Dialogue politique : l’ALPDS apprécie positivement la volonté exprimée par Macky Sall
Par le biais d’un communiqué envoyé à Senego, l’Alliance Libérale pour le Développement du Sénégal (ALPDS), conduit par Mayoro Faye, dit apprécier positivement la volonté exprimée du Président de la République, Macky Sall, d’ouvrir un dialogue national.
« L’ALPDS adhère totalement à cette initiative et encourage une large adhésion des différentes forces vives du Sénégal », peut-on lire d’emblée dans leur déclaration partagée avec la presse.
Pour l’ALPDS « à un an de l’élection présidentielle, l’ALPDS pense qu’un dialogue et une concertation sincères liés au processus électoral et à plusieurs autres sujets qui préoccupent certaines parties prenantes ne font que renforcer davantage notre système électoral qui a fini de faire ses preuves ».
Pour Mayoro Faye et alliés, cet appel du Chef de l’Etat, réitéré à plusieurs occasions, invite à œuvrer les sénégalais et politiciens ensemble pour :
- la tenue d’une élection présidentielle transparente et apaisée ;
- la préservation de la paix et de la stabilité ;
- la préservation de la cohésion nationale au Sénégal ;
- la préservation de la démocratie, des valeurs de la République et de l’état de droit.
L’ALPDS dit donc soutenir « la régularité de la croissance économique de notre pays et appelle à un dialogue inclusif et constructif qui met en avant le développement économique et social du Sénégal ».
« L’ALPDS milite pour un Sénégal qui continue de faire preuve d’un génie exceptionnel. L’ALPDS continue à solliciter les prières de nos illustres guides religieux afin d’éclairer encore notre chemin vers l’émergence dans la sérénité, l’équité et la responsabilité », conclue le communiqué transmis à Senego.
Occuper une Fonction dans un Etat Oppresseur
Si soutenir les oppresseurs, même avec un fragment de datte, ou même par le simple souhait qu’ils restent en vie, est une chose contre laquelle les Imams d’Ahl-ul-Bayt ont mis vivement en garde les Musulmans, quel péché impardonnable serait de participer à un gouvernement oppresseur, d’accepter d’y occuper une fonction ou de lui prêter serment d’allégeance, ou pis encore, de faire partie des piliers d’un pouvoir injuste et de contribuer activement à l’installation et à la consolidation de ce pouvoir. Car, comme l’a dit l’Imam al-Çâdeq, « un régime oppresseur, c’est le minage de tout le bon droit, le ravivage total du faux, la résurgence de l’injustice, du despotisme et de la corruption. »