La Commission Electorale Nationale de Guinée-Bissau a de nouveau déclaré qu’elle avait épuisé ses pouvoirs en ce qui concerne le processus électoral et qu’elle ne peut pas se conformer au dernier arrêt de la Cour suprême.
Le site d’information Bissauactu, affirme détenir une copie de la lettre de la Commission Nationale Electorale (CNE), adressée au représentant de la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Une correspondance dans laquelle l’organe chargé de l’administration des élections déclare que le dernier arrêt de la Cour suprême, qui insiste à nouveau sur un nouveau traitement national des résultats, pourrait « remettre en cause l’intégrité du processus électoral ».
Pour rappel, le 29 décembre 2019, la CNE avait proclamé des résultats qu’elle avait qualifiés de « définitifs ». Donc sans possibilité de remise en cause.
En demandant vendredi dernier à la CNE de se conformer à son arrêt 1-2020 qui ordonne un recomptage des résultats, l’institution judiciaire suprême a de manière implicite invalidé les résultats de la CNE.
D’où le feuilleton électoral qui continue dans ce pays où l’élection présidentielle ne connaît toujours pas de vainqueur officiel.
À chaque compétition y’a toujours un vainqueur et un vaincu les résultats du second tour donnent favorable à Umahrou Mballo pourquoi le paicg s’entête sur les résultats proclamés par la cdeao il faut accepter la volonté divine
Il faut éviter une nouvelle guerre civile dans le pays. La CEDEAO est responsable de tout ceux qui se passe dans cette processus électoral dans ce pays.
Paigc faut accepter la défaite