Israël se distingue par son expertise en cybersécurité, armement de pointe et systèmes de renseignement, ce qui en fait un partenaire précieux. Ces atouts technologiques expliquent l’hésitation du Sénégal à rompre ses relations diplomatiques avec Israël.
Selon le journal Bés bi, en plus de la technologie agricole, le Sénégal continue de bénéficier des innovations israéliennes en matière de défense et de sécurité. Un exemple récent est le contrat d’armement conclu sous la présidence de Macky Sall avec l’entreprise Lavie Commercial Brokers, décrit comme « secret défense » par le porte-parole du gouvernement d’alors, Abdou Karim Fofana. Ce contrat, évalué à 45 millions de francs CFA, incluait la fourniture de fusils d’assaut, pistolets semi-automatiques, munitions et autres équipements. Ce deal souligne l’importance des équipements israéliens dans l’arsenal militaire sénégalais.
Les intérêts stratégiques du Sénégal envers Israël ne se limitent pas aux révélations de l’enquête menée par le consortium Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP) en 2022. En octobre 2023, la tenue de la deuxième édition du Forum Africa Air Force à Dakar a illustré la nécessité des innovations israéliennes. Cet événement, organisé par l’armée de l’air sénégalaise, a réuni des leaders de l’industrie aérospatiale et des autorités militaires internationales. Gaby Peretz, un important fournisseur des Forces de défense et de sécurité sénégalaises et décrit par The Guardian comme un ancien agent du Mossad, a joué un rôle central lors de ce forum. L’événement était axé sur le thème « Adapter les capacités de l’armée de l’air et le déploiement des drones pour lutter contre les conflits modernes », mettant en lumière la puissance de la diplomatie militaire israélienne.
Ainsi, les relations entre Israël et le Sénégal, soutenues par des échanges technologiques et militaires, restent solides malgré les défis diplomatiques.
Les armes russes sont beaucoup plus puissantes que les armes sionistes
Regardez-moi ces misérables plumitifs qui servent de relais à la propagande nazi d’Israël. La presse est certes en quasi cessation de paiement mais ce n’est pas une raison pour Bes Bi de se vendre. Commercer avec ce régime nazi c’est participer au financement des massacres rituels nazi des enfants et des civils.