La culture du viol démontre malheureusement sa forte présence au sein de notre société. A travers un documentaire réalisé par Gabrielle Kane et ses camarades, le viol est maintenant banalisé dans la société Sénégalaise. Les victimes se prononcent.
La désolation
« Depuis qu’on m’a violée, je n’arrive plus à manger ni à dormir la nuit, sauf quand j’entends l’appel à la prière du matin. Je ne peux pas enlever son visage de ma tête. Les images me reviennent constamment« , a déclaré une victime en larmes.
Les larmes aux yeux
Le père de la victime s’exprime avec tristesse. « Ça me fait mal. Très mal, parce que la petite refuse de retourner à l’école. Elle refuse de croiser ses copines par honte. Ça me fait très mal et je n’y peux rien. Même pour se mettre devant le portail de la maison. Elle dit avoir un complexe pour sortir dans le village. C’est une enfant, elle n’a même pas encore 13 ans. Elle n’est pas encore responsable. Même sa grande soeur est encore une enfant« , a-t-il témoigné.
Regardez
Sénégal pays de nafekh les violeurs sont protégé comme tjrs les victimes sont coupable comme le cas de adji sarr c’est à elle de se cacher et pourtant elle est victime
Nous ne sommes pas sur une dictée mais sur des faits très grave.Soyons indulgent comme s’il s’agissait de nos soeurs.
Trop de fautes dans la transctiption sn français.
C est tout ce que tu as retenu pauvre minable