Violences faites aux femmes : Le Réseau Siggil Jigéen veut réduire ce fléau
Le Réseau Siggil Jigéen et ses organisations membres ont organisé une activité dénommée « Ëttu Ndaw Ñi». Cela s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la violence basée sur le genre (VBG). Une occasion pour donner la parole aux jeunes pour amplifier leurs voix et d’annoncer un dialogue intergénérationnel pour réduire considérablement ce fléau.
Les jeunes disent non aux violences faites aux femmes
Sous le thème «La recrudescence des Violences Basées sur le Genre, les jeunes disent NON», la rencontre vise une meilleure implication des jeunes dans la lutte contre les violences faites aux femmes.
Le Réseau Siggil Jigéen a rassemblé beaucoup de jeunes de diverses organisations autour de son « Ëttu Ndaw Ñi». Sous la présence de jeunes militants (tes) venant de Dakar et de jeunes filles leaders issues d’organisations membres du RSJ et venant de trois régions du Sénégal (Thiès, Ziguinchor et Kaolack), cette rencontre a été une occasion pour communiquer autour du thème choisi afin de mettre considérablement en terme les violences faites aux femmes. Mme Safietou Diop Fall, présidente du Réseau s’est réjouie de cette initiative inscrite dans la participation des jeunes dans la lutte contre les violences faites aux femmes.
« Le renforcement des compétences de vie courante au niveau des jeunes c’est un nouveau programme que nous avons initié. Parce que nous considérons encore que la jeunesse doit être prise en charge d’être bien préparer. Les compétences de vie c’est dans les domaines de développement, comment la jeunesse doit prendre conscience de son rôle et de ses devoirs dans la transformation sociale positive de notre société. II faut que la jeunesse puisse comprendre que nous avons besoin d’une transformation », a indiqué Mme Safietou Diop Fall, Présidente du Réseau Siggil Djigen.
Elle ajoute : « Nous les accompagnons mais il doivent s’engager à transformer leur vie pour de meilleures conditions de vie. C’est pourquoi nous avons décidé de prendre en charge la formation de la jeunesse pour une prise de conscience ».
Le Réseau Sighil Jigéen soutient ainsi la fin du harcèlement sexuel et de toutes les formes de violences à l’égard des femmes et des filles.
PMF
Bla bla bla rek ! Il faut un minimum de violence pour que l’homme accède à l’espace vital d’une femme lorsqu il la courtise et que la femme ne soit pas en réceptivité biologique ! La pénétration lors de l acte sexuel est par nature violente car l homme pénètre dans la chair de la femme ! L homme en éjaculant s’inflige soi même une violence pour expulser ses tissus sexuels hors de lui ! La naissance est un acte de violence que le bébé inflige à la mère pour sortir de son ventre et même l’allaitement est un acte de violence que le bébé (parasite) inflige à la mère ! c est dire que la violence ou la domination du sexe mâle est innée à l’union entre la femme et l homme, à la procréation et mieux à la nature ! L’absence de violence fait que les hormones mâles (testostérone) soient en chite libre et QUE LA SOCIETE SE FEMINISE !!!! RIEN D ETONANT A CE QUE L ON TROUVE DE PLUS EN PLUS D HOMOSEXUELS DANS NOTRE SOCIETE !
CE QUI N EST PAS ACCEPTABLE CEPENDANT C EST LA VIOLENCE PATHOLOGIQUE PSYCHIATRIQUE ! Là on est en face de pathologies liées aux changements de paradigmes sociétales avec la promotion des femmes dans le milieu du travail, provoquant beaucoup de frustrations chez les hommes !
Et quand les Autorités mettent l’accent sur les aspects « genre » depuis abdoulaye wade, c’est non seulement pour la cause ds féministes, mais également la prise en charge des lesbiennes et homosexuels ! c’est clair et net ! Les lois qui en découlent sont des lois destructrice de l’ordre naturel existant au sein de la société, et après on nous parlera de « crises des valeurs » au sein de la société sénégalaise !
Réseau des femmes sans mari et qui veulent des compagnes dans leur desert