Pikine : Quatorze (14) tonnes de produits impropres à la consommation retirés du marché

Le service départemental du commerce de Pikine, dans la grande banlieue dakaroise, a annoncé vendredi avoir retiré du marché quelques 14 tonnes de produits de consommation, à Thiaroye-Gare et Thiaroye-sur-mer, pour une valeur totale de dix millions CFA.

Les produits alimentaires saisis – quatre tonnes de tomate, trois tonnes de jus, une tonne de sucre, de l’huile, du sel non iodé -, sont impropres à la consommation, non conformes ou illicites, a fait savoir le chef du service départemental du commerce de Pikine, Khadim Ndiaye.

D’autres produits non alimentaires ont été aussi retirés du marché, dont 800 kilogrammes d’aliments de bétail, des produits cosmétiques (4 tonnes) et des lampes à incandescence (22 cartons), le tout stocké dans les locaux du service départemental du commerce de Pikine, a indiqué M. Ndiaye.

« Les services du commerce sont constamment au chevet des consommateurs », a assuré le commissaire aux enquêtes économiques.

Il a ajouté : « L’ampleur de ces actions de retrait du marché des produits impropres ou non conformes à la consommation montre à suffisance le rôle de premier plan que nos services jouent dans le contrôle sanitaire des aliments ».

« Il convient de préciser que ces opérations seront poursuivies dans les autres marchés du département en sus des actions quotidiennes de contrôle qui se mènent dans tous les circuits de distribution, notamment au niveau des boutiques de quartier afin de mieux assurer la protection du consommateur dans sa double dimension sanitaire et économique », a-t-il dit.

Il annonce que ces résultats obtenus seront portés à la connaissance de l’autorité régionale pour décider de la destination de ces produits retirés du marché.

4 COMMENTAIRES
  • Albert Richard Ndione

    Arrêtez de distribuer du poison aux Sénégalais. Les sanctions doivent être à la hauteur des fautes commises ; c’est la prison pour cinq ans au moins mais surtout pas de grâce

  • Seni ba

    CE DONT JE SUIS SÛR C’EST QU’UNE ÉVALUATION EXHAUSTIVE DE CES SAISIS VA DÉMONTRER QU’ILS SONT OPÉRÉS DANS LES BOUTIQUES DES PEUL FOUTA. JE ME DEMANDE COMMENT LES GENS PEUVENT SE SERVIR DANS LEURS BOUTIQUES TELLEMENT C’EST DÉGUEULASSE D’AUTANT QU’ILS CONFECTIONNENT LES SACHETS D’EAU DANS LEURS ARRIÈRES BOUTIQUE. ILS ONT MÊME DES MACHINES POUR CONFECTIONNER DES ETIQUETTES A COLLER SUR DES MARCHANDISES DONT LA DATE DE PÉREMPTION EST LARGEMENT DÉPASSÉE. UNE VIDÉO PASSANT EN BOUCLE DANS LES RÉSEAUX SOCIAUX MONTRENT TRÈS CLAIREMENT DES PEUL FOUTA CONFECTIONNER DANS LA PLUS GRANDE ILLÉGALITÉ DES BOUTEILLES DE KIRÉNE ET DE BOISSONS. DE GRÂCE LES AUTORITÉS SE DOIVENT DE SORTIR DE LEUR FRILOSITÉ ET DE LAXISME LÉGENDAIRE POUR DONNER CARTE BLANCHE AU SERVICE D’HYGIÈNE NATIONAL DU VAILLANT ALLA NGOM POUR SÉVIR DANS CE MILIEU MAFIEUX DE L’AGROALIMENTAIRE OÙ LES PEUL FOUTA RÈGNENT EN MAÎTRE ET EN TOUTE IMPUNITÉ. MÊME LA GAMBIE D’À CÔTÉ MET DE L’ORDRE DANS LES BOULANGERIES EN Y ÉCARTANT LES PEUL FOUTA.

  • Albert Richard Ndione

    Pas de stigmatisation surtout; tout fauteur doit être rigoureusement sanctionné sans faiblesse aucune quelque soit sa religion, son sexe, son ethnie…. surtout pas de grâce

  • Ousou

    Il faut pas généraliser
    Tu as quoi contre les peulh ?
    J’ai l’impression que ton commentaire est rempli de rage contre les peulh.

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