Transformer la Ville de Dakar en commune urbaine à régime spécial dirigée par un maire nommé par décret par le président de la République. Voilà la proposition faite par le journaliste Cheikh Diallo.
«Le maire de la Ville de Dakar ne doit pas être élu, mais nommé par décret présidentiel. Il faut une gestion municipale sous tutelle de l’État en osmose avec le gouvernement au profit des Dakarois. Ce, pour éviter les conflits d’intérêts», recommande-t-il sur le plateau de Grand Jury de la Rfm.
Tu es fou ou tu delires
cc
Wade père est Macky Sall berne les Senegalais peut être Karim Wade Maire par Décret . Ne rêvez pas c’est impossible Diallo Ñdrégue
Quoi,ce Monsieur milite pour l’état partout et surtout et un régime purement monarchique..La prééminence du chef de l’état pose de nombreux problèmes et surtout depuis la suppression du poste de premier ministre et l’incapacité de Macky d’être partout et de gérer tout..La mairie de Dakar ,aux mains d’un opposant compétent et crédible, est indispensable,aujourd’hui ,pour la démocratie sénégalaise.
Non mais ki mom waroul wakh après avoir bouffé tt l’argent du pays, non Mr Diallo, yaw do référence désolé
Soyez des politiciens éthiques et responsables. C’est pas un jeu la politique c’est la destinée d’un pays
Cesseez vos discrimination social d’appeler nos dignes citoyens comme etrangers (Ndrengue)si vous ne savez pas interpréter les informations taisez-vous salles crétins…
Depuis tu a sortir prison tu na pas normal
Tu est vraiment con
Un vrais minable,dangereux ed surtout gravemente malade de tete….
Doff boudougue wakh notre pays va mal
T’es franchement nul et idiot pour sortir de telles inepties
Diallo le traître
Khawma Founou Djeume Ak Wa APR Et Cie?
Vraiment pour tendre un micro à quelqu’un il faut assuré d’abord qu’il est sobre pour éviter ce genre de déclaration.
En écoutant Cheikh Diallo on a l’impression qu’il veut ressusciter la loi 79-58 qui en son article 52 bis dispose : La Commune de Dakar est administrée par un fonctionnaire de la hiérarchie A qui reçoit le titre d’administrateur municipal. Quel recul démocratique