Seydi Gassama, directeur d’Amnesty International Sénégal, révèle des actes de tortures exercés par les gendarmes au Fouta. D’après lui, le jeudi 1er octobre 2020, alors que l’opinion s’indignait des brutales expulsions forcées des habitants de Terme Sud à Ouakam, la gendarmerie réprimait une manifestation pacifique de communautés qui exprimaient des revendications aux sociétés minières.
Usage excessif de la force
Le directeur d’Amnesty International Sénégal condamne fermement l’usage excessif de la force contre des manifestants pacifiques. Une pratique qui semble bien ancrée dans la culture des forces de défense et de sécurité sénégalaises.
Impacts…
« Il ne peut y avoir de paix et de stabilité, si les communautés qui accueillent les sociétés minières, qui subissent leurs impacts, ne sont pas les premières bénéficiaires des retombées de leurs activités », déclare Seydi Gassama.
Abdoulaye wada a quitté le pouvoir il y’a 10ans
Effectivement , on ne doit pas reprimer les Populations du Fouta juste pour Enrichir CHEIKH AMAR . Ablaye Wade (il l`a trahi) lui donne des Phosphates au Fouta , au lieu de mettre en place une Infrastructure et de creer des Emplois por les jeunes , il loue des Camions pour ramasser (ROGNE)le Phosphate brut pour le vendre directement sur le Marche et empoche seul tout le Produit de la vente.