Me Amadou Sall, ancien ministre de la justice et membre du comité directeur du PDS rejette le retour de la peine de mort et invite le peuple sénégalais à ne pas céder à la panique suite à la recrudescence de meurtres dans le pays. L’avocat opte pour la collaboration entre la police et la population et l’augmentation du nombre de magistrats et de sessions pour décourager ces actes « barbares ».
« Il ne faudrait pas que les Sénégalais cèdent à la panique même si c’est vrai qu’il y »a des problèmes de sécurité liés à la fois à l’insuffisance des forces de police. Mais ce n’est pas parce qu’il y a recrudescence de l’insécurité qu’on va céder à la panique. Il faut qu’il y’a ait plus de collaboration, de relation, d’entente entre la police et les citoyens. Il faut également une plus grande présence de la police dans les quartiers », précise Me Sall.
Pour l’avocat de Karim Wade, « la peine de mort ne correspond pas aux valeurs du monde actuel ».
Défendant sa thèse, l’ancien ministre de la justice sous le magistère de Me Wade, révèle qu’ « il y a des pays où la peine de mort existe mais pourtant cela n’a pas empêché une recrudescence de la criminalité. Il ne faudrait donc pas créer un lien entre la recrudescence de la criminalité et la peine de mort ».
La recrudescence de la criminalité, poursuit-il dans les colonnes de Sud quotidien, est liée à plusieurs facteurs dont la paupérisation, la désorientation au nouveau social, la pauvreté, l’absence de perspective mais aussi la présence peu visible des forces de police.
« Il y’a également des efforts à faire au niveau de la justice. En plus de ce qui a été déjà fait comme effort au niveau des chambres criminelles, il faut qu’on arrive à augmenter le nombre de magistrats et de sessions pour que les Sénégalais puissent voir que la justice est en train de faire son travail », conclut-il.
ki dagno rayoul yayam
ki dagno rayoul yayam motakh
Merci Me Ahmadou Sall. La « peine capitale » ou « peine de mort » est une solution surannée que l’on trouve dans toutes les sociétés primitives et ataviques aussi bien du moyen orient, que de l’asie, qu’en amérique latine. La peine de mort est UN AVEU D ECHEC DES CIVILISATIONS HUMAINES dans la sociabilisation des individus ainsi que le déficit de mécanismes de prise en compte des doléances et besoins individuels de ses membres. Ceux qui ont une JOUISSANCE SEXUELLE rien qu’en voyant un des leurs être exécuté sur la potence, se rendront vite compte de « jouisseurs bourreaux » à « condamnés en exécution », la frontière est très fine, car ils peuvent être pris par la même « folie » un jour et être à leur tour exécutés. LES COULOIRS DU DESTIN SONT INSAISISSABLES. IL FAUT UE PAR AILLEURS QUE LES GENS SACHENT QUE A CHAQUE FOIS QUE DES POLITICIENS SE SONT EMUS DE L ASSASSINAT D UNE PERSONNE, C EST PARCE QUE C ETAIT UN POLITICIEN QUI ETAIT ASSASSINE (ou qui a failli être assassiné). Et cela a été du Député Demba Diop qui avait été exécuté par Abdou ndakhté Faye, et de la « tentative d’assassinat de Senghor » par Moustapha Lo: Aussi bien Moustapha Lo ue Abdou Faye, ONT ETE EXECUTES. COMBIEN Y A T IL EU D ASSASSINATS SOUS DES FORMES PLUS QUE ABJECTES DE CITOYENS ORDINAIRES entre la date de ces exécutions capitales, et la date d’abrogation de la loi autorisant la peine de mort, sans que cela n’ait intéressé les tenants du pouvoir !!! Aussi bien les « politiciens tenanciers du pouvoir » que « les soi disants islamistes encagoulés » NE SONT INTERESSES PAR LA VIE DES CITOYENS ORDINAIRES. LES POLITICIENS SE SONT SYNDIQUES POUR DIRE QUE LA VIE D UN POLITIEN EST SACREE N Y TOUCHEZ PAS. LES OUSTAZ EN MAL DE VIVRE VEULENT FAIRE EVOLUER LEUR PROJET SURANNÉ DE L ETAT ISLAMIQUE DONT ON VU LES PERFORMANCES DÉSASTREUSES AU MOYEN ORIENT.
Salam ces gens c se demande s’il St musulman le coran tranche ils le contredisent pour faire plaisir des lobbies Allahou ns guide
xanaa gemoo alxur aanul karim, yalla mooko wax, anin nafsi bi nafsi, nganaan ay depoowut ak jamono bii