La tension monte dans le paysage politique sénégalais à la suite de la décision controversée prise par le Directeur général des élections, Thiendella Fall. Malgré l’injonction de la Commission électorale nationale autonome (CENA) demandant la remise des fiches de parrainage à Ousmane Sonko, Fall a opté pour le refus. Sa décision s’appuie sur un verdict antérieur rendu par la Chambre administrative de la Cour suprême.
Le mandataire de Ousmane Sonko, principal opposant sénégalais, a été une fois de plus privé de ces fiches malgré une ordonnance du tribunal d’instance de Ziguinchor. Cette dernière avait pourtant exigé la réintégration de Sonko sur les listes électorales.
La situation a poussé Alioune Tine, fondateur d’AfrikaJom Center, à exprimer ses préoccupations quant à l’intégrité du processus électoral au Sénégal. Selon Tine, « La Direction Générale des Elections (DGE) refuse de respecter la décision du juge et l’injonction de la CENA ». Il souligne que le Directeur Général des Elections est « disqualifié par son attitude » et met en garde contre le potentiel impact de cette situation sur le bon déroulement de l’élection présidentielle.
Les commentaires de Tine ne s’arrêtent pas là. Il met l’accent sur les risques que comporte une telle attitude pour la campagne électorale et même pour la période post-électorale. L’absence de respect des normes juridiques et des décisions des institutions de régulation mettrait en péril la régularité et la transparence du scrutin. Pour Tine, cela représente « une transgression de l’Etat de droit et du suffrage universel ».
La récente découverte de réserves de pétrole et de gaz a, selon lui, contribué à la dégradation de la démocratie et de l’état de droit au Sénégal. Face à cette situation, il plaide pour un dialogue urgent entre les acteurs politiques et la société civile pour garantir un processus électoral crédible et transparent.
Tine se dit également préoccupé par la possible exclusion de Ousmane Sonko des élections présidentielles, voyant dans l’attitude de la DGE « une volonté d’exclure coûte que coûte » le principal opposant. Pour lui, le Sénégal doit impérativement éviter une crise politique similaire à celles vécues par d’autres pays de la sous-région. Il conclut par un appel urgent au dialogue, estimant que « ce forcing nous mène droit au mur ».
Le pays etait presque a terre lors des evenements de juin passé ,et vous n avez pipé mot sur ce chaos,l ‘ etat ne doit pas appliquer le droit a Sonko et a l ex pastef mais la force.
Vraiment il temps que ce Monsieur tine change de discours à chaque fois dos mur, le pays va sombré risque de brûler
Ndeysane! Il n’a même plus le temps de s’occuper de sa propre famille ce perroquet! Tu nous tympanise depuis des mois! Quand il voulait découper le président de la république comme Samuel Doe? Tu étais où? Je ne vous ai pas entendu sortir un seul mot quand deux personnes ont été assassinés dans un bus par un cocktail molotov par des partisans de votre petite copine? Vous n’avez jamais fais de réflexion sur les insultes de ses partisans envers nos institutions? Nos guides religieux? Les incendies? La casse? Rien! Silence! Alors allez vous faire foutre! Il ne participera pas aux élections, ni aujourd’hui, ni demain
55sz1s
PERSONNE N A RIEN A VOIR AVEC LA NON INTEGRATION DE SONKO …LA LOI ÉLECTORALE STIPULE QU UN CONTUMAX EST AUTOMATIQUEMENT RAYE DES LISTES ELECTORALES…POINT BARRE
Yaye domoukharame,mbame
Droit au mur c’est ce que tu souhaites pour le pays car c’est le chaos et le sang qui te font vivre vieux mécréant
Ils ont peur de sonko.c’est ça la vérité.si jamais ils croisent sonko en 2024 le camp du pouvoir n’aura même pas 10%de l’électorat.Ils ont peur de sonko c’est ça la vérité
Ibrahima c’est plutôt Yolom Guenio qui a eu peur d’affronter une gamine de 22 ans. Et pan sur le bec: contumace !!!
Ne te fatigue pas yolome dou bok
Le Sénégal ne sera jamais dirigé par son ennemi. Point de droit pour celui qui a voulu mettre la République à terre. Le Respect de nos institutions est une obligation et celui qui déroge à cette règle sera mis hors d’état de nuire.
Mr Tine ,si tu étais Directeur D’établissement, est-ce-que tu accepteriez quelqu’un qui n ‘est pas inscrit sur ton établissement, je crois que le problème est là ,laDGE ,ne peut remettre des fiches de parrainage à quelqu’un qui n’est inscrit sur les listes électoral ,mais si on refuse la réalité çé difficile de te faire comprendre.
Le Sénégalais EST ouvert et tolérant c,est connu
C’est la solution,le Sénégalais N, EST PAS anti démocratique
PEUT ÊTRE QUE SON EXCELLENCE MONSIEUR MACKY SALL N, EST PAS AU COURANT DE TOUT CE QUI SE PASSE AU SÉNÉGAL ,IL FAUT LUI PARLER.
L’histoire retiendra que ce grand homme-là a averti, averti, averti mais que personne, du côté du pouvoir comme du côté de l’opposition, ne l’a écouté . M. Tine, ne vous lassez pas de dénoncer, de signaler, de rectifier… Tout le pays vous suit.
Depuis quand il parle mais on l écoute pas. Au Sénégal on n aime pas les hommes qui disent la vérité
Nous pousser mur c’est ce macky d’evil sall au coeur de charbon veut et non le ministre mytoman abdou karim fofana :aller au election