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France : Macron et la lettre d'espoir de Mahmoud Abbas sur le conflit israélo-palestinien

Le président français Emmanuel Macron a récemment révélé qu’il avait reçu une lettre qualifiée de « lettre d’espoir, de courage, de clarté » de Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne. Cette correspondance, qui a également été transmise au prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, propose une feuille de route politique et sécuritaire pour parvenir à une solution durable au conflit israélo-palestinien.

Dans cette lettre, le président palestinien Mahmoud Abbas insiste sur l’urgence de réduire immédiatement les tensions et de parvenir à une résolution politique globale. Il appelle à « mettre fin à l’effusion de sang à Gaza », dans ce qui doit être un « cessez-le-feu immédiat et permanent », accompagné de l’ouverture de tous les points de passage ainsi que de la libération des otages et des prisonniers.

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Emmanuel Macron a salué ce qu’il décrit comme des « engagements concrets et inédits », soulignant le moment « décisif » actuel, qui pourrait ouvrir la voie à la paix. Le président français a souligné que la lettre trace « le chemin d’un horizon de paix », reflet de la volonté palestinienne d’atteindre une solution basée sur deux États.

Concernant la gouvernance à Gaza, Abbas se dit prêt à assumer « pleinement le contrôle », à condition que le Hamas rende ses armes aux Forces de sécurité palestiniennes. La lettre propose un processus d’intégration du Hamas sous supervision internationale, en précisant que le groupe doit « renoncer à la violence, se désarmer » et accepter le programme de l’OLP.

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La correspondance évoque également un projet ambitieux de réformes internes, allant de la transparence financière à des élections générales supervisées internationalement. Abbas appelle également à la reconnaissance internationale de la Palestine selon les frontières de 1967 et à son intégration à part entière à l’ONU. « Il n’y a pas d’alternative viable à la solution à deux États », insiste-t-il.

Ce contenu est inspiré d’un article lu sur Anadolu Agency, où l’auteur, Adama Bamba, a fourni les détails que nous venons de développer.

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