Après avoir indiqué que « le journalisme mène à tout », la sagesse a postulé en implication la pré-condition d’en sortir.
Malheureusement au Sénégal, de plus en plus, c’est entre quatre murs d’une salle de rédaction que certains dieux de la presse devenus avant qu’ils ne méritent d’être journalistes tout court, par cette usurpation de rôles qui allie situationnisme et populisme, se dessinent une trajectoire politique.
Pendant longtemps, ses fameuses « revues de presse » ont servi à Ahmed Aïdara le moyen de scier la branche sur laquelle était assis son prédécesseur, à la tête de la mairie de Guédiawaye.
On a connu aussi l’épisode Mamadou Sy Tounkara de la 2S Tv. Le mystificateur, à la tête de Senghor, n’aurait en réalité lu que quelques passages du livre « Le Bon usage » (du français) de Maurice Grevisse pour se voir décerner par la meute de fans un brevet de correcteur. Face aux directeurs généraux et ministres alors fraichement nommés par Macky Sall, dont la plupart parlaient le français comme un Basque parlerait l’espagnol, Tounkara tenait un tremplin à forts rebondissements vers le Panthéon. Très opportuniste, il n’aura pas besoin de taper l’incruste pour s’inviter à la table du roi. Mais, comme le but de la manœuvre était de faire en sorte qu’un borgne ne devienne un roi de plus au royaume des aveugles, le renard réussit à clouer le bec au corbeau en lui arrachant le fromage d’un beau discours sur « Sénégal ca kanam », qui déconstruisait le PSe. D’ailleurs, depuis lors l’on ignore quelle est la vraie fiche de poste du concerné à la Présidence de la République.
Le fait d’avoir fréquenté Tounkara à la 2S Tv aurait suscité des vocations chez le jeune loup aux dents longues Pape Djiby Fall. L’homme n’est pas allé plus loin que le fait de maitriser quelques versets du Saint Coran pour séduire ce peuple épris de discours moralisateurs et qui d’un simple habillage est prompt à édifier un moine. A Jakaarlo, sur Tfm, le plagiaire sortait souvent du sujet pour servir un discours pré-établi cependant équarri aux dimensions de ses ambitions, après avoir certainement puisé dans Google quelques concepts de management mal assimilés, mais qui ont le don de séduire un « chroniqueur du dimanche ».
Il a fallu l’irruption de Cheikh Yérim Seck pour faire découvrir son jeu par des duels d’arguments où il fallait intellectuellement avoir ménagé sa monture pour aller plus loin que le fait de débiter quelques sagesses populaires. Mais c’était trop tard ! Il fallait voir le rythme auquel les mouvements de soutien se créaient pour soutenir son action pour imaginer derrière une main invisible modelant un destin politique que PDF prenait date. On le voyait venir, le petit malin ! Fi daray leuk leu, guoudou nop djarou fé djay !
Par Thierno Diop, Journaliste
Ndeyssane le texte est le plus Objectif qui soit!! Votre retard intellectuel vous fait dire des Aneries mais il ne lui renie pas son droit de faire de la politique! Mais le levier sur lequel ils s’appuie en général constitue un pouvoir et sa vocation n’est pas de l’exercer mais de l’équilibrer!! Alors quand des gens qui se disent intellectuelle sans être honnête avec les moyens de Conquêtes!! Cela laisse a réfléssir????
Ok y’a pas de problème
Un bon journaliste reste journaliste pour la vie car les mots ne sont pas la compréhension au faite et je n’ai de force sa .
Mais moi je comprends pas,se présenter aux élections en tant que journaliste c un delit? Le foot balleur n’a pas le droit alors.
Dites ça a weah
voila un texte tres déplacés er haineux, il fallito un peu de retenu poir eviter de sortir des énormités sur la paura d’un collègue qui merite encouragement
PDF vasi nous les jeunes conscients du pays nous voulons etre représenté par des personnes commes vous PDF donc dite que vous aller etre candidat pour les elections députés
thierno diop la jalousie a un nom de quoi je me mél c’est ça vie ces propres deciesion es ce que c’est interdit PDF bon courage bro on attend le rdv a lasemblé chef
Au moins, Pape Djibril n’est pas un léche cul comme toi