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Guy M. Sagna: "S'il faut mourir, mourrons pour la souveraineté du peuple et non pour sa domination"

Le secrétaire administratif du Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine (Frapp France dégage), Guy Marius Sagna s’est fendu d’un post sur sa page facebook, pour encourager la résistance et dénoncer la « cabale » dont Ousmane Sonko fait l’objet.

Texte in extenso:

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SOYONS PRÊTS À MOURIR !
J’ai été bouleversé de voir ma grande soeur Coumba Gawlo Seck bouleversée jusqu’aux larmes par la perte de sa voix. Je te souhaite un prompt rétablissement grande sœur.
Comprenons alors le bouleversement de millions de sénégalais devant le complot de Macky Sall dont le but est de leur arracher leur voix, de museler par l’emprisonnement ou l’impossibilité d’être candidat leur voix: Ousmane Sonko !
Coumba Gawlo Seck pleure. Que Dieu essuie ses larmes en lui rendant sa voix.
Dans la gestion des affaires de la cité, jooy fajul naxar! Kuy bëre daan! Voilà pourquoi des citoyens sénégalais se battent aujourd’hui contre la tentative en cours d’extinction de leur voix Ousmane Sonko.
J’encourage cette résistance, cette lutte car c’est le Sénégal qui est en danger.
Le 31 décembre dernier, le président Macky Sall a dit : « si le président sait que si on arrête quelqu’un le pays va brûler et des gens vont mourir va-t-il l’arrêter ? »
Alors PATRIOTES, soyons prêts à brûler ce complot sordide contre la démocratie, la république, nos libertés, nos droits en cours depuis 2012 et à mourir pour notre Sénégal!
PATRIOTES, s’il faut mourir, mourrons pour notre propre cause et non celle d’un autre.
S’il faut mourir, mourrons comme des résistant et non comme des collabos.
S’il faut mourir, mourrons pour le peuple et non pour ses oppresseurs.
S’il faut mourir, mourrons pour la souveraineté du peuple et non pour sa domination.
S’il faut mourir, il faut de la révolution être le semis et non mourir comme un nervis.
S’il faut mourir, mourrons pour la vie et non pour la mort.
Président Macky Sall, la raison pour laquelle le Sénégal a brûlé les 08 et 09 février derniers n’était pas juste pour notre frère Ousmane Sonko. Les gens qui sont sortis ce jour-là ont voulu dire : TROP C’EST TROP! Et ce jour, des gens que vous devez trouver ont infiltré les gens que votre police a dispersés. L’État néocolonial que vous dirigez est un habitué de ces méthodes. Si vous n’arrêtez pas monsieur le président Macky Sall, cette jeunesse enragée, frustrée et prête à en découdre avec vous va recommencer dans la rue. Il est simple d’arrêter cela: laissez Ousmane Sonko et les membres de son parti tranquilles! Laissez le peuple sénégalais décider lors d’élections démocratiques!

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24 commentaires

  1. Mbaboor

    Gros Mbaam Seuf, que font les larmes de Coumba Gawlo dans tes diatribes de morveux?

    Tu n’es pas courageux, il fallait écrire JE vais mourir au lieu de NOUS.

    Yeen à ka.te, ka.te bi, kheekh leen kheekh bi. Lou ci sounou yoon?


    Gros Mbaam soigne ton langage, tu as un vocabulaire violent, frapp, mourir etc, je pense que ceux qui t’accusent d’être un rebelle ont raison


  2. Abdou

    Cet homme trouve tous les jours un pretexte pour répandre sa hargne, sa haine, sa frustration. L’opposition n’est pas seulement là pour tout critiquer mais aussi et surtout une force de proposition. Pour ce monsieur, la seule proposition, c’est d’être le chef à la place du chef.


    • Baye Zale

      Gros Mbaam Seuf (GMS), envoyé spécial du MFDC à Dakar à l’occasion de dérouler son programme.

      Ki danou danou bi na mourir. Gros Mbaam tu crois que nous sommes des moutons de panurge. C’est Sonko qui a tiré sur Adja Safal bi Gueune, c’est Sonko qui a jouit mais ce sont les moutons qui vont se sacrifier. JAMAIS


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