Sweet Beauty : Me El Hadj Diouf et Adji Sarr face à la presse

Ousmane Sonko, face à la presse, ce jeudi, est revenu largement sur le dossier supposé de viol l’opposant à Adji Sarr. Me Elh Diouf fera face à la presse à 16H, et sa cliente, Adji Sarr, fera une déclaration, ce soir, pour leur droit de réponse.

Le dossier Sweet Beauty est renvoyé par le Doyen des juges, Oumar Maham Diallo, devant la Chambre criminelle. Ce qu’a contesté Ousmane Sonko qui parle d’un non-lieu total, non sans rabrouer le juge d’instruction qui travaille pour Macky Sall.

Au passage, le leader de Pastef a cité dans son intervention  Me Elhadj Diouf avec les plaintes déposées contre lui, mais aussi Adji Sarr, qui a attesté, selon lui, via des audios, la thèse du complot.

A charge maintenant pour ces derniers de lui porter la réplique, au cours de leur intervention respective.

9 COMMENTAIRES
  • diouf

    LE 14EME du G16 cest maitre EL HADJ DIOUF

  • Sénégal

    Merci beaucoup maître Diouf réponse rek inchallah

    • ndiayendiaye

      LES DEUX GUIGNOLS , QU’EST CE QU’ILS VONT DIRE AUX SENEGALAIS DE NOUVEAU ?? IL N’Y PAS DE SERIEUX DANS CE PAYS .. L’AVOCAT D’UNE SUPPOSEE VIOLEE QUI A ELLE MEME AFFIRME QUE CELUI QU’IL ACCUSE EN REALITE NE L’A RIEN FAIT . NON CE PAYS N’EST PAS SERIEUX , TRUMP A RAISON , LE SENEGAL FAIT PARTI DES SHIT HOLES COUNTRIES .

  • ndiayendiaye

    LES DEUX GUIGNOLS , QU’EST CE QU’ILS VONT DIRE AUX SENEGALAIS DE NOUVEAU ?? IL N’Y PAS DE SERIEUX DANS CE PAYS .. L’AVOCAT D’UNE SUPPOSEE VIOLEE QUI A ELLE MEME AFFIRME QUE CELUI QU’IL ACCUSE EN REALITE NE L’A RIEN FAIT . NON CE PAYS N’EST PAS SERIEUX , TRUMP A RAISON , LE SENEGAL FAIT PARTI DES SHIT HOLES COUNTRIES .

  • NDiaga L

    Le corbeau et le rossignol, ou quand le vice tente d’écrire un traité de grandes vertus (Par Pr Ndiaga Loum)
    Un recueil d’anecdotes vulgairement racontées et abusivement appelé « livre » est apparu cette semaine et largement partagé dans les réseaux sociaux, renseignant d’ailleurs au passage sur le caractère relativement minimal des exigences de rigueur éditoriale, sur la forme et sur le fond. Sous une apparence un tantinet racoleuse renvoyant à priori à une diatribe contre le président et son régime, sa visée cachée, très vite « dénichée » par les « nandités », est de contribuer au travail de salissage d’un opposant irréductible au bienfaiteur du « griot » de service si habité à ramper qu’il n’est plus capable de « voler » (pas de « violer »), pour reprendre le mot de Mao. Le jeu, l’enjeu et le timing sont si bien choisis par cet arbitre, ce juge « vertueux » (pardon pour l’évitement ironique) auto-désigné de la prochaine bataille que se livreront un candidat légitimé par une jeunesse démographiquement majoritaire et radicalement engagée et un autre candidat impopulaire et juridiquement disqualifié mais tenté par le diable du forcing, qu’ils ne laissent aucun doute sur la nature de la commandite et la personnalité lugubre du commanditaire. Entre le dépit et le mépris, me vient en souvenir un conte subtil. Mais, connaissez-vous la fable du corbeau et du rossignol? Un petit rappel :« Un corbeau et un rossignol, perchés sur une branche, cherchaient à savoir qui des deux chantait le mieux.
Et le corbeau d’y aller de sa voix graveleuse : Croâ ! Croâ ! Croâ !

    Le rossignol à son tour de sa voix flûtée : Pfui ! Pfui ! Pfui !

    Et de chanter chacun à leur tour sans être capables de se départager.
Passe par là un petit cochon.
Le corbeau aussitôt lui demande de les aider à savoir qui des deux chante le mieux.
Le cochon n’ayant pas d’autre chose à faire accepte de servir de juge.
Le jeu recommence.
Le corbeau : Croâ ! Croâ ! Croâ ! et le rossignol : Pfui ! Pfui ! Pfui !
Le cochon écoute, réfléchit et donne pour gagnant le corbeau.
Le rossignol fond en larme.
Le cochon voyant cela dit au rossignol : « Alors ? Vous pleurez parce que vous avez perdu ? »
Le rossignol de répondre : « Non ! Je ne pleure pas parce que j’ai perdu. Je pleure parce que j’ai été jugé par un porc ! »
À qui sait lire et comprendre!
    Ndiaga Loum, professeur titulaire, UQO

  • Ndiaga L

    Le corbeau et le rossignol, ou quand le vice tente d’écrire un traité de grandes vertus (Par Pr Ndiaga Loum)
    Un recueil d’anecdotes vulgairement racontées et abusivement appelé « livre » est apparu cette semaine et largement partagé dans les réseaux sociaux, renseignant d’ailleurs au passage sur le caractère relativement minimal des exigences de rigueur éditoriale, sur la forme et sur le fond. Sous une apparence un tantinet racoleuse renvoyant à priori à une diatribe contre le président et son régime, sa visée cachée, très vite « dénichée » par les « nandités », est de contribuer au travail de salissage d’un opposant irréductible au bienfaiteur du « griot » de service si habité à ramper qu’il n’est plus capable de « voler » (pas de « violer »), pour reprendre le mot de Mao. Le jeu, l’enjeu et le timing sont si bien choisis par cet arbitre, ce juge « vertueux » (pardon pour l’évitement ironique) auto-désigné de la prochaine bataille que se livreront un candidat légitimé par une jeunesse démographiquement majoritaire et radicalement engagée et un autre candidat impopulaire et juridiquement disqualifié mais tenté par le diable du forcing, qu’ils ne laissent aucun doute sur la nature de la commandite et la personnalité lugubre du commanditaire. Entre le dépit et le mépris, me vient en souvenir un conte subtil. Mais, connaissez-vous la fable du corbeau et du rossignol? Un petit rappel :« Un corbeau et un rossignol, perchés sur une branche, cherchaient à savoir qui des deux chantait le mieux.
Et le corbeau d’y aller de sa voix graveleuse : Croâ ! Croâ ! Croâ !

    Le rossignol à son tour de sa voix flûtée : Pfui ! Pfui ! Pfui !

    Et de chanter chacun à leur tour sans être capables de se départager.
Passe par là un petit cochon.
Le corbeau aussitôt lui demande de les aider à savoir qui des deux chante le mieux.
Le cochon n’ayant pas d’autre chose à faire accepte de servir de juge.
Le jeu recommence.
Le corbeau : Croâ ! Croâ ! Croâ ! et le rossignol : Pfui ! Pfui ! Pfui !
Le cochon écoute, réfléchit et donne pour gagnant le corbeau.
Le rossignol fond en larme.
Le cochon voyant cela dit au rossignol : « Alors ? Vous pleurez parce que vous avez perdu ? »
Le rossignol de répondre : « Non ! Je ne pleure pas parce que j’ai perdu. Je pleure parce que j’ai été jugé par un porc ! »
À qui sait lire et comprendre!
    Ndiaga Loum, professeur titulaire, UQO

  • Dakhine beugue Senegal

    Merci Maître, boumou séde ! Marcage à la culotte comme Goretzka contre Messi en Ligue des champions en 2019. C’est un menteur, manipulateur, violeur. Donc il faut toujours rétablir la vérité après ses mensonges et manipulations. Procès rék ????????

  • Top

    Saf n’a saf na lép lér gnu dialeu ci lénén

  • Gnaffff

    Sonko Adiji suite sans Fin. Na Safffff

Publiez un commentaire