’attribution prochaine de véhicules aux députés. Dans une déclaration reprise par le journal Les Échos parcouru par Senego, il a fermement défendu cette décision, qu’il assume sans détour.
« Je n’accepterai pas de diriger une institution où les députés arrivent en taxi ou en Jakarta pendant que je circule en 4×4 escorté par des motards. Ce serait incohérent », a lancé le président du Parlement, dénonçant un manque de cohérence dans le traitement réservé aux élus.
Pour lui, il est impératif de reconnaître le rang et le rôle des parlementaires dans le fonctionnement de la République. « Nous voulons montrer au peuple que les députés sont des hauts fonctionnaires qui doivent bénéficier de conditions de travail dignes afin d’accomplir efficacement leurs missions », a-t-il expliqué, saluant par ailleurs le travail fourni par les députés de la XVe législature.
El Malick Ndiaye a également tenu à clarifier les conditions financières entourant cette mesure. Il assure qu’aucune rallonge budgétaire ne sera engagée : « Le budget existe déjà et le paiement des véhicules sera échelonné sur trois ans. La procédure est en cours, et tous les députés recevront leur véhicule avant les vacances parlementaires. »
Ah ces politiciens. Ayez de la mesure, le peuple souffre. Ces deputes sont payes, ils doivent avoir de quoi se payer une voiture ou un jakarta. Pourquoi l’assemblee n’achete pas ces voitures et les leasent a ces vauriens, c’est pkus economique. Africains reveillez vous, arretez ces depenses inutiles. En occident, il y a des deputes qui pedalent pour aller representer le peuple.
Quel crétin!
Nous ne vous demandons pas cela. Juste de la rationalisation! Cherchez des véhicules oui mais pas très coûteux.
Et bien démissionnez de votre poste. D’autres accepteront ! Il y en a assez, travaillez et arrêtez de nous fatiguer avec vos privilèges. Nous vivons dans un pays pauvre, il faudrait l’accepter. Une valeur que les africains avaient, c’était un certain sens de la solidarité. Aujourd’hui ils sont complètement perdus dans la société de consommation, escroquent, volent et tuent pour obtenir l’objet de leur frustration.
Ok! Sinon il faut qu’ils soient utiles à leurs mandants à savoir comprendre les enjeux, discuter leurs conséquences surtout avant de les voter suite à un sursaut de somnolence les yeux embués.
C est dommage le peuple souffre et vous pensez à vos véhicules