Me Ngagne Demba Touré est formel : « Les manœuvres de Macky Sall et de ses affidés pour un report de l’élection présidentielle ne passeront pas ».
Selon Me Ngagne Demba Touré, qu’on apprenne qu’un candidat (e) détienne la double nationalité (ce qu’il faut d’ailleurs vérifier) après la publication de la liste définitive des candidats ne peut aucunement constituer un obstacle au déroulement du processus électoral.
« Il faut vraiment être débile pour penser que le Conseil constitutionnel avait les moyens de vérifier la nationalité exclusive de 93 candidats à la candidature dans plus de 193 pays du monde. La loi électorale est simple : le Conseil se limite aux mentions contenues dans la déclaration sur l’honneur faite par le candidat », Me Touré.
Toutefois, d’après Me Touré, il appartient aux autres candidats de faire des réclamations en cas de découverte de double nationalité. « Or, en l’espèce, une seule réclamation a été introduite contre l’une des candidatures validées.
Donc, le Conseil constitutionnel ne pouvait que se borner aux déclarations sur l’honneur relatives à la nationalité exclusive des autres candidats », explique-t-il.
« Chers compatriotes, faisons focus sur la campagne électorale, un moment démocratique majeur aux enjeux cruciaux.
L’élection présidentielle se tiendra à date InchAllah. Le peuple dira son mot. Le calendrier républicain sera par la force populaire respecté », ajoute Me Ngagne Demba Touré.
Le report est une urgence pour clarifier les accusations portées sur des institutions..
Tu n’as plus de voix au chapitre depuis que tu as fui du terrain où se déroule les opérations. Les choses se passent bien au Sénégal et nulle part ailleurs, arrêtez donc de nous pomper l’air !
Petit type,chien fuyard,menteur,tu vas te cacher loin de ton pays pour raconter des bobards! Sale et puante bouche,ferme la!!
NON au report des élections
Mame Boye Diao 5e président du Sénégal
Un fuyard n’a pas droit à la parole
L’article 52 dit ceci: « Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité du territoire national ou l’exécution des engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate, et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ou des institutions est interrompu, le Président de la République dispose de pouvoirs exceptionnels. » Mais le Conseil constitutionnel pourra annuler l’acte qui sera pris par les Président de la République pour inconstitutionnalité ! L’article parle ici d’institutions menacées de manière GRAVE et IMMEDIATE et de fonctionnement INTERROMPU ! Il revient au Conseil d’apprécier la réalité de tous ces qualificatifs indiqués ! L’article 6 de la constitution cite les institutions existant au Sénégal.
Les Institutions de la République sont :
• le Président de la République ;
• l’Assemblée nationale ;
• le Gouvernement ;
• le Haut Conseil des Collectivités territoriales ;
• le Conseil économique, social et environnemental ;
• le Conseil constitutionnel, la Cour suprême, la Cour des Comptes et les Cours et Tribunaux.
Laquelle de ces institutions est vraiment menancée de manière grave et immédiate et que son fonctionnement est interrompu ? Le Président prépare ses bagages. L’Assemblée a créé sa commission d’enquête (donc elle fonctionne). Le Gouvernement est parti en campagne avec le PM. Le HCCT est hors session: les conseillers dorment ! Idem pour CESE ! Seuls deux magistrats du Conseil Constitutionnel (et pas le Conseil) sont menacés d’être salis ! Mais ils resteront à la barre quoiqu’il advienne ! Donc, il y a un CALME PLAT au niveau des institutions !
Soyez tranquille l’élection aura lieu le 25 février
Ce n’est pas en se réfugiant hors du pays que le problème sera résolu Me
Vous qui n avez jamais goutte au pouvoir ce sont vous qui le cherchez Macky est presse d en finir avec une bande d ingrats defallene lou bakh niou fayele safane
NDRIN LES BANANES LES DIABÉRÉS T ATTENDENT À LAGUINÉE