Le Pastef et le reniement de ses engagements : une rétrospective
Dans un climat politique en pleine mutation, le parti Pastef se retrouve sous les feux des projecteurs pour avoir renoncé à certains des engagements pris lors des Assises nationales et dans le cadre du « Sursaut citoyen ». L’information, initialement publiée par Le Quotidien, met en lumière les choix du parti qui dominent désormais l’Assemblée nationale.
Le 14 décembre 2024, le projet de loi portant dissolution du Conseil économique, social et environnemental (Cese) et du Haut-conseil des collectivités territoriales (Hcct) a été adopté par une majorité, soulignant ainsi le changement de position du Pastef envers les recommandations de la Charte des Assises. Ce revirement marque la rupture avec les principes de la démocratie participative prônée par diverses forces politiques, parmi lesquelles se trouve le « Sursaut citoyen » et ses figures notables comme Mamadou Ndoye et Mamadou L. Loum.
Le Premier ministre Ousmane Sonko, par le biais de la Déclaration de politique générale, avait pourtant annoncé une plus grande intégration des citoyens dans la gestion publique et une consultation accrue via une nouvelle entité dédiée à la diaspora. Cela contraste avec la dissolution des institutions consultatives, critiquée comme étant un recul démocratique par ceux pour qui ces organes représentaient un pilier de la participation citoyenne.
Le site Le Quotidien rapporte également que cette décision de Pastef est vue comme un tournant vers une gouvernance plus centralisée, éclipsant notamment les contributions des organisations professionnelles, des syndicats et du patronat dans le processus décisionnel national. Au-delà du simple enjeu institutionnel, cette stratégie de gouvernance semble s’ancrer dans une logique de restructuration profonde du paysage politique sénégalais.
L’auteur de ces observations, El Hadji Momar Sambe, ancien ministre et secrétaire général du Rta-S, souligne que le parti Pastef n’a jamais montré d’affinité pour le dialogue, une attitude manifestée tout au long de ses dix années d’existence. Selon lui, le populisme dont fait preuve le Pastef se traduit par une gouvernance autoritaire et un manque d’ouverture aux forces vives de la nation, accentuant ainsi les tensions avec les acteurs sociaux et politiques du pays.
En définitive, cette décision pose la question de l’avenir de la participation citoyenne et de quel sera le prochain tournant politique pour le parti Pastef, un sujet souligné dans l’analyse originale sur Le Quotidien.
Samb. Vous avez perdu toute crédibilité dès le moment où vous avez fermé les yeux sur toutes les dérives de Maky sall . Personne ne pouvez imaginer qu’un profil comme le tien puisse rester avec ce tyran apres tout ce qu’il a fait . Je pense franchement qu’un homme comme toi devrait actuellement avoir le profil très bas et être discret
Je croyais qu’il était décédé celui-la ! 🤔🤔
Encore un mercenaire assoiffé et déguisé
Momar samb vieux du pathio Macky Sall t’a berné tu es du passé ce marxiste abana va te reposer
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