Point de situation, cas importés qui sèment la panique, intervenants B. Seye et I. Diop. Revivez notre direct

Le Sénégal renoue de plus belle avec les cas importés. Le curseur s’arrête , ce lundi 15 juin, à 49 cas. Et la principale porte d’entrée se trouve être l’Aéroport international Blaise Diagne.

A peine les vols spéciaux de rapatriements mis en branle, les cas importés refont surface, 49 à la clé,  à la désolation des Sénégalais qui croyaient ce chapitre fermé.

Les invités de Ngoné Diop Niass et Pr Assane Samb, Boubacar Seye, Président de Horizon sans frontières (HSF) et Ibrahima Diop, sociologue, passe à la loupe ce virus qui revient au galop via les airs…

Suivez le plateau…

5 COMMENTAIRES
  • tex

    Quelle panique? On les rapatrie, on les met en quarantaine 14 jours et on les teste. Ou est le probleme? La procedure est respectee et ils sont loges a Saly donc bien geres et identifies.
    Pourquoi ceder a la panique alors que ce sont des bien connus et mis en quarantaine et ensuite testes positifs??? Il aurait fallu paniquer si on les avait laché dans la nature. Arretez de chercher le buzz et utilisez votre cerveau avant de parler de panique

  • dada

    on va laisser encore entrée les cas.
    après on va encore emmerder les
    pauvres gens

  • Seydina Seck

    bien dit tex

    • Ead

      Bien dit. On cherche le buzz à tout bout de champ.
      C’est indigne d’un organe de presse. Il faut savoir ce qu’on veut. Il s’agit de permettre le rapatriement de nos compatriotes bloqués à l’extérieur. Un protocole est mis en place. Mais vous allez instrumentaliser le buzz pour vendre vos choix.

  • Cbku

    Complètement d’accord avec Tex.
    C’est assez malhonnête de créer une psychose dans la population.
    Ces cas sont sous contrôle, bien moins dangereux que les cas communautaire.
    Les cas importés seront inévitables si on veut se rouvrir au monde et faire redémarrer l’économie.
    On va rester isolés du monde pendant combien de temps encore ?
    Il est temps d’arrêter de faire peur à tout le monde, et plutôt que de verser dans le catastrophisme il vaudrait mieux montrer que l’épidémie ne prend pas la même tendance que dans les pays fortement impactés.

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