Ousmane Sonko : «je n’ai jamais utilisé mon autorité pour faire arrêter qui que ce soit…»

Face à l’Assemblée nationale ce lundi, le Premier ministre Ousmane Sonko a défendu une réforme ambitieuse de la justice sénégalaise, qu’il considère comme un pilier essentiel de la stabilité nationale. Tout en réaffirmant son attachement à l’indépendance de l’institution, il a mis en garde contre les dérives corporatistes et politiciennes.
«L’indépendance de la justice ne signifie pas une République des juges », a-t-il déclaré, adoptant un ton à la fois critique et constructif. Selon lui, la justice sénégalaise a perdu en crédibilité au fil des années et nécessite une refondation en profondeur.
Sonko a insisté sur l’urgence d’une justice plus rapide et plus humaine : « Le temps de la justice doit être le temps des hommes. Elle doit être rendue avec célérité. » Il appelle ainsi à des procédures simplifiées, accessibles et centrées sur les besoins des citoyens.
En réponse aux accusations d’ingérence, il a tenu à clarifier : « Depuis notre arrivée au pouvoir, je n’ai jamais utilisé mon autorité pour faire arrêter qui que ce soit. » Un engagement réaffirmé pour une justice indépendante, dégagée de toute pression politique.
C est toi et toi qui manipule le pays mais le jour que sa va pete
Si tu l’as dit cest vrai car tu es un hibadou qui croit en dieu tu ment jamais tu es un musulman véridique mousseleumi mais kouleu togne dineu kham ousmane de khaybar a coupé la tête de mirkhab mackysall lors de la bataille de khaybar
Le menteur ambulant en action 🙂 🙂
Sonko pense a demain tout sa va finir sauf le pouvoir du bon Dieu
Peut-être tu n’as jamais utilisé ton autorité pour influencer la justice mais toujours est-il qu’il est procureur et des juges qui rêvent de toi, juste pour montrer ô combien ils te chérissent. Ces véritables prostitués politicards n’ont qu’une envie, à savoir que tu les distinguent. Ils te nuisent et nuisent à ton autorité. Qui sait s’ils ne le font pas pour que davantage d’antipathie se dirige vers toi. Attention à l’hypocrisie. Pour sûr, les actes, jusqu’ici posés par des magistrats, des procureurs et des juges vont à l’encontre de la démocratie et de la liberté; d’expression et de libre circulation.
Un regardant.