« La mise en place d’un fonds d’appui aux survivantes de violence basé sur le genre se tient au lendemain du meurtre à Dakar de l’étudiante Congolaise Lotaly MOLLET et à Louga de la jeune fille Khady BADIANE« , a regretté Ndèye Saly Diop, actuellement en tournée à Kaolack.
Rendre justice…
« Bien entendu, nous sommes encore tristes et meurtries par de tels actes qui allongent la liste macabre de femmes et de filles victimes d’une violence gratuite que je condamne avec la dernière énergie. Je m’incline devant la mémoire des disparues et présente mes sincères condoléances à leurs familles et à tous les activistes sensibles aux droits des femmes et à leurs autonomisations.
Sans doute, nous avons définitivement perdu nos deux filles mais notre système judicaire saura conformément à ses traditions d’efficacité et d’équité, rendre justice« , souligne Ndeye Saly Diop.
« C’est également un moment propice pour…«
Avant de poursuivre : « La survenance de ces événements malheureux et tragiques peut constituer une justification suffisante à la mise en place d’un mécanisme pour soutenir et accompagner les femmes et les filles confrontées à des situations de violence. C’est également un moment propice pour venir à la rencontre de l’Association pour la Promotion de la Femme sénégalaise (APROFES) une organisation dont le travail remarquable au profit du bien-être de la femme est salué dans le pays et au-delà »
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