Et si Abdoulaye Diouf SARR dérangeait ?!! (Par Maître Serigne Khadim SARR)*

Et si Abdoulaye Diouf SARR dérangeait ?!! (Par Maître Serigne Khadim SARR)*

Ces derniers temps, force est de constater que des attaques dont la plupart injustifiées fusent de partout contre le ministre de la Santé et de l’action sociale. C’est normal, il est la personnalité politique le plus en vue sur le terrain de l’action sociale et de la riposte contre la pandémie. Certains vous disent même qu’il est à la tête de ce ministère stratégique sans être homme du sérail ni spécialiste en le domaine de la santé publique.

De tels dénis et attitudes hostiles à la personne, ne sont que signes de jalousie et de mépris pour le travail qui se fait…

Devant l’ampleur de la pandémie dans notre pays et le contexte de dépréciation générale de la qualité de vie qu’elle a provoquée par la percée du variant delta, les autorités sanitaires au-delà de la seule et modeste personne de Abdoulaye Diouf SARR font tout pour limiter les pertes en vies humaines

Qu’il s’agisse du Cous, de l’Iressef, de l’institut Pasteur ; qu’il s’agisse des établissements sanitaires comme l’hôpital militaire de Ouakam, l’hôpital Principal, Aristide Le Dantec et le Chu de Fann, Dakar Diam, Diamniadio, Abass NDAO … le personnel de santé ne cesse de lutter seul sur la ligne de front. Les malades les assiègent et les cas de contamination continuent de grimper. Il n’y a pas à nier la réalité : la Covid-19 fait des ravages et décime les familles. Les proches parents et les cohabitants partageant un même gite sont interpellés. Nous sommes tous acteurs et responsables de la survie des nôtres et de la survie collective.

D’où viennent donc ces attaques contre le ministre de la Santé Abdoulaye Diouf SARR ?

– primo des adversaires politiques au sein de la mouvance présidentielle et de l’opposition, gens animés de mauvaise foi et manquant de fair-play et d’esprit de camaraderie.

– Secundo des techniciens et praticiens du secteur de la santé faisant de la politique politicienne avec pression, harcèlement et chantage contre le camp du pouvoir sans compter leurs homologues de la société civile, acteurs politisés tapis dans l’ombre, et qui se remarquent par leurs basses manœuvres souterraines, déloyales et hypocrites.

– Tertio de certaines franges de la population sénégalaise délaissées peu confiantes du système de santé publique pour s’engager à ses côtés sans attirés pensées dans la riposte contre la pandémie et ses variants multiples qui ont du mal à être acceptés par ceux-là et celles-ci qui s’évertuent à vivre de stéréotypes en ce qui concerne les aspects positifs de la lutte contre le nouveau coronavirus et l’efficacité testée et prouvée des vaccins disponibles et/ou continuent de nier les résultats des bulletins épidémiologiques quotidiens du ministère de la Santé et de l’action sociale que dirige Monsieur Abdoulaye Diouf SARR.

À présent intéressons nous aux motivations réelles ou leurs raisons politiques à toutes ces attaques crypto personnelles injustes, injustifiées et injustifiables.

Il s’agit, selon moi, de l’aversion inconsciente que les uns, les unes et les autres ont de l’empathie d’autres concitoyen-ne-s pour les succès enregistrés par Diouf SARR et le personnel de Santé dans le cadre de la gestion des deux premières vagues de la pandémie de la Covid 19.

Les témoignages à l’international valent au professeur Moussa Seydi une invitation aux États-Unis pour y animer des conférences sur l’exemplarité de la riposte au Sénégal.

Il y a aussi le manque de reconnaissance et l’hypocrisie de nombreux savants lettres intellectuels et observateurs attitrés de la scène politique sénégalaise qui ne vont jamais avoir le courage de reconnaître et de vanter avec intelligence et esprit critique la transformation structurelle du secteur de la santé, avec pour incidence l’extension et le renforcement de la carte sanitaire du pays par la construction de nouveaux hôpitaux de dernière génération (hôpital Kaffrine, Touba, Kédougou), le démarrage des travaux de l’hôpital d’Ourosogui, le Centre d’Oncologie de Diamniadio etc…

Notons aussi la modernisation et le relèvement des plateaux techniques des principaux hôpitaux avec des équipements de dernière génération (IRM, scanners, mammographie, matériels d’anesthésie réanimation…).

Toutes choses qui fondent aujourd’hui ses créances civiles et politiques qui lui donnent une certaine reconnaissance et légitimité communautaires chez les lebous (sa communauté d’appartenance où il se trouve être le premier magistrat jusqu’au 23 janvier 2022 si Dieu lui prête vie jusque-là).

Des créances établies qui lui valent aussi la confiance publique renouvelée et proclamée du chef de l’État, Macky Sall, sur son compte. Une compétence affirmée dont il a le mérite d’être le porteur pour avoir été le seul responsable politique apériste à remporter toutes les élections dans sa commune yoff depuis 2012. Une telle légitimité a certainement motivé le président de la république a lui confié les cadres de l’Apr (parti au pouvoir), très efficace sur le terrain de la mobilisation et de l’élargissement du parti présidentiel au sein de la coalition Benno bokk yakaar (Bby).

De telles stations occupées alliées à des performances indéniables font de lui l’homme à abattre en tant que meilleur profil candidat de la mouvance présidentielle pour briguer la ville de Dakar.

Si ce n’est pas une raison politique suffisante pour le vouer aux gémonies et le descendre, on douterait fort de la sincérité de ses assaillants qui comptent sur sa plainte pour enfin avoir droit de dire tout ce qu’ils veulent sur son compte mais à leur corps défendant et à leurs risques et périls ; à leurs dépens si justice il y a de facto (de fait) et de jure (de droit). Nul n’a intérêt à reprendre les assertions mensongères du Docteur Babacar Niang de Samu assistance en ayant attendu deux ans pour fourbir son arme et la sortir pour poignarder dans le dos du peuple sénégalais son cher enfant de cœur et ministre de la Santé, futur maire de Dakar et acteur principal de la lutte nationale contre la pandémie du nouveau coronavirus.

C’est normal, il faut l’avouer : en occupant comme ça le devant de l’actualité dans le pays à travers la coordination de la riposte contre la pandémie de la Covid 19, Abdoulaye Diouf Sarr a une bonne longueur d’avance sur ses principaux rivaux, concurrents, adversaires (externes et internes) dans la course à mairie de Dakar, la mère des âpres batailles politiques. Il en a la carrure et l’engouement depuis qu’il est devenu cette personnalité politique africaine incontournable et la plus en vue au plan national. Souhaitons lui plutôt une réussite exemplaire et une bonne porte de sortie et non l’échec cuisant et collectif. Non, ici au Sénégal, jamais le mal n’a eu pour nom DIOUF SARR. À moins de déranger Diouf SARR comme Abdoulaye lui-même dérange énormément certains esprits chagrins et chicaniers. Point de doute là-dessus.

* Responsable Politique /Président Mouvement Pour le Développement
De Mbacke/Membre de la Convergence des Cadres de L’alliance Pour la République

5 COMMENTAIRES
  • Ni naiz

    Peut-on parler d’action social au Sénégal au moment óu les jeunes talibés mendient dans les rues usqu’á tard dans la nuit? Que des handicapés physiques et mentaux dorment á la belle étoiles mangeant dans les poubelles? C’est ça le Sénégal émergent?

  • Iba Gaye

    IL n’est n’y homme de sérail ni professionnel de la santé mais travaille sans relâche et avec abnégation.
    Et là les résultats viennent et tous positifs.
    Les chiens aboient la caravane passe
    Du courage
    .

  • Top

    Bien dit mon frère… nous félicitons le msas Abdoulaye Diouf Sarr

  • El patriota

    Mbéguéré

  • Saliou Ndiaye

    La politique est très difficile ainsi que la gestion de certains ministères à gros budget.Il ya jalousie mais aussi la mairie de Dakar.Rien de neuf il faut seulement s’accrocher et se battre car c’est cela la politique.Diouf Sarr le sait très bien.

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