Le chroniqueur de Walf TV, Cheikh Bara NDIAYE, reste en prison malgré sa grève de la faim

En dépit de sa grève de la faim entamée depuis plusieurs jours, Cheikh Bara NDIAYE, le chroniqueur de Walf TV, demeure en détention. Son admission en service de réanimation n’a pas modifié sa situation juridique.
La Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar a infirmé l’ordonnance de mise en liberté provisoire du chroniqueur. L’état de santé de ce dernier continue de se détériorer malgré son placement en réanimation.
Il est à noter que les avocats du chroniqueur avaient introduit une demande de liberté provisoire auprès du juge chargé du dossier. Cette demande avait été acceptée par le juge mais le Parquet a fait appel de cette décision, maintenant ainsi Cheikh Bara NDIAYE en détention.
je me rappel tres bien de ses audios fuités ou il disait quil est le plus grand menteur
nest ce pas lui ?
Mais où sont ses « ndombos anti prison » ??? IL n’a qu’à assumer et prendre son courage en main comme tant d’autres d’ailleurs. Il passait son temps à mentir et accuser l’état, la justice et les forces de l’ordre sur les plateaux de Walflait. Il manipulait des jeunes aussi et les payait pour qu’ils aillent brûler des maisons d’honnêtes citoyens et des infrastructures publiques. Maintenant il doit assumer parceque deuk bi kouko beugue tale niou tale la. Qu’il crève en prison. Vive le Sénégal. Barralait daay meunn fenn rek
Mais où sont ses « ndombos anti prison » ??? IL n’a qu’à assumer et prendre son courage en main comme tant d’autres d’ailleurs. Il passait son temps à mentir et accuser l’état, la justice et les forces de l’ordre sur les plateaux de Walflait. Il manipulait des jeunes aussi et les payait pour qu’ils aillent brûler des maisons d’honnêtes citoyens et des infrastructures publiques. Maintenant il doit assumer parceque deuk bi kouko beugue tale niou tale la. Qu’il crève en prison. Vive le Sénégal
cyfguf
Ce qui se passe dans ce pays n’a pas de nom et est indicible.
Il passait son temps à mentir et accuser l’état, la justice et les forces de l’ordre sur les plateaux de Walflait. Il manipulait des jeunes aussi et les payait pour qu’ils aillent brûler des maisons d’honnêtes citoyens et des infrastructures publiques. Maintenant il doit assumer parceque deuk bi kouko beugue tale niou tale la. Qu’il crève en prison. Vive le Sénégal 🇸🇳
Qu’il croupisse 10 ans là-bas ce crapeau qui se prend comme quelqu’un d’important
il cherche à le tue cette régime criminelle il veut vraiment le faire souffrir cette justice politique corrompus malhonnête
Lutakh muy gnibi keureum ta mu nék fa ak ay morom na teud limu wara teud ni gneup
I am Down with that Decision keep him there for another 6 months he will learn from his mistakes Good for him
Ki il n est pas plus important que les autres prisonniers il n a qu a perir labas kou deh rek niou soul la comme ca y aura un terroriste de moin
Mais où sont ses « ndombos anti prison » ??? IL n’a qu’à assumer et prendre son courage en main comme tant d’autres d’ailleurs
Ferme ta geule c’est mieux sans cœur va tshiiiip
Zeck de merde,serigne touba avait plus de daradja et de baatine que ton pere et malgres il a fait la prison des colons
Gueum Sa Bopp plaide pour la libération de tous ces détenus politique dans le Pays .
Gueum sa Bopp fait un plaidoyer hypocrite. Du fond de coeur de Bougane, il ne souhaite pas la participation de Sonko aux élections. Si Sonko est partant, personne n’aura rien, Bougane le nullard en premier
Senegal yewoulene seule la lutte libere# cheikh bara devait porte plainte au pret de ces accusateurs fantomes…le procureur te cole un motif non valable et tak en prison jusqua la mort…
Ce n’est pas ce que dit Ngagne Demba TOURE .
Seule la fuite libère 😂
En réalité Bougane avec ses sorties intempestives veut masquer sa jubilation et en même temps récupérer les voix de pastef.
Bàyyi leen kii mu ñibbi këram mën a màggali ci jàmm cig njabootam.
Dama ragal fi ngeen di mujje ak ñii gàcce fekk leen ci.
Yal na Yàlla taxawu te sàmm mbooleem ñi jaabi fare ginnaaw.
-PAR PROFESSEUR IBRAHIMA SILLA DE L’UGB
SÉNÉGAL : UNE DÉMOCRATIE EN CAPTIVITÉ
Nous sommes à la fois les victimes et les bourreaux de nos misérables conditions politiques et démocratiques.
Nous ne sommes plus dans un État de droit, mais dans un État éloigné de la fausse image qu’on présentait jusqu’ici aux yeux du monde
En arrivant en prison, chers amis et amies en détention, j’imagine que vous ne vous êtes certainement pas demandé chacun pris individuellement : « qu’est-ce que je fais ici ? » ; « Je ne suis pas du coin ». On sait toujours par qui et pourquoi on en arrive là, à la faveur des accointances inappropriées entre le politique et le judiciaire. Une telle lucidité est des plus grands réconforts qui soulage le sentiment de dépit, de révolte et haine qui pourrait naître en ceux privés de liberté. En enfermant les corps, ils oublient que la résistance est d’abord et avant tout dans l’esprit et surtout dans le cœur et non pas exclusivement dans le corps à corps. Elle se manifestera, comme le permet la constitution, dans les urnes et s’il le faut dans la rue.
Mal à l’aise dans un premier temps, on finit par prendre son mal en patience en prison. « La prison est l’université du révolutionnaire (…) Les heures s’étirent, la cervelle s’éclaircit » écrit Régis Debray dans son ouvrage intitulé D’un siècle l’autre. En effet, certains, mentalement solides et psychologiquement armés, s’en sortiront métamorphosés ; des livres saints qu’ils survolaient et entrevoyaient à peine, ne pensant jamais les connaître de bout en bout, ils s’en délecteront et sortiront ce cet enfer, plus cultivés, plus matures et plus patriotiques que jamais. Ils s’enrichiront du Livre et des livres, du Texte et des textes, de l’isolement et de la solitude, de soi et d’autrui. D’autres, sans avoir été condamnés à mort, seront brisés à vie. Entre cette résurrection et cet engloutissement, il y a mille et une autres possibilités de ne pas sombrer ; de rebondir vaillamment et valeureusement. Viendront d’autres dignes patriotes pour mettre un terme à cet horrible système pire que le sida, le cancer et la covid réunis. Ils commenceront là où Sonko se sera éventuellement affaissé après Omar Blondin Diop, Mamadou Dia, Cheikh Anta Diop, Maître Babacar Niang et tous les autres. Mais pour l’instant, point d’affaissement et surtout pas d’affolement. Tout est encore possible. L’histoire des tyrans et apprentis dictateurs n’enseigne pas le fatalisme mais l’optimisme.
En attendant, ils peuvent continuer, motivés par une férocité indigne et indécente, à cueillir de nobles et fiers patriotes, avant de nous voir un jour venir nous recueillir, sans avoir besoin d’un mandat de perquisition ni des « franchises universitaires », sur ce qu’ils pensaient être immortels et infinis : la dépouille de leur pouvoir, victime de cette prison de la méchanceté qui empoisonne leur cœur incapable d’envisager une amnestie générale sans délai ni condition. On ne retire aucune gloire de la cruauté contre son peuple. Je suis sûr que vous commencez à vous en rendre compte ; peut-être un peu trop tardivement. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Il suffit seulement d’en être encore capable.—