La Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh) a réagi suite au meurtre du taximan Ibrahiman Samb. La Lsdh par la voix de son président Me Assane Dioma Ndiaye a remis sur la table la question de la détention d’une arme à feu.
Le président la Lsdh, Me Assane Dioma Ndiaye, «regrette l’usage injustifié et excessif d’une arme à feu ayant entraîné le décès du chauffeur Ibrahima Samb à la lumière des témoignages recueillis sur les lieux du drame et qui ne laissent entrevoir aucune proportionnalité ni un état de nécessité quelconque».
La Lsdh estime que «si la détention d’une arme à feu peut être légale et légitime dans un état de droit, celle-ci ne peut en aucun cas constituer une source d’atteinte potentielle ou avérée à un droit aussi fondamental que le droit à la vie en dehors des conditions et permissions définies par la loi».
Me Assane Dioma Ndiaye et ses camarades appellent à «un traitement judiciaire de cette affaire qui soit suffisamment dissuasif afin de décourager toute velléité de réitération de tels faits».
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