« Sortie » du Sénégal du F CFA : Ousmane Sonko trébuche dans ses théories et Papa Malick Ndour (Apr) le pilonne

Certains pourraient penser que nous faisons de l’acharnement sur Sonko. Loin de là, ce n’est pas de l’acharnement, quand on parle de l’avenir de notre pays c’est plus sérieux que ça. Comme nous disons à chaque fois que nous rencontrons un membre de Pastef dans des débats, nous saluons l’apport et la nouveauté que constituent ce parti dans le discours politique.

On ne doit pas laisser le discours populiste et démagogique de Sonko embrouiller les citoyens

À cet effet, il est de notre devoir de leur répondre à chaque fois que c’est nécessaire pour éviter que leur discours populiste, voire démagogique, n’embrouille les citoyens. Par dessus tout, c’est eux même qui nous invitent dans le débat sérieux et progressiste et notre obligation d’y répondre est évidente. Puisque c’est le peuple qui réclame que le débat politique soit relevé, nous essayons juste d’apporter notre contribution à la promotion d’un débat soutenu et assez crédible afin de permettre à nos concitoyens d’être plus édifié sur les opinions qu’on leur propose.

Ainsi à écouter Sonko dans une de ses dernières déclarations partagées sur les sites d’informations, on entend le leader de Pastef dire « Le Franc CFA, nous le rappelons est différent de l’Uemoa. A chaque fois qu’on parle de sortir du F CFA les gens pensent que nous sortirons aussi de l’Uemoa. Bref, il est possible de ne pas adopter le CFA et rester membre de l’Uemoa puisque les chartes qui régissent notre relation avec la France sur le CFA sont differentes aux traités qui lient les 8 pays de l’Uemoa. Vous pouvez voir l’exemple de la Gambie, de la Mauritanie et de la siera-leone, ces pays n’ont pas le CFA et sont membres de la Cedeao. Autrement dit il n’y a aucun lien entre la monnaie et le fait d’appartenir à une organisation sous régionale ».

Sonko et ses cadres invités à apprendre les différents contours des traités de l’Uemoa

J’affirme ici qu’Ousmane Sonko a eu tord, encore une fois, de mélanger les pinceaux. Il a eu tord de confondre les règles de la Cedeao avec celles de l’Uemoa. En vérité, s’il est admis, dans le cadre de la Cedeao, de ne pas tenir compte de l’élément monétaire dans la procédure d’admission d’un pays en qualité de membre, cela est loin d’être le cas pour l’Uemoa.

En vérité, la différence entre Cedeao et Uemoa saute à l’œil; c’est la lettre « M » qui renvoie à la monnaie, que vous pouvez voir dans le sigle Uemoa et pas dans celui de la Cedeao. Bref, je suis particulièrement déçu de voir que notre ami, qui prétend avoir les aptitudes pour gouverner notre pays, se verse dans une communication hasardeuse sur le CFA sans même pour autant prendre le soin de lire les traités de l’Umoa (Union monétaire ouest africaine) et de l’Uemoa. De mon point de vue, la direction de l’école du parti de pastef devrait enseigner à Sonko et à ses cadres, les différents contours des traités de l’Uemoa, cela épargnerait à leur leader de se verser dans des affirmations farfelues et fallacieuses mais aussi aux « cadres de pastef » la difficulté de chercher des arguments pour faire face à la contradiction.

Nous espérons que cette contribution les libérera définitivement des jougs et des effets néfastes de la pensée unique

Conscient de cette difficulté, ils versent d’ailleurs très souvent et systématiquement dans l’insulte et dans du « verbalement enturbanné » pour combler le déficit d’arguments. Qu’il sache que nous ferons face au terrorisme verbal. En espérant que cette contribution les libérera définitivement des jougs et des effets néfastes de la pensée unique,  je me plairai de leur rappeler quelques éléments d’éclairage sur le non-fondé des propos de Ousmane Sonko sur la question du lien entre sortir du CFA et appartennir à l’Uemoa.

L’article 113 du traité de l’UEMOA (l’institution à laquelle Ousmane Sonko fait allusion lorsqu’il affirme qu’il soit possible de quitter le CFA tout en y restant membre) dispose que:  » L’Union Économique Monétaire Ouest Africaine constituée entre les Etats signataires du présent Traité se caractérise par la reconnaissance d’une même unité monétaire dont l’émission est confiée à un institut d’émission commun ». À cet effet, il me plairait dejà de demander aux défenseurs de pastef de nous faire part de leur compréhension des termes « même unité monétaire » et « institut d’émission commun » dont la reconnaissance par les Etats est l’une des conditions nécessaires pour appartenir à l’Uemoa.

La monnaie « Pastef » et la « Banque centrale des aventuriers » n’auront jamais leur place dans une Union économique et monétaire comme l’Uemoa

En vérité ces deux termes ne signifient rien d’autre que le F CFA qui est la monnaie unique au niveau de l’Union et la BCEAO qui est responsable de la politique monétaire. Autrement dit la monnaie « Pastef » et la « Banque centrale des aventuriers » n’auront jamais leur place dans une Union économique et monétaire comme l’Uemoa. Cela est d’autant plus vrai que c’est le même traité qui renseigne que « Les Etats signataires s’engagent, sous peine d’exclusion automatique de l’Union, à respecter les dispositions du présent Traité et des textes pris pour son application,notamment en ce qui concerne : 1- les règles génératrices de l’émission et 2 – la centralisation des réserves monétaires ».

Fort de ce postulat, notre question serait alors de se demander comment peut on créer une autre monnaie et gérer de manière autonome nos devises (l’une des conséquences de la sortie du FCFA) et être en conformité avec la nécessité, sous peine d’exclusion, d’accepter la centralisation des réserves monétaires et les règles génératrices de l’émission? La réponse est claire, ce n’est pas possible et l’histoire récente le prouve avec l’entrée en 1997 de la Guinée Bissau dans la communauté monétaire entraînant de facto son entrée dans la commission de l’Uemoa.

La sortie du F CFA entraîne systématiquement notre exclusion de l’Uemoa

Cela est d’autant plus vrai qu’il serait particulièrement intéressant de se poser la question de savoir ce qui bloque alors l’entrée au sein de l’Uemoa des pays comme la Guinée Conakry et la Mauritanie, deux pays qui ont quitté la communauté financière depuis plusieurs années et qui ne sont depuis lors jamais admis dans l’Uemoa. Dès lors qu’il est maintenant clair que la sortie du FCFA entraîne systématiquement notre exclusion de l’Uemoa, se prolonge alors le débat sur les implications de la sortie du F. CFA en matière de solidité de notre position en perspective d’une monnaie unique CEDEAO mais aussi et surtout en matière d’avantage que nous tirons de notre appartenance à l’Uemoa en terme de gestion économique, fiscale, budgétaire, financière et comptable gage d’une certaine notoriété de notre État.

En vérité, au delà de partager une monnaie unique avec sept autre pays de la sous-region, notre appartenance à l’Uemoa nous garantie une certaine « solidité positionnelle » dans le cadre des discussions pour la mise en place d’une monnaie unique dans la CEDEAO, quitter le FCFA dans ce contexte fragilisera sans doute notre position face aux géants nigérian, Ghanéen et du regroupement des pays membres de l’Uemoa.

Je terminerai par dire que je ne suis pas tout a fait d’accord avec le CFA qui de mon point de vue doit être réformer.

Papa Malick Ndour
Economiste
Président du Conseil départemental de Guinguineo

91 COMMENTAIRES
  • Soumangourou⚔ kante

    Le gars la il est intelligent dé mais force de vouloir défendre l’indefendable il devient ridicule

    • Xalasss

      Je dis que Monsieur Ndour est un énergumène qui veut faire du buzz,

      Sonko , c’est la creme de l’ENA, il est sorti major.Il n’a jamais dit de sortir l’UEMOA et il defend sa politique, et son ideologie contrairement a ton ventru de patron.

      Faut pas melanger Angletterre et pommme de terre.

    • boo

      même les gilets jaunes français demande a leur propre pays d’arrêter d’exploiter l’Afrique avec le franc CFA

  • Mor Faty

    Ce gars la il nous emmerde vraiment avec ses analyses bidon de cm2.

    • Doucké

      Faut faire la même chose puisque tu es en classe de terminal

    • Ha

      Mon cher les gens parle de connaissance si vous n êtes pas en mesure de faite des analyses de grace ferme le

    • Francois Diadhiou

      Si vous trouvez que le Président Ousmane Sonko trébuche, alors, vous, Monsieur l’Economiste/APR Papa Malick Ndour, vous bégayez dangereusement. Il aurait été souhaitable ou préférable, d’ailleiurs, que vous fussiez MUET, tout simplement!!!

  • Mariama dieng

    Premièrement tu mens Le Président Ousmane Sonko n’a jamais parle de sortir de la zone CFA de fa cvon brutal il dit progressivement..idiot va

    • Tiécoro Diakité

      De l’appellation Colonies Françaises d’Afrique avant 1960, le F CFA est devenu Franc de la Communauté Française d’Afrique (F CFA) actuellement en vigueur dans les huit (08) pays d’Afrique Francophone de l’Ouest et les six (06) pays francophones d’Afrique centrale. Entre la colonisation et l’indépendance, rien n’a changé excepté l’appellation Colonie Française d’Afrique dénommée la Communauté Financière d’Afrique.

      billets banque centrale Etats afrique ouest projet budget mali
      Le colonialisme s’est transformé en néocolonialisme. Les objectifs de la France en Afrique sont uniquement politique et économique.
      Politique pour la domination de la France sur ses anciennes colonies. Economique pour prolonger l’exploitation des matières premières (coton, bois, pétrole, uranium, etc.). Contrairement aux partisans du Franc CFA, il convient de rappeler qu’une monnaie néocoloniale n’a jamais développé des anciennes colonies. La monnaie est un instrument essentiel de la politique économique et de la souveraineté d’un pays. Pas de politique économique efficace sans indépendance monétaire. La monnaie est au service de l’économie. Puisqu’ils ne sont pas maitres de leur monnaie, les pays francophones subsahariens sont à la traine et accusent un plus grand retard de sous-développement par rapport aux pays africains qui battent leur monnaie.
      Les pays africains au stade du décollage économique et social ont tous leur propre monnaie (Ghana, Rwanda, Botswana, Nigeria, Kenya, Tanzanie, etc.).
      En outre, la rigueur et la croissance économique n’ont pas de corrélation totale avec la monnaie. La force d’une monnaie est le résultat positif de la balance du paiement, c’est-à-dire le solde positif des mouvements des capitaux et des biens et services et de la politique budgétaire. Ce sont ces instruments financier et budgétaire qui déterminent la valeur d’une monnaie.
      Le Franc CFA n’a apporté aucun de ces instruments structurels aux pays de la zone CFA. La France qui est la maitre d’ouvrage du F CFA n’est pas un modèle en matière de rigueur économique et de gestion budgétaire.
      De ce fait, les pays Africains adeptes du Franc CFA ne peuvent qu’être à l’image de l’Etat néocolonial. Le Trésor français qui détient et gère les devises monétaires de la zone F CFA n’apporte rien aux pays africains francophones. Ni intérêts, ni développement économique.
      La parité fixe avec le franc français et actuellement avec l’Euro n’a fait qu’entraver la politique économique et budgétaire des pays de la zone F CFA en empêchant toute dévaluation compétitive au plan des échanges commerciaux et monétaires avec des pays hors zone F CFA.
      Le Franc CFA n’a pas sensiblement amélioré le commerce entre les pays de la zone à raison de l’absence de convertibilité automatique et égalitaire entre le F CFA en circulation en Afrique de l’Ouest centrale et le F CFA en Afrique Centrale et l’Euro.
      De ces points de vue, proclamer que le F CFA a été positif pour l’Afrique Francophone est une contre vérité émanant des thuriféraires du néocolonialisme et qui déclarent que la colonisation été bénéfique pour l’Afrique. Puisque le F CFA est source de rigueur monétaire et financière, les interventions du Fonds Monétaire International sont inutiles. Cette partie de l’Afrique, après plus de cinquante (50) ans dans la zone F CFA, doit s’éveiller et examiner objectivement son appartenance au franc de leur colonisateur. De cet audit économique et financier, il en résultera des conclusions défavorables au F CFA.
      Un Président africain n’a-t-il pas dénoncer récemment son appartenance dans la zone CFA ? Rester dans la zone F CFA, revient à renoncer aux souverainetés politique et économique de la part des pays francophones d’Afrique.

      Tiécoro Diakité
      Docteur en Economie du Développement (Paris I)
      Diplômé expertise comptable (Paris I)
      Ancien Expert principal du BIT
      Lauréat International AWARD 2008

    • Fatima diop

      https://youtu.be/mcCZvJaocSg. Voilà le lien la menteuse c’est toi. Bayil doule nak ak sa khessal bou saleté

  • Pastefien

    Jose pas croire que Sonko à osé affirmé quul est possible de sortir du F CFA et resté dans l’Uemoa. Non c’est pas possible le gars est trop intelligent pour ca

    • Ozo

      Calmes toi mon ami. Renseignes toi un peu et tu verras les articles cités dans l’article ont été abrogé depuis 2007. Donc sonko raison car ces articles ne sont plus en vigueur ?

  • Feulale

    Jai toujours dit que Sonko est un menteur mais Amoul kham kham mais dire que FCfa ak uemoa n’ont rien à voir mom c très ridicule. Ce gars de l’APR commence à me plaire. On a beau le critiquer mais ces interpellations sont quand même pertiennetes et je vois que y’a aucune réponse sérieuse à ses interpellation

    • aba diouf

      l’appellation Colonies Françaises d’Afrique avant 1960, le F CFA est devenu Franc de la Communauté Française d’Afrique (F CFA) actuellement en vigueur dans les huit (08) pays d’Afrique Francophone de l’Ouest et les six (06) pays francophones d’Afrique centrale. Entre la colonisation et l’indépendance, rien n’a changé excepté l’appellation Colonie Française d’Afrique dénommée la Communauté Financière d’Afrique.Billets banque centrale Etats afrique ouest projet budget mali
      Le colonialisme s’est transformé en néocolonialisme. Les objectifs de la France en Afrique sont uniquement politique et économique.
      Politique pour la domination de la France sur ses anciennes colonies. Economique pour prolonger l’exploitation des matières premières (coton, bois, pétrole, uranium, etc.). Contrairement aux partisans du Franc CFA, il convient de rappeler qu’une monnaie néocoloniale n’a jamais développé des anciennes colonies. La monnaie est un instrument essentiel de la politique économique et de la souveraineté d’un pays. Pas de politique économique efficace sans indépendance monétaire. La monnaie est au service de l’économie. Puisqu’ils ne sont pas maitres de leur monnaie, les pays francophones subsahariens sont à la traine et accusent un plus grand retard de sous-développement par rapport aux pays africains qui battent leur monnaie.
      Les pays africains au stade du décollage économique et social ont tous leur propre monnaie (Ghana, Rwanda, Botswana, Nigeria, Kenya, Tanzanie, etc.).
      En outre, la rigueur et la croissance économique n’ont pas de corrélation totale avec la monnaie. La force d’une monnaie est le résultat positif de la balance du paiement, c’est-à-dire le solde positif des mouvements des capitaux et des biens et services et de la politique budgétaire. Ce sont ces instruments financier et budgétaire qui déterminent la valeur d’une monnaie.
      Le Franc CFA n’a apporté aucun de ces instruments structurels aux pays de la zone CFA. La France qui est la maitre d’ouvrage du F CFA n’est pas un modèle en matière de rigueur économique et de gestion budgétaire.
      De ce fait, les pays Africains adeptes du Franc CFA ne peuvent qu’être à l’image de l’Etat néocolonial. Le Trésor français qui détient et gère les devises monétaires de la zone F CFA n’apporte rien aux pays africains francophones. Ni intérêts, ni développement économique.
      La parité fixe avec le franc français et actuellement avec l’Euro n’a fait qu’entraver la politique économique et budgétaire des pays de la zone F CFA en empêchant toute dévaluation compétitive au plan des échanges commerciaux et monétaires avec des pays hors zone F CFA.
      Le Franc CFA n’a pas sensiblement amélioré le commerce entre les pays de la zone à raison de l’absence de convertibilité automatique et égalitaire entre le F CFA en circulation en Afrique de l’Ouest centrale et le F CFA en Afrique Centrale et l’Euro.
      De ces points de vue, proclamer que le F CFA a été positif pour l’Afrique Francophone est une contre vérité émanant des thuriféraires du néocolonialisme et qui déclarent que la colonisation été bénéfique pour l’Afrique. Puisque le F CFA est source de rigueur monétaire et financière, les interventions du Fonds Monétaire International sont inutiles. Cette partie de l’Afrique, après plus de cinquante (50) ans dans la zone F CFA, doit s’éveiller et examiner objectivement son appartenance au franc de leur colonisateur. De cet audit économique et financier, il en résultera des conclusions défavorables au F CFA.
      Un Président africain n’a-t-il pas dénoncer récemment son appartenance dans la zone CFA ? Rester dans la zone F CFA, revient à renoncer aux souverainetés politique et économique de la part des pays francophones d’Afrique.

  • Boy+Gaïndé

    Ce qui est sur ici au pays de kocc barma(sounou mame) rester ou sortir du F CFA ce sera la même car les politiques seront tjrs riche dankhté gnome rék gnoy sathieu khalissou askanwiiii. Y’a un salaire au Sénégal qui permet à son homme d’être multi millionnaire danouy soutourlou rék. Mais parcontr tu veux voir un politicien qui, y’a 10ans ou 15 ans à arrière qui se tapait des rap’s (car rapide) à 50f cfa maintenant le voir multimillionnaire. Donc le peuple sénégalais il est grand temps d’ouvrir les yeux et penser à la révolte sur ces  » politiciens  » ouppps politichiens voleurs de la république. D’aucun nous tympanise à leur slogan Europe y’a plus rien vous les jeunes arrêtés de prendre les pirogues et resté au pays inchallah dana bakh. Moi je dis si l’Europe ouvrait ces portes, il y’aura plus de jeunes au pays parce que les gens sans scrupules comm les  »  »  » politichiens  » ont volé tout l’argent du sénégal.

  • Consommons localement

    Dis petit intello des 14 pays CFA qui est en voie de développement ??? Jattends/

    L’Afrique c’est 54 pays 40 ont leur propre monnaie / vous parlez de Gambie Guinée Mauritanie lol
    Pourquoi vous dites jamais le Maroc sorti du CFA se porte bien hahahah
    L’Afrique du Sud
    L’Égypte
    Le Ghana
    L’Ethiopie
    Le Rwanda
    L’Algérie
    La Tunisie
    Etc etc

  • Bigue diop

    Merci pape malick Ndour, Sonko cette fois ci il s’est trompé je l’ai écouté mais j’étais ahuri de voir qu’il savait même pas ce que disait l’Uemoa sur le FCFa

    • Modou kheury

      Sacré menteur

    • Francois Diadhiou

      Si vous trouvez que le Président Ousmane Sonko trébuche, alors, vous, Monsieur Papa Malick Ndour, vous bégayez dangereusement. Il aurait été souhaitable ou préférable, d’ailleiurs, que vous fussiez MUET, tout simplement!!!

  • Timera alex

    Mais regardez moi cet idiot d’energumene hahahahha toi on te parle d’économie 2.0 a BITCOIN lol lui il parle de sa récitation à l’université «  »En vérité, la différence entre Cedeao et Uemoa saute à l’œil; c’est la lettre « M » qui renvoie à la monnaie, que vous pouvez voir dans le sigle Uemoa et pas dans celui de la Cedeao » »

    Et le « U » tu l’avales ou tu en fais du safara pour le gros lard wathiathia ??

  • Rafna1

    ????????????? les répondeurs de Sonko, la question est: peut-on rester au sein de L’UEMOA avec une monnaie autre que le CFA comme stipulé par le limité de Pastef….. tout le reste n’est que blablabla….mais j’avoue que Sonko s’est juste emmêlé les pinceaux car il ne peut se gourrer à ce point……????? c’est de bonne guerre qu’il soit taclé ???

    • Ozo

      Alors dommage! Car sonko a parfaitement raison. L’UMOA (non pas uemoa) se charge des problèmes monétaires de la zone et l’uemoa aujourd’hui souhaite jouer un rôle économique tourné vers le marché. Car oui, nous avons mis en place une monnaie commune avant de booster notre marché commun (pauvres africains). Sortir du FCFA implique une sortie du UMOA et non pas de L’uemoa. L’uemoa prévoit l’entrée des partenaires utilisant une autre devise que le CFA. Et pour finir les articles cités dans ce torchon ont été abrogé depuis 2007.

      C’est triste pour un homme brillant comme Malick. Mais il a le mérite d’être le seul a essayer de s’attaquer à sonko sur le terrain des idées même si il échoue lamentable à chaque tentative.

      Juste un conseil, sonko a annoncé son livre depuis plus d’une année bien avant livre sur le pétrole. Donc il est bien informé des traités signés.

  • aminata

    Bien dit moi je le compare a Macron qui a trompé les français grâce a son Ora ici en France tout le monde est déçu

  • diagne

    Pour se faire entendre il faut parler de Sonko. Ça devient une mode.

  • Baay bouki

    POURQUOI SORTIR DE LA ZONE FRANC

    La question à laquelle nous répondons ici est celle de savoir pourquoi les pays africains de la zone franc doivent-ils sortir de cette zone ou du moins décoloniser le franc CFA sinon la remplacer par une monnaie purement africaine. Notre thèse se justifie pour au moins trois raisons.Premièrement, le franc CFA et ses mécanismes sont des leviers du pillage des économies africaines.Deuxièmement, le franc CFA est un instrument de domination de la France en Afrique.Troisièmement, le franc CFA entame la souveraineté des pays membres.

    IV.1. Le franc CFA et ses mécanismes sont des leviers du pillage des économies africaines

    * Les principes de la zone franc posent problème. Précisons ici rapidement ce point.

    – Au niveau de la parité fixe, selon les enseignements de la théorie standard, elle se justifie d’autant plus que l’économie est petite, peu ouverte, faiblement diversifiée, polarisée sur le pays de monnaie d’ancrage, qu’il y a à l’intérieur des zones une mobilité forte du travail et faible mobilité du capital. La fixité du change peut également se justifier pour des motifs d’ordre microéconomiques (réduction des incertitudes sur des taux de change réels) et macroéconomiques (stabilité des prix, gestion saine des finances publiques). Et ceci d’autant plus que les petites économies africaines sont fortement ouvertes et qu’elles sont fortement intégrées au niveau des importations et des capitaux à l’Europe. Cependant, ces arguments favorables à la fixité du change sont contrecarrés par l’existence de chocs réels et nominaux, intérieurs et extérieurs. Des économies fortement exposées à des chocs comme les pays de la zone franc, ont intérêt à stabiliser l’économie par la flexibilité de change. Dans le cas de chocs externes, le taux de change flexible neutralise les effets des chocs. Dans le cas de chocs interne réels (comme la sécheresse), il permet de stabiliser le produit national réel. Le taux de change flottant permet théoriquement une autonomie de la politique monétaire et joue un rôle de stabilisation automatique. Le régime de change fixe a pour conséquence de ne pas s’adapter aux réalités économiques.

    – Au sujet de la libre transférabilité, cette disposition favorise la fuite des capitaux. Selon la CNUCED, la fuite des capitaux en 30 ans des pays africains depuis les indépendances dépasse 400 milliards de dollars américains. Selon Hugon (1999, p.99) [5], on estime l’hémorragie des capitaux hors UEMOA à 3 milliards de francs en 1991, à 4,6 milliards en 1992 et à 5 milliards de francs durant les 6 premiers mois de l’année 1993. Les placements spéculatifs effectués en francs Cfa en France entre janvier 1990 et juin 1993 s’étaient élevés à 928,75 milliards de francs Cfa, soit environ 1,416 milliards d’euros. Le montant des transferts sans contrepartie des ménages non africains sortis des PAZF en direction de la France et le RDM est passé de 89 millions de dollars (en 1970) à 434 millions de dollars (en 1993). Le montant cumulé de ces transferts est estimé à 3783,6 millions de dollars (soit 2200 milliards de franc CFA).

    En 2004, l’Afrique noire (sans l’Afrique du Sud) a reçu 0,4% des IDE dont la moitié a été au bénéfice de l’Angola et du Nigeria.

    – Quant à la convertibilité illimitée, elle est virtuelle. La convertibilité revient à dire simplement que tout étranger détenteur de cette monnaie doit avoir la possibilité, à tout instant, de l’échanger librement contre d’autres monnaies ou contre de l’or. La convertibilité revêt plusieurs formes et on en distingue le plus souvent les degrés de convertibilité par rapport aux opérations, aux pays, et aux agents. Pour les petites économies que sont les pays africains de la zone franc, il n’est pas bon d’avoir des monnaies convertibles. Dans la remuante histoire du franc français, l’échange de francs contre des devises n’était pas libre, mais réglementé. Cette convertibilité externe du franc, rétablie en 1958 pour les non-résidents, n’était pas totale pour les résidents. Par exemple, ceux-ci ne pouvaient pas sortir des capitaux hors des frontières sans autorisation administrative. La Tunisie par exemple a une politique qui s’appuie sur le maintien de contrôles des capitaux, c’est-à -dire sur une « convertibilité » partielle de la monnaie, certaines opérations sur les mouvements des capitaux avec l’extérieur restant soumises à restrictions. Cela permet à la Banque centrale de conserver une certaine marge de manoeuvre sur sa politique intérieure. Quant au géant chinois, la grande fragilité de son système bancaire étatique (créances douteuses) ne l’autorise pas aujourd’hui à libéraliser son marché des changes et à rendre sa monnaie librement convertible sous peine de faire peser des risques importants sur la croissance économique chinoise. Le Naira n’est pas une monnaie convertible pourtant le Nigeria est un géant économique ; la Roupie également n’est pas convertible pourtant l’Inde est une puissance économique.

    La convertibilité du franc CFA est d’autant plus virtuelle que les francs CFA de la BCEAO et ceux de la BEAC ne sont pas convertibles entre eux, ce qui n’encourage pas le développement des échanges entre les deux zones. Au contraire, les mécanismes de la zone franc facilitent les relations financières et commerciales entre la métropole et les territoires, tout en supprimant le risque de change entre les deux monnaies (Euro et franc CFA).

  • Baay bouki

    Lu pour le niggaud

    * Le franc CFA n’a pas apporté le développement mais la pauvreté

    Déjà , parmi les 49 pays moins avancés (PMA), 35 sont en Afrique subsaharienne (ASS). La zone franc, elle, représente 12% de la population africaine, 12% du PIB et 1,5% des exportations.

    Avec une population de 25% supérieure à celle de la France, les PAZF représentent 4,5% du PIB français ou 1,5% de masse monétaire.

    La zone franc n’a pas apporté le développement aux pays membres mais le développement du sous-développement.

    Pour atténuer cette pauvreté, l’aide française est venue comme une bouée de sauvetage. En effet, les pays de la zone Franc sont des principaux bénéficiaires de l’aide publique au développement française. En 1997, ils ont reçu environ la moitié de l’APD bilatérale française aux pays d’Afrique sub-saharienne, ce qui représente 23 % des apports bilatéraux de la France aux pays en développement (6,5 MdF sur 27,8 MdF d’aide bilatérale en 1997). Dans le cadre du traitement de dette au sein du Club de Paris, 10 pays de la Zone franc [6] ont bénéficié d’annulations pour un montant total rééchelonné de 23 MdF. La France a apporté près de 50 % de l’effort ainsi consenti par les créanciers. En plus des accords conclus dans le cadre du Club de Paris, la France a pris des mesures bilatérales exceptionnelles de réduction de dettes, en annulant en 1989, les crédits d’aide publique au développement (Dakar I), puis en procédant à une nouvelle annulation en 1994 (Dakar II), soit une annulation de dette de 55 MdF au profit des pays de la zone Franc. Entre 1993 et 1996, l’effort de réduction de dettes a représenté en moyenne une contribution annuelle de la France de 3,2 MdF, soit plus du tiers de l’aide bilatérale française à la zone Franc.

    En tout état de cause, les pays de la zone franc ne sont pas mieux lotis en termes de performances macroéconomiques à comparer aux pays africains hors zone franc. Une synthèse de nombreux travaux comparant les performances est présentée chez Hadjimichael et al. (1995) [7].

    Lorsqu’on compare les taux de croissance du PIB des pays africains de la zone franc et des pays hors zone, il apparait que les années 60 et 70 sont marquées par des résultats supérieurs pour les pays de la zone franc (5% contre 4,4%) alors qu’il y a inversion au cours de la décennie 80, plus précisément entre 1985 et 1991(1% contre 3,7%), sur l’ensemble des trois décennies, les résultats sont, en revanche, comparables [8]. On note également une plus grande instabilité des taux de croissance au sein de la zone. L’écart-type du taux de croissance a été entre 1971 et 1987 de 7% contre 4,5% pour les pays voisins. De 1980 à 1994, les écarts du PIB réel par rapport à sa tendance à long terme ont été supérieurs.

    En 2010, la situation n’est guère reluisante pour les pays de la zone franc. La Côte d’Ivoire demeure en dépit de la crise militaro-politique qu’elle traverse depuis 2002, le premier pays africains de la zone franc en termes de PIB réel. Pourtant, le franc CFA n’a pas permis à ce pays de faire mieux que les pays hors zone franc (Tableau 1).

    Les pays comme l’Algérie, l’Angola, l’Ethiopie, le Kenya, le Maroc, le Nigeria, le Soudan, la Tanzanie, la Tunisie, pour ne citer que ces pays, ont chacun un PIB réel supérieur à celui de la Côte d’Ivoire (le premier en termes de PIB réel en 2010 de la zone franc), comme l’indique le tableau 3 ci-dessous. Certains de ces pays font mieux en matière d’espérance de vie. Au sein des PAZF, le Togo (63), le Benin (62) et le Gabon (61) occupent le peloton de tête en termes d’espérance de vie. Les pays qui ont accédé très tôt à leur souveraineté monétaire ont des espérances de vie plus élevées que les trois pays cités ci-dessus. Il s’agit par exemple de la Tunisie (74), de l’Algérie (73), du Maroc (72), de Maurice (72) et du Cap-Vert (72).

  • Alioune Ndiae Faye

    pape malick tu fais un travail extremement important tu as le soutien de toute la jeunesse republicaine . ce fou errant parle toujours des dossiers qu il ne metrise pas

  • Ngor Badou

    Il suffit tout simplement de répondre à ces multiples interrogations, il est évident que ce gars est le seul à poser les véritables questions de l’heure après les propositions de Sonko. A cet effet, il serait très pertinent que l’on puisse apporter des réponses aux différentes interpellations qu’il a eu à faire. Je demeure convaincu que ce gars et Sonko apportent une sérieuse plus value a notre démocratie dès l’instant qu’ils posent sur la place publique les vrais débats.

    • Lord

      Oui ce gars apporte une plus value comparée à Moustapha el Pistolero.

      Mais pour te rassurer. Il existe en effet deux traités l’umoa et l’uemoa. La première s’occupe exclusivement du sort de la monnaie et la dernière tente de jouer un rôle économique en favorisant un marché commun.

      Les articles cités par Malick ont été abrogé depuis 2007.

      Mais un pays qui sort du FCFA quitte définitivement l’UMOA mais il est toujours membre de l’uemoa qui prévoit l’entrée de partenaires qui n’utilisent pas le FCFA.

      Donc sonko a parfaitement raison.

  • Pastéfien esquiveur

    Ce Malick NDour est drôlement perspicace. Voyez dans les commentaires des gens de Sonko, comment ils essaient de faire diversion.

    • Yaya

      Non pastefien, il ne y aucune diversion.

      Les articles cités par Malick ont été abrogé depuis 2007.

      La condition d’une monnaie unique dans la zone est liée à un autre traité différent de L’uemoa qui s’appelle l’UMOA.
      Donc si le Sénégal quitte le CFA, il devra quitter l’UMOA mais il ne sera pas obligé de quitter l’uemoa. En effet L’uemoa est plus tourné vers l’économie des pays membres avec des points de convergence et il prévoit l’entrée de membres n’ayant pas forcément le CFa.
      Donc l’analyse de Malick bien que respectable est biaisée par sa méconnaissance des traités.
      Ce qui est normal car nos hommes politiques africains maintiennent un flou total sur cette monnaie.

      Mais le peuple commence à se conscientiser sur le FCFA. C’est dans ce combat, qu’un intellectuel comme Malick serait utile et non avec cette posture aperiste prêt à attaquer les gens juste pour faire plaisir a son camp.

      Dommage que l’on perde nos rares juenes talentueux.

      Et oui sonko a parfaitement raison sur ce point même s’il peut avoir tord sur bon nombre d’autres points.

  • Moi meme

    Hahahahha le gars avec ça théorie à deux balles …de grands économistes qui ont enseignés a tes enseignants tu veux togg fihh di fene Sonko dou sa morom il sait de quoi il parle

  • Modou kheury

    Monsieur vous êtes économiste sorti de quelle université avec quel diplôme. Vous mentez comme vous respirez dans vos analyses aussi erronées que l’économiste que vous prétendez être. Pourquoi cette méchanceté envers Sonko? Parce que le Sénégal que Sonko va organiser il n’y aura pas de place pour les politiciens voleurs, prétendus experts chômeurs, les menteurs et fainéants comme vous. Je vous conseille de vous retrousser les manches et de chercher un job digne et honnête plus tôt que de s’allier avec ces malfrats qui ont suffisamment nui le pays.

  • Babacqr

    Da ngaye double fii sonko fi ne moinoulengniou détourné. Les vendus de maky

  • Ibou+Ndiaye

    On s’en fou de cette monnaie Cfa et de l’uemoa. Même la Gambie à sa propre monnaaie et elle vit bien. Si votre président Macky n’a pas les coquilles laissez nous s’occuper de ce problème.

  • Pythagore

    Nekhoul ba nekhoul mais ce pape Malik pose un vrai débat et nous permet quand même d’être beaucoup plus critique par rapport aux interpellations de Sonko dont les partisans gagneraient à nous dire ce qu’il en ai de cette affaire pour que cela soit beaucoup plus clair dans nos têtes.helas qu’on aimerait bien voir ces genres de débat dans le landerneau politique

    • Lord

      Il existe en effet deux traités l’umoa et l’uemoa. La première s’occupe exclusivement du sort de la monnaie et la dernière tente de jouer un rôle économique en favorisant un marché commun.Les articles cités par Malick ont été abrogé depuis 2007.Mais un pays qui sort du FCFA quitte définitivement l’UMOA mais il est toujours membre de l’uemoa qui prévoit l’entrée de partenaires qui n’utilisent pas le FCFA.Donc sonko a parfaitement raison.

  • Boy+Gaïndé

    @Aminita sa genre bi rék gnoy ajouter de l’huile dans le feu. C po parce que t’es en France (sûrement pour les études avec un titre de séjour de 1an ) qui fait de toi une française. Toi talale sey étude rék bou diékhé gua nioubi thi sa deukeu Sénégal. Je me demande même si t études ou sans papier qui cours après les toubab pour se faire marier, comm font bon nombre des galsenoises fofou thi fraaance

  • Le diola

    Ls excités de Pastef ne font qu’insulter et c’est dommage. Pape Malick Ndour recadre le débat, comme Abdoul Mbaye l’avait fait.C’est vrai, que ces petits excités n’ont pas le niveau intellectuel requis pour certaines questions de fonds et c’est sur cette petite minorité que tous les populisme!

  • FAYE

    C’EST TRES RIDICULE DE DEFENDRE LE CFA CONTINUER DE LE DEFENDRE VOUS ALLEZ CONTINUER A ETRE DES PAUVRES N’ECOUTEZ PAS LES ECONOMIQUES MENTEUR

  • faye

    ECONOMISTES

  • Alpha

    Est ce pape malick est au courant que UEMOA et UMOA sont différents?
    Visiblement non ainsi à tout ceux qui crachent sur Pastef et Sonko révèlent leurs venins car comme d’habitude ils se vautrent comme sans cerveau
    Pastef et Sonko ne saventurent pas dans un débat sans en connaître les contours
    Bonne journée

    • Alpha

      Je veux dire ravalent leurs venins…comme des sans cerveau…

  • Cotol

    Texte d’un niveau bas. Je suis suis déçu de lire cette dissertation de niveau collège. 4/10.

  • Mbaye

    Monsieur Ndour lors de votre dernière sortie sur Sonko, qui semble vous inspirer plus que ce raconte Macky Sall et à juste raison, lors de cette sortie digne d’un littéraire je vous avais interpellé sut le caractère aérien de votre argumentaire tellement aérien au point de ne même pas pouvoir donner le vrai chiffre du TER selon vous puisque vous en contestiez les chiffres donnés par Sonko, mais en vain. J’ose espérer que cette fois-ci vous nous ferez l’honneur de nous repondre. Le pseudo importe peu car vu le niveau exécrable des répondeurs automatiques de l’apr, ça sera d’une évidence.

    D’abord vous faites bien de dire « trébucher » donc ce qui relève plus de l’accident qu’autre chose. Ensuite merci de rapporter fidèlement les propos de Sonko (je vous fait confiance parce que n’ayant pas souvenance de tels propos venant de Sonko ou alors pour avoir entendu Sonko parler sur ce thème à plusieurs reprises au point de ne pas y prêter attention tellement je connais la suite).
    Mais combien de fois avez-vous entendu Sonko expliquer son point de vu sur ce thème avec les mêmes démonstrations? Plus d’une vingtaine de fois sûrement, ici d’abord ensuite lors des différentes étapes de sa tournée, puisque vous ne manquez aucune de ses sorties et vous n’êtes pas le seul. À voir votre promptitude à sauter sur l’occasion (comme un loup affamé du moindre écart de Sonko) c’est la première fois qu’il commet une erreur de ce genre et sur ce thème sinon vous auriez certainement mis le doigt dessus il y a belle lurette.
    Tout ça pour dire que donc après avoir abordé ce thème à plusieurs voilà que Sonko se trompe dans ses répétitions. C’est comme si quelqu’un vous a toujours appelé monsieur Ndour puis un jour il vous appelle monsieur Mboup.
    Je loue votre perspicacité mais force est de reconnaître vous n’êtes pas du genre à vous contenter de si peu surtout quand on n’a même pas besoin d’avoir le bfem pour se rendre compte que cette fois-ci ça sonne différemment des autres fois.
    Pas plus tard que ce matin j’expliquais à de jeunes collégiens, qui dissertaient sur le « devra » de Macky au Dakar aréna, que Macky aurait pu prononcer cette même phrase une centaine de fois avec le bon accord et qu’il n’y a pas de doute qu’il sait conjuguer le verbe « devoir » au futur. Même si cela peut être tiré en dérision, c’est de bonne guerre.
    Vivement que Sonko continue à écrire et parler pour nous donner matière à débattre parce vous et moi et les sénégalais sommes conscient du fait que ailleurs c’est le désert en terme d’écriture comme de discours, votre leader en la parfaite illustration lui qui vient de sortir deux ouvrages sans qu’aucun des deux ne fasse l’objet de quelque intérêt que ce soit.
    Patriotiquement !

  • ASTOU FAYE

    Sonko et ses fans ne comprennent pas français dites ça en wolof Sonko fait pitié un candidat qui connait même pas les règles et chartes continue ton aventure c’est mieux Pour toi il est dicté par quelqu’un qui maîtrise rien quelle honte pour sonko. Kou. Jogue rek naan je suis candidat janngoo jonngoo ndeysasn rewmi kenna dou ko jiitee si au fen AK niakka l’amour kham

  • ASTOU FAYE

    La vérité blaisse merci c’est clair comme l’eau de roche

  • PARISIENDU93

    c’est ou guinguinéou il sort d’ou lui on en rien d’en foutre de la cedeao de l’uemoa qu’est ce qu’ils nous apportent a part pauvreté et des politiciens riches vous savez meme pas honte

  • Dudu

    Astou Faye toi avec ton français de bonne qui bosse chez des blancs, démal tog neulé. Yaw momou ya diongoul.

  • tougnoum+gueulem

    Tu es un attardé mental . Tu fais partie de ces jeunes africains qui ne croient pas au riche continent ou nous vivons notre retard est essentiellement dû a la dépendance monétaire .louy ndeyam la waxx . France bou niak jomm voleur de notre sous sol avec la complicité des nègres de service comme ce gonflé.

  • Tapha

    Au moment ou les francais denoncent l’arnaque du cfa (cf gilets jaunes) vous vous enteter a glorifier cette monnaie de la honte.rien que pour la dignite on devrait s’eloigner du cfa qui a toujours l’odeur de 300 ans d’esclavage et de la colonisation qui est toujours avec le fameux chef de canton francais et ses tres nombreux toussigners(clin d’œil a mon grand pere)

  • Ousmane Senghor

    Mariama dieng insulte’ cest pas bon moi je te connais tres bien et ta famille un deux Sonko a dit quil va sortir du fcf cest bien clair sonko na qua revoir cest archives

  • fallaye

    Les Gilets Jaunes revendiquent dans leur charte la fin du pillage de l’Afrique par la France.
    Nègres de service,taisez-vous,on supprime le C.F.A.quoique ça nous en coûte.On a mare d’être perpétuellement colonisés avec l’onction des préfets comme Macky.Point.

  • Fallou

    Les Gilets Jaunes revendiquent dans leur charte la fin du pillage de l’Afrique par la France.
    Doit on rester colonisés perpétuellement?Voila ce que ça coûté de confie son pays à des hommes esclavagistes de sang,prêts à vendre leurs concitoyens pour des desserts.

  • Alioune Diop

    Malick c’est tout à fait compréhensible que tu essaies de faire ta tête de pour se faire remarquer par Macky qui a déjà ranger une bonne partie de ce bagages pour quitter le palais sans oublier de donner a frère de recommandation de courage et d’endurance pour la prison qui l’attend a partir de Mars 2019. Bayill dore manteau yi le moment n’est pas propice. Vous êtes le seul a croire a la réélection de Macky Sall. Arrêté

  • anti-désinformation

    Dites à votre génie Sonko que la Mauritanie n’est pas membre de la CEDEAO.
    Ensuite, pourquoi les partisans de Sonko ne peuvent pas répondre avec des arguments à ceux qui n’épousent pas leurs idées? L’insulte c’est vraiment l’argument des gens sans éducation

  • Alioune Diop

    Mais Malick Ndour je vous comprends parfaitement parce c’est vraiment le moment de se faire remarquer par une grande gueule.mais dommage que tu n’as pas compris que 64% des Sénégalais sont jeunes et ils ne soutient plus les politiciens traditionnelle. A ton âge tu ferais mieux d’être plus réaliste . Essayer de respecter les Sénégalais qui souffrent du régime de Macky Sall et clans tanor Niass. le chiffre 19 annonce toujours une fin de cycle.cette nomanclature politico affairistes va dégager .

  • René Diagne

    mille mercis mr ndour.ne point confondre vitesse et precipitation.poser des reformes mesurèes voilà le sens de votre intervention.parfois il y a des maux necessaires mais cela ne veut point dire rester les bras croisès.encore merci.

  • Patriot

    Il faut vraiment être un « enfoiré » pour oser apposer sa signature au bas d’un article qui tente de défendre cette monnaie de singe qu’est le franc Cfa. Aucune personne saine, vrai praticienne de l’économie réelle de cette zone XOF ne peut être d’avis qu’il faille continuer avec cette « anomalie » toute aussi cruelle dans sa finalité comme dans son modus operandi que la traite négrière. Pour mettre à nu l’inutilité de cette pseudo monnaie dont le principal prétexte pour justifier la mainmise sur les devises étrangères des pays africains concernés est sa « fumeuse » convertibilité. Convertible en quelle monnaie et où? Que ce guignol réponde à cette question d’abord avant de venir ici nous parler de quelque chose que clairement il ne maîtrise pas du tout. Il n’a qu’à se bourrer de francs cfa et veuille les échanger à Paris capitale du pays qui dit garantir la dite convertibilité. Il se rendra vite de la supercherie et se découvrira être un vrai nigaud. Le franc Cfa n’a pas cours légal dans le pays où il est fabriqué et qui prétend le garantir.

  • Diao

    Complexe d’inferiorite

  • Foof

    Je vote sonko

  • Niit

    Pape Malick, ça va maintenant avec tes articles bidons. Tu es vraiment nul. Le mieux, c’est de se taire.

  • Tomm

    Vraiment ce soit disant Mr est très limité

  • ndiouga ndoye

    Tres belle lecon

  • kanysaf

    Merci Pape Malick.IL est temps que ce petit SONKO la ferme.Il n est suivi que par des complexés qui n ont pu réussir dans les études.Niou niak ham ham rek nio ko top.

    • Pass Allemand

      Le Mbappé national de l’APR s’emmêle les pinceaux dans sa frénésie de réduire Sonko à un clignotant intellectuel. Sonko a soutenu qu’on pouvait appartenir à l’UEMOA sans adopter forcément le FCFA, ce que conteste Papa Malick Ndour dans une tribune pleine de condescendance sur le niveau intellectuel de ce dernier et des cadres de Pastef.

      A notre humble avis, PMN, s’est magistralement fourvoyé en confondant l’UMOA (Union monétaire ouste africaine) et UEMOA (Union économique et monétaire ouste africaine) et surtout par une méconnaissance manifeste des dispositions transitoires du Traité de l’UEMOA. A l’évidence, il ne sait pas lire et comprendre un traité, qui même s’il parle d’économie, reste un document de droit international nécessitant des compétences spécifiques.

      L’UMOA et l’UEMOA sont en réalité deux traités différents même s’ils sont appelés à fusionner et entretiennent des une consanguinité étrange (chacun pouvant apporter des modifications à l’autre et vice versa). Néanmoins, seule l’adhésion à l’UMOA est subordonnée à l’appartenance à la zone CFA.
      En effet l’UMOA ne traite et de façon exclusive que de la question monétaire en l’occurrence le FCFA et des seuls pays qui l’ont en partage. Son art 2 la définit comme l’union des Etats ayant en commun « la reconnaissance d’une même unité monétaire » le FCFA. L’art 3 exige même l’exclusion de tout Etat membre qui ne respecte pas les trois règles cardinales que sont les règles génératrices de l’émission, la centralisation des réserves de change, la libre circulation des signes monétaires et la liberté des transferts entre Etats membres de l’UMOA. L’art 4 renseigne enfin que « l’unité monétaire légale des Etats membres de l’UMOA est le franc de la Communauté Financière Africaine (FCFA) ».
      Pour synthétiser, on ne peut pas appartenir à l’UMOA sans adopter le FCFA. Ceci paraît logique quand son objet unique n’est que l’intégration monétaire.

      C’est tout l’inverse de l’UEMOA (Union Monétaire et Economique de l’Ouest africain). La dimension « Economique » de ce dernier la distingue singulièrement de sa sœur jumelle. C’est le « E » de Economique à coté de monétaire de son sigle, qui en fait une organisation singulière par rapport à l’UMOA.
      Le but de l’UEMOA selon son art 2, c’est de compléter l’UMOA en attendant de substituer à l’UMOA dans une perspective nouvelle, c’est à dire ajouter à la dimension monétaire, une composante économique plus large qui intègre une meilleur compétitivité, une convergence des politiques économiques des Etats membres avec l’objectif de créer un marché commun basé sur la libre circulation des biens, des capitaux et des personnes (art4). L’appartenance obligatoire à la zone CFA ne figure pas dans ses buts et principes.

      Pour montrer la volonté d’accueillir des membres hors zone CFA, l’adhésion d’un nouveau membre de l’UMOA se fait obligatoirement SUR rapport de la BCEAO alors que pour l’UEMOA, c’est SUR Rapport de la Commission. Last but not least, l’art 104 de l’UEMOA prévoit que « tout Etat africain peut demander à participer à une ou plusieurs politiques de l’Union en qualité de membre associé ». Cette qualité de membre associé implique que l’on peut adhérer seulement à certaines politiques de l’UEMOA et pas à d’autres, autrement dit la possibilité de ne pas adhérer à la politique monétaire, donc au FCFA, reste une faculté tout à fait légale. Toutes proportions gardées, c’est comme être membre de l’Union européenne sans être membre de la zone Euro.

      La confusion de PMN vient du fait qu’il ne sait pas lire un Traité. Comme rappelé plus haut, les Traités de l’UEMOA et de l’UMOA ont cette particularité de pouvoir, réciproquement, prévoir les compléments, modifications voire abrogations des dispositions de l’autre. Ainsi en 2003, le Traité révisé de L’UEMOA a prévu de compléter et modifier plusieurs articles du Traité de l’UMOA sur le fcfa Un chapitre spécial s’intitule d’ailleurs » DE LA REVISION DU TRAITE DE L’UMOA » et son art 112 précise: « En temps opportun, la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement adoptera un Traité fusionnant le Traité de l’UMOA et le présent Traité (UEMOA). En attendant cette fusion, le Traité de l’UMOA est modifié conformément aux dispositions des article 113 à 115 ci-après. » .
      De même que le Traité révisée de l’UMOA de 2007 a aussi l’occasion de modifier plusieurs dispositions de l’UEMOA (art 40) voire d’en abroger certains notamment le fameux article 113, l’épine dorsale de tout l’argumentaire de Papa Malick Ndour. En effet, son article 41 proclame sans ambages: » Le présent Traité (de l’UMOA) abroge les dispositions des articles 113 à 115 du Traité de l’UEMOA. »

      Ce jeu de renvoi entre les deux Traités, opérant pour le compte de l’autre des modifications voire des abrogations, aurait définitivement perdu Papa Malick Ndour, qui trop enlisé dans ses pérégrinations épidermiques anti Sonko, a manqué d’humilité et de clairvoyance.

      Baser tout un argumentaire sur des articles abrogés depuis 2007, voilà le dernier forfait du mbappé local de l’APR qui, avec un aplomb de dieux grecs, invite pourtant les cadres de Pastef à retourner à l’école. En tout cas, un peu d’humilité lui ferait beaucoup de bien même s’il reste un brillant économiste.

      Moussa BA

      Pastef-France

  • Ourossogui

    Moussa Bâ Pastef-France te l’a mis bien profond PMN. Il t’a carrément enculé jusqu’au sang.

  • Fils

    Ndékétéyo tout l’argumentaire de Malick Ndour est basé sur les artistes 113 et 115 qui sont abrogés depuis tenez-vous bien 2007.

  • g mbaye

    on est convaincu mr ndour on est avec sonko le probleme cest le system et vous faite parti du system avec sonko cest locasion pour vous degagé de la tous auyan que vous etes

  • g mbaye

    cest locasion avec sonko de vous degagé de la alor biento le system des voleurs de la republiq avec leur boos vont degagé

  • g mbaye

    aller vous faire voir ailleur on est convaincu par sonko donc basta

  • Gambia, Mauritanie..

    Ce que la Gambie et la Mauritanie ont fait le Senegal peut le faire. Question de désir de liberté ou pas.

  • Help Sonko help !

    Vite Sonko, libère nous des chaines du CFA!!

  • Emergence commence par autonomie

    L’autonomie commence par la maitrise de sa monnaie. L’Angleterre est en train de quitter l’euro et la terre ne tremble pas.

    • isi debri

      L´Angleterre ne fait pas partie de L´EURO.Elle a la livre Sterling.

  • Dudu

    Je viens de lire un article d’un certain Moussa Bâ de Pastef France qui montre que Pape M Ndour a tout faux. Dans son empressement de contredire Sonko il s’est appesanti sur deux articles à savoir le 113 et le 115 qui malheureusement pour lui ont été abrogés depuis 2007.
    Nous de Pastef, nous ne pensons pas que Pape M Ndour s’acharne sur Sonko, non. Nous pensons qu’il est admirateur caché de Sonko et il doit le suivre plus qu’il ne suit son mentor.
    C’est la deuxième tentative après sa logorrhée sur le coût inconnu de lui-même du TER et sa deuxième déculottée même s’il convient de saluer ses efforts à répondre (sans succès cependant) à Pastef sur le plan intellectuel, ce qu’aucun membre de Benno n’a osé essayer. Il mérite une promotion rien que pour ça.

  • Pisphinx

    Regardez-moi ce guignol sans veine qui veut faire des leçons aux chèvres. Honte à toi. Économiste pour des fourmis. Monsieur SONKO n’est pas de ta catégorie va débattre avec les asservis comme SALL. Ce Ndour est un honte pour le peuple noir.

  • Recadrage

    Ndour a été clair. Un de ces cadres, bouffon et racaille en France est sorti avec des arguments bidons qu’il ne maîtrise même pas pour faire croire que l’article 113 et 114 sont abrogé. Que des mensonges acceptez que le gars vous ment c’est mieux.

  • alioune gana diakhate

    ce n’est pas la conscience des hommes qui déterminent leur existence, c’est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. Sonko étant un homme qui vivait dans l’opulence et qui par méchanceté a tous perdu ne être d’un aigris qui se bat pour occuper un poste plus haut perché pour revenir à sa vie d’avant. pour cela, il est prêt à même de sacrifier tous le pays, toute la nation pour arriver à ses fins.

  • Diop

    Un brillant économiste ? En quoi est-il un brillant économiste ? Quel livre a t-il publié pour mériter ce superlatif ? Quel article ? D’ailleurs je doute fort qu’il soit économiste. Avoir un master en économie ne fait pas d’une personne un économiste. Il faut des travaux de qualité avec une marque personnelle pour pouvoir qualifier quelqu’un d’économiste. Trop facile dans ce pays. C’est comme si avec un master en lettre moderne, on se considérerait écrivain !
    Ce Pape Malick Ndour n’est pas condescendant, il est mal poli. Je l’ai suivi dans une émission où tout ce qu’il cherchait c’était d’humilier son vis à vis, avec des propos tels que « amo xam xam », « dem len wouti xam xa », raison pour laquelle vous le traitez de condescendant. A mon avis cela va plus loin. Il est mal élevé c’est tout. Parce qu’en dehors, d’envoyer ses interlocuteurs à leurs études à tout va, il ne disait absolument rien de pertinent. Peut-être a t-il l’habitude de discuter avec avec des nuls, qu’il croit que tous les Sénégalais sont ainsi. C’est le malheur des gens qui nous gouvernent. Ils pensent que les Sénégalais sont aussi médiocres qu’eux, donc ils peuvent se permettre de parler sans savoir tout en accusant leurs adversaires d’être des ignorants. Il doit retourner à l’école, étudier pour être compétent, mais en tant que sérère, il doit surtout retourner au leul pour apprendre à rester correct.
    Merci pour cet article plein de bon sens.

  • Diop

    Un brillant économiste ? En quoi est-il un brillant économiste ? Quel livre a t-il publié pour mériter ce superlatif ? Quel article ? D’ailleurs je doute fort qu’il soit économiste. Avoir un master en économie ne fait pas d’une personne un économiste. Il faut des travaux de qualité avec une marque personnelle pour pouvoir qualifier quelqu’un d’économiste. Trop facile dans ce pays. C’est comme si avec un master en lettre moderne, on se considérerait écrivain !
    Ce Pape Malick Ndour n’est pas condescendant, il est mal poli. Je l’ai suivi dans une émission où tout ce qu’il cherchait c’était d’humilier son vis à vis, avec des propos tels que « amo xam xam », « dem len wouti xam xa », raison pour laquelle vous le traitez de condescendant. A mon avis cela va plus loin. Il est mal élevé c’est tout. Parce qu’en dehors, d’envoyer ses interlocuteurs à leurs études à tout va, il ne disait absolument rien de pertinent. Peut-être a t-il l’habitude de discuter avec avec des nuls, qu’il croit que tous les Sénégalais sont ainsi. C’est le malheur des gens qui nous gouvernent. Ils pensent que les Sénégalais sont aussi médiocres qu’eux, donc ils peuvent se permettre de parler sans savoir tout en accusant leurs adversaires d’être des ignorants. Il doit retourner à l’école, étudier pour être compétent, mais en tant que sérère, il doit surtout retourner au leul pour apprendre à rester correct.

  • Jeannot

    Serigne Ndour de grâce ferme ta Geulle CRÉTIN vas sur les plateaux de télévisions et faire face à Birame Souleye Diop,ElMalick Ndiaye ou Diomaye Faye pour parler de ça ils vont te déculloter simmila banga séte DOMRAM..

    • Birou

      Khay Khay Yaw dé yeugoula Lou khew pape Malik a déjà humilier ses gars la. Vous avez envoye vos éléments dans les débat 6 parmi vos meilleurs éléments ont été déculotté par pape Malik. Mom kagn foumou tolouniii Sonko lagniu khar

  • Moussa

    Sonko n’est rien d’autre qu’un faiseur de malin qui essaye de duper les Sénégalais par son discours

Publiez un commentaire