La découverte de Pape Alé Niang à la RTS : les employés se partageaient une rondelette somme tous les 30 juin
![La découverte de Pape Alé Niang à la RTS : les employés se partageaient une rondelette somme tous les 30 juin](https://senego.com/wp-content/uploads/2024/07/pape-ale-niang-racine-talla.jpg)
Les nouvelles autorités issues de la présidentielle du 24 mars dernier ont entrepris un état des lieux des services de l’État avant de mettre en œuvre leur programme de gouvernance. À la RTS, où Pape Alé Niang a récemment succédé à Racine Talla, des dysfonctionnements importants ont été mis en lumière.
Le quotidien Libération a révélé ce lundi que le nouveau directeur de la chaîne publique a découvert que les employés se partagent annuellement, le 30 juin, une enveloppe de 200 millions de francs CFA. Ce «fonds communs» est similaire à ceux des régies financières.
Cependant, des questions demeurent. Les agents de la RTS ont-ils bénéficié de cette somme ce 30 juin 2024 ? Pape Alé Niang envisage-t-il de supprimer cette ligne budgétaire pour s’aligner sur la politique de rationalisation des dépenses publiques prônée par le nouveau régime ? Le journal ne donne pas de réponse précise, mais indique qu’une mission de l’IGE est attendue sur place et qu’un cabinet procède actuellement à un audit.
En parallèle, Seneweb rapporte que Pape Alé Niang a déjà pris une mesure significative, suscitant potentiellement la colère des travailleurs de la RTS. L’ancien directeur de publication de Dakar Matin a bloqué un accord d’entreprise conclu par son prédécesseur avec les syndicats. Cet accord, signé peu avant l’alternance, prévoyait une augmentation de «pratiquement 80%» des salaires des travailleurs. Libération précise que cette décision a été prise «sur instructions, en attendant de connaître la position du Président Bassirou Diomaye Faye sur [le] décret signé par son prédécesseur», Macky Sall. Ce décret, datant de cinq jours avant la fin de son mandat, portait sur un nouveau mode de financement de la RTS, mais n’était pas encore effectif faute d’arrêté ou de loi de finance rectificative.
De plus, Pape Alé Niang a récemment suspendu plus de 200 lignes téléphoniques allouées de manière indue à des agents, dont certains retraités, et récupéré des véhicules attribués «de manière illégale».
Ces actions s’inscrivent dans une volonté de transparence et de gestion rigoureuse des ressources publiques, en adéquation avec les orientations du nouveau régime.
Macky sall kou dakar nde**m deug la.
Ki yak duk bi rek moko takhone jok.
Badola sarap bimou doone
Rupture la voilà ces imbécile de beno ils ont bien su qu’il y a des mendiants sur les rues et des jeunes diplômes sans boulots x ces inconcientscde vieux vaut lieu d’aller va la retraite de partage l’argent du peuple
Rupture
Excellent travail ! PAN doit sentir une force l’accompagner dans cet énorme travail de salubrité des finances publiques.
DES VOLEURS,ILS DOIVENT ÊTRE EMPRISONNÉS, QUELLE HONTE, DES CROYANTS, SOIT DISANT.
Croyants? Senegal deukkkou nafekh la. La plus part des gens gueumou niou darra. Guou gueume yallah do lekk ribba.
La honte
Macky mo Raw ramses2 un vrai traître
Vous n’êtes pas censé ignorer la Rts était une vache laitière pour Racine talla, qui faisait ses beaux jours, sans la moindre inquiétude.
Tout ce mic mac effectuer il doit le rembourser jusqu’au derniers centimes
Un voleur professionnel
Un mandikat ne me convient pas
Un coup d’état militaire est une demande nationale
Acte anormal de gestion // Abus de bien social // Délit là donc teudj khadj nassi
Bonjour. Cette article très loin de la vérité. Les 200 millions sont un fond commun. Qui étaient tirés d’un pourcentage de la publicité des ressources de la publicité. Cette somme ne dépassait jamais 189000 par agent et tout le monde recevait la même somme. Rien ne provenait des caisses de l’État.
Bonjour. Cette article très loin de la vérité. Les 200 millions sont un fond commun. Qui étaient tirés d’un pourcentage de la publicité.
Cette somme ne dépassait jamais 189000 par agent et tout le monde recevait la même somme. Rien ne provenait des caisses de l’État.