Les lundis de Madiambal : Dites-donc, les opposants non plus n’ont pas de parole ?

Ils aspirent presque tous à devenir l’auguste président de l’Assemblée nationale du Sénégal, ces nouveaux députés de l’opposition ! La liste est bien longue : Barthélemy Dias, Ahmed Aïdara, Birame Soulèye Diop, Oumar Sy, Cheikh Abdou Bara Dolly Mbacké, Mamadou Lamine Thiam. Peut-être que d’autres derniers candidats sortiront d’on ne sait quels chapeaux ? D’aucuns appréhendaient que la prochaine élection du Bureau de la nouvelle Assemblée nationale allait être un casse-tête pour le Président Macky Sall et sa coalition, Benno bokk yaakaar (Bby), mais on constate que l’opposition vit elle aussi cette épreuve comme une foire d’empoigne. Tous les coups sont permis entre alliés qui se découvrent être les pires ennemis. J’avoue que j’en souris, car je voyais bien venir. Dans une chronique en date du 16 mai 2022, je prévenais : «Les profondes divisions, apparues à la suite des investitures aux élections législatives de juillet 2022, devraient interpeller tout électeur. En scellant ce qu’ils appellent une alliance stratégique, les responsables de Yaw et Wallu Senegaal annonçaient que leur trouvaille a pour vocation d’imposer une cohabitation au Président Macky Sall. Seulement, si d’aventure ils arrivent à obtenir la majorité parlementaire au lendemain du scrutin du 31 juillet 2022, ces opposants qui se déchirent, s’invectivent pour ne pas dire s’étripent, pour des positions sur les listes d’investitures, s’entendront-ils sur le nom d’un Premier ministre et/ou d’un président de l’Assemblée nationale et sur les noms des membres d’une équipe gouvernementale ? Ce sera bonjour la pagaille. La confusion serait encore plus grande que les coalitions électorales apparaissent comme de vulgaires conglomérats de personnalités politiques, sans aucun lien structurel ou un accord politique de gouvernement ou sur un programme quelconque. En effet, la formule est toute simple, se mettre ensemble pour obtenir le maximum de sièges de députés et on verra après.»
C’est exactement à ce spectacle que l’on assiste ! Arriveraient-ils à sauver ce qui pourrait encore rester de leur crédibilité par rapport à tous les engagements et professions de foi de désintéressement et de placer le sort des populations au-dessus de toutes préoccupations ? Leur dernière trouvaille est de multiplier les groupes parlementaires et ainsi d’obtenir le maximum de postes pour pouvoir offrir un strapontin grassement rémunéré à chacun des prétendants. Comme quoi, l’opposition aussi ne se priverait pas de se nourrir sur la bête !
Ousmane Sonko ne pourra pas faire la leçon à Barthélemy Dias ou à Macky Sall
C’est dans le même ordre d’idées que s’inscrit l’autre reniement de l’opposition à la parole donnée et martelée, avec une sincérité touchante, devant le Peuple qui, à chaque fois, a été appelé à témoin. En prélude aux élections locales du 23 janvier 2022, la Coalition Yewwi askan wi (Yaw) avait adopté une charte qui a été claironnée comme étant une avancée majeure et décisive dans l’assainissement de la vie publique et de la transparence. Cette charte posait notamment l’engagement irrévocable de mettre fin au cumul de mandats électifs. Dans ces colonnes, nous avions applaudi l’initiative, d’autant que déjà, le 5 juillet 2021, nous demandions l’adoption d’une réforme des lois régissant la vie publique en vue de mettre fin au cumul des mandats électifs. Le parti Pastef de Ousmane Sonko avait été à l’origine d’une telle proposition dans la charte de Yaw. D’ailleurs, au lendemain des élections législatives du 31 juillet 2022, Abass Fall, un des principaux responsables de Pastef, avait tenu à rappeler, dans de nombreux médias, que cette disposition ne serait pas négociable et il menaçait de sanctions tout élu récalcitrant. Finalement, ils ne tiendront pas, une fois de plus, parole ! Il faut dire qu’il sera difficile à Ousmane Sonko, certes non élu pour la nouvelle législature, de faire la leçon à Barthélemy Dias, maire de Dakar, ou à Ahmed Aïdara, maire de Guédiawaye, ou Birame Soulèye Diop, maire d’arrondissement à Thiès, ou Bara Gaye, maire de Yeumbeul, ou Oumar Cissé, maire de la Ville de Rufisque. En effet, Ousmane Sonko, élu maire de Ziguinchor, depuis le 23 janvier 2022, a continué de cumuler ses fonctions de maire avec celles de député, jusqu’au terme de la législature, précisément le 12 septembre 2022, avec l’installation de la nouvelle Assemblée nationale ; donc pendant plus de huit mois. Ou bien Ousmane Sonko ferait-il sien l’adage : «Faites ce que je dis, pas ce je fais» ?
Pour s’enlever cette épine du pied, des membres de Pastef viennent de trouver l’alibi qu’une disposition interdisant le cumul des mandats devrait être réglée par une loi mais pas par l’humeur des gens. S’agit-il ici d’humeur ou d’engagement solennel ? Pourtant, on avait bien entendu d’éminentes personnalités prôner en quelque sorte le paradigme angélique de la primauté de l’éthique sur la règle de droit même. En spéculant sur une éventuelle nouvelle candidature du Président Macky Sall en 2024, elles indiquent sans sourciller que la question d’une telle candidature ne devrait pas être d’ordre juridique mais plutôt moral, car la morale et l’éthique d’un homme, qui dirige ou qui aspire à diriger ses concitoyens, devraient être placées au-dessus de tout. On pourrait dire que désormais sous ce registre, il y a bien match nul ! Il restera qu’on devra toujours croire qu’opposants, ils peuvent prendre des libertés avec les lois et les règles morales les plus élémentaires mais qu’ils seront vertueux une fois au pouvoir ! On était habitué du contraire. Comme avec l’opposant François Mitterrand, auteur du livre Le coup d’Etat permanent, dans lequel il n’a rien pardonné à Charles de Gaulle et arrivé au pouvoir en 1981, a tout jeté aux orties et s’était vautré dans tout ce qu’il dénonçait. Ou peut-être encore Abdoulaye Wade et Abdou Diouf ?
Cependant, on a observé que tous les discours enflammés sur la gestion vertueuse ont été vite oubliés. A l’épreuve de la gestion municipale, des édiles de l’opposition ont fait montre de gabegie et de népotisme en distribuant des emplois manifestement fictifs, à tout le moins non nécessaires, à leurs amis et camarades. C’est bien le cas à la mairie de Dakar, où Barthélemy Dias s’est découvert une nouvelle âme d’employeur d’activistes au chômage. Des conseillers municipaux de Ziguinchor ruent également dans les brancards contre des recrutements de leur maire et surtout pour fustiger ses multiples voyages par avion, avec sa suite, aux frais du contribuable de Ziguinchor. Pire, en moins d’un semestre d’exercice, des scandales éclaboussent gravement de nombreux maires de Yaw, liés à la gestion prédatrice des terres de leurs collectivités locales ou de cas de détournement d’aides sociales et autres secours destinés à des nécessiteux. On a pu dire que ça commence bien ! Plus grave, à la Mairie de Dakar on relève qu’entre mars et mai 2022 Barthélémy Dias a dépensé officiellement (sans appel d’offre dit-on) 2 milliards. C’est à dire plus que ce pourquoi Khalifa Sall a été en prison, pour sa gestion de 2010 à 2014!
Une législature partie pour être la plus courte de l’histoire parlementaire du Sénégal
On peut nourrir de grosses appréhensions pour la 14ème législature qui s’ouvre lundi prochain, 12 septembre 2022. La forte représentation de l’opposition pourrait laisser augurer des débats et des mesures qui permettraient d’améliorer les conditions de la gouvernance publique. Mais on risque fort de déchanter car en parcourant les listes des députés, on se rend compte qu’en termes de profils intellectuels et sociaux et de compétence, la qualité de la représentation parlementaire n’apparait guère meilleure que lors des législatures précédentes. Il s’y ajoute que les discussions s’annonceront chaotiques car ils sont nombreux, les hâbleurs qui vont siéger au Parlement et qui ne sont éclairés par aucune lumière, et qui fondent leur action politique sur la mauvaise foi, le mensonge, le dénigrement, l’insolence et un populisme de mauvais alois. Les joutes sont ainsi parties pour révéler des situations de déshonneur pour l’Assemblée nationale. Déjà, des séances de pugilat entre députés avaient été déplorées dans les couloirs de l’Assemblée nationale, mais on risque cette fois-ci d’en regretter au sein même de l’Hémicycle. On dira que ce ne serait pas une première dans le monde ? Assurément, mais l’ambition légitime d’une amélioration continue du niveau de qualité du système démocratique sénégalais devrait l’interdire.
Sur un autre registre, la nouvelle législature ne devrait pas durer plus de deux ans, c’est-à-dire strictement la durée constitutionnelle pour permettre la dissolution anticipée de l’Assemblée nationale. En effet, la personne (quelle qu’elle sera du reste) qui sera élue à l’issue de l’élection présidentielle de 2024, sera bien amenée, pour ne pas dire obligée, de dissoudre l’Assemblée nationale en septembre 2024. Au cas où le Président Macky Sall rempilerait, il devra avoir besoin de chercher à profiter de la nouvelle dynamique politique enclenchée avec sa réélection pour chercher à se donner une majorité parlementaire plus solide ou plus commode ou confortable que celle, très volatile, avec 83 députés sur un total de 165 députés. Un autre président de la République, provenant de l’opposition ou même du camp politique du Président Sall, aura absolument besoin d’avoir sa propre majorité, ses «propres» députés, pour s’assurer de leur fidélité et loyauté. Dans ce cas de figure, il faudrait néanmoins retenir que la dissolution ne pourrait pas intervenir dès le lendemain de l’installation du nouveau Président car la Constitution de 2016 a fixé entretemps, une interdiction de dissolution, d’ordre temporel. Ainsi, on sera à la même échéance de septembre 2024 pour pouvoir envisager la dissolution de l’Assemblée nationale. Ou bien ce nouveau Président appliquerait-il une certaine «jurisprudence» Abdoulaye Wade ? Le Président Wade avait été confronté à cette situation en 2000, au moment où il venait d’être installé à la tête du Sénégal. A l’époque, l’interdiction fixée par la Constitution était d’un autre ordre. La dissolution de l’Assemblée nationale ne pouvait être possible qu’en cas d’adoption d’une motion de censure. Or, les députés socialistes qui dominaient l’Assemblée élue en 1998, tenaient à sauver leurs sièges et s’étaient interdit toute idée de voter une motion de censure et avaient même juré au Président Wade de ne lui créer aucune difficulté ou situation conflictuelle ; mieux, de voter sans broncher toutes ses lois. Le Président Wade ne pouvait se suffire de cela pour se coltiner une telle Assemblée nationale jusqu’en mai 2003, terme de la législature. D’autant plus qu’il avait grand besoin de caser son personnel politique ! Ainsi, avait-il initié une réforme constitutionnelle pour faire adopter une nouvelle Constitution, celle du 22 janvier 2001. Le subterfuge lui avait permis de tenir de nouvelles élections législatives le 29 avril 2001.
Pour la petite histoire, le Président Wade avait tenu à ménager les députés qui venaient de perdre de manière abrupte leur mandat en décidant par exemple de leur verser un pécule qui pourrait représenter l’équivalent des indemnités parlementaires qu’ils pourraient escompter si la législature avait été menée jusqu’à son terme. Le Président Abdoulaye Wade avait eu l’intelligence sociale «d’habiller» l’affaire sous le prétexte d’aider les députés à rembourser des dettes contractées. Il ne s’arrêtera pas en si bon chemin pour s’accommoder à sa guise de «son» Assemblée nationale, et va pousser le bouchon jusqu’à faire reporter à 2007, les élections législatives prévues en 2006. Les députés avaient ainsi voté une loi pour prolonger leur propre mandat. Le Président Wade affirmait, dans un message solennel à la Nation, vouloir fusionner les élections législatives avec la Présidentielle de 2007 pour permettre de «réduire les coûts qui leur sont consacrés et libérer ainsi des fonds pour aider les personnes les plus touchées par des inondations». C’était le plan Jaxaay, se souvient-on ! Pour le Président Wade, «il n’est pas raisonnable, pour un pays pauvre, de consacrer en 2006, la somme de 7 milliards pour des élections et la même somme en 2007». Seulement, on verra qu’en 2007, la Présidentielle s’était tenue le 25 février 2007 et les élections législatives le 3 juin 2007. Une frange importante de l’opposition avait boycotté ces fameuses élections législatives de 2007.
Le Président Macky Sall, nouvellement installé en avril 2012, n’avait pas trop eu besoin de recourir à l’arme de la dissolution de l’Assemblée nationale. Le mandat des députés devait arriver à expiration trois mois plus tard. Les élections législatives avaient été prévues pour le 17 juin 2012, mais il aura fallu un consensus avec la classe politique pour les fixer pour la date du 1er juillet 2012. Il obtenait ainsi une majorité pour supplanter celle qui était favorable à son prédécesseur. Le Président Abdou Diouf, installé le 1er janvier 1981, après que Léopold Sédar Senghor lui eut filé le pouvoir, se garda de dissoudre l’Assemblée nationale et manœuvra très difficilement avec les «barons socialistes» jusqu’aux élections législatives de 1983, pour pouvoir enfin faire élire «ses députés».
Du reste, la configuration de la nouvelle Assemblée nationale ne saurait permettre au Président élu en 2024, de faire adopter une pareille réforme constitutionnelle par les députés. Il ne pourrait que recourir à un référendum mais la gestation et l’adoption par voie référendaire d’une nouvelle constitution demanderaient plus de temps au nouveau chef de l’Etat, qui sera installé en avril 2024. En d’autres termes, il se résignera à attendre impatiemment l’échéance fatidique de septembre 2024.
mdiagne@lequotidien.sn
Cela montre la democratie dans l’opposition quand plusieurs personnes postule a un poste. Cest comme de l’autre cote ou l’incompetent choisit qui il veut et personne ne bronche comme dans la dictature.
Une analyse complète comme d’habitude. Je me régale à chaque fois. Merci Mr Diagne.
Le Sénégal ne fera pas l’erreur de suivre ces malfrats de YAW.
Maintenant les Sénégalais sont conscients de vous yewwi askan wi car vous êtes des manipulateurs des hypocrites ,vous prôner que vos propres intérêts aller vous faire voire.
Bande d’abroutie que nous êtes
Cette opposition du Sénégal est toujours dans la manipulation et le mensonge
Merci beaucoup madiambal diagne nous avons dans ce pays une opposition qui est incapable de diriger un maire .ils sont que des profiteurs et des manipulateurs ..
VISIBLEMENT CE GUIGNOL NE PEUT JAMAIS ACCORDER UNE SYMPHONIE DANS LE SALON DU MAQUIS SANS LE PLUS BEAU NOTE DE L’HISTOIRE DE LA POLITIQUE SENEGALAIS.. OUSMANE SONKO MOUSELMI L’ALFA ET L’OMEGA.. LE TOUT DE MADIAMBAL REVIENT A OUSMANE SONKO.. CE PALTOQUET DE MADIAMBAL DOUBLÉ DE VAURIEN FRANCHI SANS HONTE LE RIDICULOUS????????????????????????????????????????
Nous avons une opposition irresponsible qui sont nuts ils savent même pas diriger une mairie ce ne sont que des gens affamès qui profitent ils sont là que pour leur intèrêt personnel
Même les députés de l’opposition ne sont pas aussi fous jusqu’à voter pour des novices à l’assemblée nationale. Ils sont vraiment prétentieux ces types là à l’image de Ahmed Aïdara.
Aucune surprise pour l’inter coalition par accident. L’éclatement est très proche.
Si vous pensez que cette assemblée sera présidée par n’importe qui vous dormez debout.
Flemme de citer même certains profils et parler de présidence de l’assemblée nationale.
Cette opposition n’est qu’une bande d’affamés de pouvoir et de privilèges. L’intérêt des populations n’a jamais conditionné leurs combats politiques mais plutôt des ambitions personnelles.
Solène fogué ni assemblée nationale ay thiakhane leu, nakh nguèn sén bop. Personne parmi ces candidats malsains ne dirigera l’assemblée. Merci Madiambal.
Ces opposants nous insultent. Ils sont entrain de délirer.
Ils font du show ces opposants. Un sénégalais bon teint n’acceptera jamais que des gens comme Ahmed Aïdara soit président de l’Assemblée nationale. En terme de bagages intellectuels ou expérience, personne n’est plus placé que Mimi Touré ou PAP Diop ou Abdou mbow.
Vraiment M. Diagne vous Avez raison car tous ces noms cités ne sont pas capable de diriger l’assemblée nationale car n’ayant pas les outils intellectuels requis.
Belle plume que celle de Madiambal dont on prend un sacré plaisir à lire les articles.
Si le choix du président de l’Assemblée nationale ne fait pas l’unanimité au sein de l’opposition c’est parce qu’ils ne prennent pas en compte les problèmes des Sénégalais ils préfèrent plus tôt de défendre des intérêts crypto personnelles
Et la phrase les opposants non plus n’ont pas de parole il insulte le pouvoir , allez y analyser en bon français.
Ohhhh madiamal tu peux corriger ton titre
Comme vous aussi vous n’avez pas de jus et de paroles
Franchement saluer la contribution de cet homme c’est être limité, il essaye de faire le canard enchaîné et malheureusement trop mal fait, on écrit pas pour faire plaisir et empocher.
Cest une opposition irresponsable et sans aucune trajectoire réelle
Nous sommes en phase avec vous monsieur Diagne je m’associe à vos propos
Vous avez raison Ousmane sonko n’est pas un homme de parole tous ce qu’il dit est valable à linstant t sa change à tout moment c’est une opposition irresponsable une alliance forcée mais pas véridique
Ahmed Aïdara et cie, vraiment des candidats fantaisistes. Ces gens là ne sont même pas capable de diriger une mairie.
Que cette opposition sache raison gardée. Le président de l’Assemblée Nationale est la deuxième personnalité de l’état. C’est lui d’ailleurs qui est le dauphin constitutionnel du président en cas de vaccance du pouvoir. Vu tout cela, cette personne ne doit pas être n’importe qui. Tous les candidats de l’opposition n’ont ni le profil, ni la compétence pour diriger l’institution. Le président de l’assemblée sera issu des rangs de la coalition au pouvoir. En l’ocurence la coalition Benno book yakaar.
Belle contribution Madiambal. Vérité absolue. Les sénégalais ont maintenant constaté d’eux mêmes que ces gens de Yewi ne sont là que pour leurs intérêts personnels, et non ceux du peuple sénégalais. Ils sont pires que le régime qu’ils essayent de combattre avec leurs mensonges et manipulations. En y réfléchissant, le constat que j’en fais est que le Sénégal a intérêt à se ranger derrière son President s’il souhaite se présenter en 2024, car au moins lui il travaille et cela se voit sur terrain ( Ter, infrastructures, emplois des jeunes, augmentation des salaires, Ponts, aéroports, autoponts, Hôpitaux, etc…). Sinon nous le regretterons à vie.
Tous ces noms cités ne sont pas capable de diriger l’assemblée nationale car n’ayant pas les outils intellectuels requis.
Ils vont se tuer entre eux rewmi nioroulén les Sénégalais onr compris leur jeu
Opposants intérêts crypto personnel molén nior
Madiambal qu’on le veuille ou non est sans aucun doute la sonde de ce pays, du moins au niveau du monde politique. Si on résume ce post c’est pouvoir comme opposition POUSSES TOI DE LA QUE JE M ASSSOIS AUSSI. Donc un peu du pareil au même. Le seul probléme est que si on met en place les affamés de l’opposition ils vont faire pire que ceux qui sonlà actuellement au pouvoir. Eux aussi avant qu’ils soient goinfrés nous pauvres sénégalais on va mourir de faim. Ils vont dilapider tous notre argent du pétrole dans des Hotels dubaiote au Fouquets Barrière à Paris ou dans des plans Q au maroc avec des minettes billets d’avion hotel Iphone et marchandises pour justifier un voyage commercial, du genre le coup à 5 millions de francs.
On est mal barré dans ce pays, le matérialisme crasse !!!!!
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