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Le FDR pose ses exigences pour le dialogue politique au Sénégal
Dentsu-Bal

Le FDR pose ses exigences pour le dialogue politique au Sénégal

Le FDR pose ses exigences pour le dialogue politique au Sénégal

L’opposition sénégalaise, réunie au sein du Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR), a exprimé ses conditions pour participer au dialogue politique envisagé par le nouveau gouvernement le 28 mai prochain. Cette position a été clarifiée lors d’une conférence de presse tenue le 10 avril 2025, au siège de Taxawu Sénégal, par plusieurs personnalités politiques, incluant Abdou Mbow et Mamadou Lamine Massaly, sous le leadership de Khalifa Sall, ancien maire socialiste de Dakar.

Selon Mamadou Lamine Massaly, porte-parole du FDR, le dialogue ne peut être envisagé que si les discussions sont menées avec sincérité et dans l’intérêt du Sénégal. Le Front critique les récentes décisions unilatérales du gouvernement, notamment concernant l’organisation des législatives anticipées et la gestion des commissions électorales, jugeant que celles-ci ont été prises sans aucune consultation préalable.

D’après Sud Quotidien, le FDR a clairement affiché sa volonté de voir respecter les libertés constitutionnelles et de s’assurer que toutes recommandations issues de ce dialogue soient appliquées. Cette démarche se veut une réponse aux précédentes rencontres avec le ministre de l’Intérieur, dont les conclusions avaient été rejetées par l’Exécutif.

Le Front a énuméré une série de revendications, telles que le plafonnement de la caution électorale à 30 millions de FCFA pour les présidentielles, la réforme de la loi sur les partis politiques, et le renforcement des pouvoirs de l’OFNAC. Les préoccupations du FDR incluent aussi une véritable évaluation des structures comme la CENA et le CNRA.

En outre, l’adoption rapide de la loi interprétative portant sur l’amnistie de 2024 a été vivement critiquée par l’opposition. Le FDR soupçonne également que le projet de révision constitutionnelle visant à instaurer un Premier ministre « super-fort » soit une tentative de modification du système exécutif, permettant ainsi à une personnalité non élue d’exercer un pouvoir exécutif accru.

Massaly a conclu sans détour sur ce qu’il perçoit comme une tentative de donner corps à l’État-Sonko, une notion régulièrement dénoncée par le FDR. Pour plus de détails, consultez notre source, Sud Quotidien, qui a rapporté cet événement.

4 COMMENTAIRES
  • Idy

    Ce n’est pas in dialogue politique mais un dialogue sur le système politique où tous les segments du pays sont conviés
    C’est très réducteur que de penser que c’est entre partis politiques
    Massaly porte parole de l’opposition

  • Traore

    C’est ridicule ses poltrons

  • Ama

    Il ne doit rien avoir à dialoguer avec cette bande de perdants ridicules. Une inter coalition de haineux de jaloux et de voleurs en quête de survie politique. Allez ouste !

  • Ddm

    Vous; quand vous étiez au pouvoir avec une majorité mécanique vous faisiez tout ce qui vous paraissait mieux pour vous et non pour le pays. Vous devez aller vous reposer

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