La Radho, la Lsdh, Afrikajom center et Amnesty international section Sénégal ont condamné tout recours à la violence ainsi qu’aux menaces et injures proférées contre les journalistes. Ce, dans l’affaire Ousmane Sonko, accusé de viols répétitifs et menaces de mort par une masseuse.
Ces droits-de-l’hommistes veulent que toutes les personnes interpellées soient présentées à un juge dans les délais requis, selon la Rfm.
Menaces…
Les nombreux partisans de Ousmane Sonko sur les réseaux sociaux, depuis l’éclatement de l’affaire Sweet Beauté, ne concourent pas à sortir d’affaire le leader de Pastef. Tout au contraire, ces derniers dans des posts irréfléchis, menacent de mort à tout-va les journalistes, les politiques et même ceux qui, de façon anonyme, apportent des débats contradictoires dans cette affaire.
Cas Maïmouna Ndour Faye
La dernière en date a eu lieu hier lors de l’émission « l’invité de MNF » de notre confrère Maïmouna Ndour Faye qui avait comme invité Me El Hadj Diouf, avocat de Adji Sarr.
La meilleure façon d’éliminer son ennemi faut d’abord détruire son image après tu vas le liquidé tranquillement. C’est le sistem des américains. Ce qui est sur la jeunesse africaines ne va plus accepter qu’ont détruit ces grands hommes pour l’intérêt des occidentaux
Je ne pense pas que c est les militants de sonko. De mon avis c est une pièce encore montée pour leurrer l opinion publique.
Vraiment pourquoi atteindre maintenant pour condamner alors que ces militants de Sonko ont toujours menacé les gens.