Agent de la Senelec, officiant à Touba, C. A. A et son ami, E. S. C, élève en classe de Terminale, ont fini de prendre leurs marques à la prison de Tamba, où ils ont été admis, après avoir été déférés au parquet par le commissariat urbain, pour viol collectif. Domiciliés au quartier Saré Guilèl, les acolytes se sont expliqués, avant-hier, devant le tribunal de grande instance de Tamba, sur le viol d’une dame mariée à un émigré et mère de deux enfants.
Des termes de l’enquête des hommes du commissaire Yaya Tamba, les faits remontent au 14 septembre dernier, deux jours après la célébration de la tabaski. Ce jour, M. Diallo devait se rendre en consultation au poste de santé local. Pour ce faire, elle a loué les services d’un conducteur de moto Jakarta, E. S. C, élève en classe de Terminale. Arrivée à destination, la dame lui tend un billet de 1000 pour payer la course facturée à 200 FCfa. N’ayant pas de pièces de monnaie, le conducteur de la moto remet son numéro de téléphone à la dame et enregistre le sien. Ce, aux fins de pouvoir la joindre ultérieurement pour paiement de la course. Ainsi, vers 17 heures ce même jour, la dame sollicite à nouveau les services de E. S. C, pour rejoindre son domicile. Seulement en cours de chemin, le conducteur de la moto a subitement décidé de convoyer sa cliente auprès de son ami, C. A. A, agent de la Senelec et qui logeait dans une demeure qu’on lui a confiée. Sur place, le motocycliste souffle à l’oreille de son ami : «Dama ame iri» (ndlr : j’ai une nouvelle conquête). Sur ce, C A. A lui libère une chambre isolée, dans l’intimité de laquelle, il propose à sa «conquête» une partie de jambes en l’air. Niet catégorique de la dame, face à quoi, il use de ses biceps. Il la bâillonne et l’entraîne sur le lit. Tétanisée, l’épouse de l’émigré n’a pas osé résisté. La suite se passe de commentaires. Sa libido assouvie, l’élève conducteur de Jakarta laisse la place à son ami, agent de la Senelec qui patientait à côté. A son tour, C. A. A contraint la dame à un rapport sexuel. Les sens repus, les deux amis libèrent leur proie qui, mal-en-point, trouve, néanmoins, la force de se rendre à la police, narrer sa mésaventure. De retour chez elle, elle s’en ouvre aux siens. Les minutes d’après, la nouvelle se répand, telle une traînée de poudre. Exploitant l’affaire, les hommes du commissaire Yaya Tamba parviennent à arrêter les deux mis en cause. Interrogés, ils reconnaissent avoir entretenu des rapports sexuels avec la plaignante qui, se sont-ils empressés de préciser, était consentante. Placés en garde à vue, ils ont été déférés pour viol collectif et admis à la prison de Tamba.
Attraits avant-hier, devant le juge pénal, l’élève conducteur de Jakarta déclare que c’est à la suite de l’échange de numéros de téléphone qu’il a invité la dame à lui rendre visite. A l’en croire, après avoir entretenu des rapports sexuels avec elle, il a appelé son ami, agent de la Senelec qui l’a imité. Des allégations confirmées par C. A. A, mais réfutées par la plaignante qui les accuse de s’être relayés sur elle, malgré son refus. Compte tenu de la gravité des faits, le parquet a requis le maximum de la peine, 10 ans ferme. Le verdict sera connu le 5 octobre prochain.
D un point de vue extérieure… il est regrettable de parler de ces origines ou de politique qui sont hors sujet.
On parle d un viol violent et collectif. Est ce normal de se faire violer au Sénégal sans dénigrer la pauvre victime.
Il y a encore beaucoup de chemin à faire versa route du progrès social.
10 and c peux il faut augmenter last peine a 15 ans parceque ces gens la Sony nuisibles a la societe
elle est sexy a mme yalla nama yalla baall ndeyssane samakholl toyynaa
Dame bi tamite affairam lairoul.
c quoi kaw kaw c quoi dakaroi on s’en fou man l’essentiel c de reussir dans la vie. ca te sert a quoi d etre dakaroi merde senegalais mo tardet.
Il sont des menteurs ces journalistes tanto il parle de touba tanto tamba et au faite il n’y pas d’agent senelec concerné ce jeune homme fut un stagiaire de longues dates a la senelec
90% des dakaroise sont des putes
toi, pour insulter de cette manière les dakaroises t’es certainement soit un enfant né de l’adultère, soit un enfant de prostituée, de père inconnu.
YaW tu as parfetmen reson
vremen deukkk alleyiiii viol rey sathie rek te nougniou yebet wa dakar espec d kao kao
vraiment voici la mentalité limité de nombreux jeunes dakarois com YAW c’est com si les kaw kaw sont des sénégalais à moitié.mieux vaut fermer sa gueule quand on a pas de grandes choses à dire.Je te rappel que depuis l’indépendance sur tous les plans politique,économique,sociale…ce sont ces kaw kaw qui gérent ce pays.je te conseille d’aller au palais de justice tu verra…
yemena lool ,li momakh immigre meti
Sénégal Aussi appelle des gens imégre