Fédération Sénégalaise de Football : Augustin Senghor brigue un cinquième mandat.
Augustin Senghor, président de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) depuis 2009, a officiellement annoncé sa candidature pour un cinquième mandat. Cette décision relance les discussions concernant l’alternance à la tête de l’instance dirigeante du football national.
Mady Touré, président de Génération Foot, se présente comme son principal adversaire. Il propose une refonte du système actuel, axée sur le soutien aux clubs amateurs et aux ligues régionales.
Le calendrier électoral, s’étalant de juin à juillet, prévoit la publication de la liste définitive des candidats le 11 juillet. Le scrutin est prévu pour le 2 août 2025.
Sous la présidence de Senghor, le Sénégal a remporté la Coupe d’Afrique des Nations en 2022. L’avenir dira si ce bilan suffira à le maintenir à son poste, ou si les électeurs opteront pour un changement de direction. Selon Kawtef, « reste à voir si ce bilan suffira à convaincre les électeurs, ou si une nouvelle ère s’ouvrira à la tête de la FSF. »
Un senior qui observe je vous comprends pas ont change un cheval qui gagne en Europe les présidents de fédération font plus de vingt-sept ans arrêté Sport c’est des hommes et des femmes engagés et motivés c’est pas un poste ministériel voilà bonne lecture cordialement
Bien sûr on le change un président nul 16 ans pour une seul il devrait avoir honte de pausser son candidat vraiment
Hooooo AUGUSTE ÇA VA,ÇA SUFFIT.Laisse un autre apporter ses connaissances
Il ne fait surtout pas le laisser passer. C’est un des piliers de l ancien système. Gorge amour terrain bou diag et c’est lui président de FSF qui est maire de Goree
Non vraiment africain d’où doyal c dommage.vivement qu’on arrête le lobbying et la corruption au niveau de la FSF
Pourquoi « africain » dou doyal ? Khana Ndiobène yi nio doul doyal ?
Arrêtez votre mauvaise foi vous savez pertinemment qu’il a raison. C’est cela le problème un peu partout en Afrique et dans tous les postes de responsabilité. Les gens sont prêts à tout, même à sacrifier des vies, leur dignité, salir leur réputation, se ridiculiser, aller en guerre, anéantir les chances du pays dans les compétitions internationales etc pour se maintenir à leur poste une fois qu’ils ont goûté aux délices du pouvoir. C’est la triste réalité!!
« un peu partout en Afrique »